dimanche 24 juin 2012

Les répliques cultes de Jericho Barrons qui ont le don de t'ébouillanter ton string à plume #fièvred'ombre







Oyé Oyé jeunes pucelles en folie,

Nous y sommes.
Après les répliques de fièvre noire, de fièvre rouge, de fièvre fae et celle de fièvre fatale, voici ENFIN celle de fievre d'ombre. Le tome où Jericho Barrons laisse petit à petit tomber sa carapace, le tome qui m'a donné tellement de papillons que j'aurais pu faire un élevage de chenille dans mon estomac.

Encore merci à Karin pour le partage. Copa cabana dans tes loches

..........................................................


"L’espoir renforce. La peur tue."

"Avec Barrons, on ne sait jamais si on va se faire baiser ou se faire retourner comme une crêpe et se retrouver dans la peau d’un parfait étranger, errant à la dérive sur une mer sans fond ni lois. Je ne suis jamais restée indifférente à son charme. J’ai seulement expérimenté différents degrés de déni."

"Jéricho Barrons est mort.
Il gît à plat ventre, immobile. Il n’a pas esquissé un geste, il n’a pas respiré pendant la petite éternité où j’ai hurlé. Je ne le perçois, pas sous sa peau. Toutes les autres fois, j’ai ressenti sa présence près de moi – électrique, débordante de vitalité, une immensité contenue dans trop peu d’espace. Un génie dans un flacon. Voilà ce qu’est Barrons : un pouvoir formidable comprimé à grand peine sous un couvercle".


"J’aurais dû vous plaquer contre un mur, vous embrasser à perdre haleine et faire tout ce dont j’ai eu envie le jour où je vous ai vu pour la première fois dans cette fichue saleté de librairie. Vous troubler comme vous me troubliez, vous obliger à me voir, à me désirer – moi, la fille rose bonbon ! J’aurais dû vous faire perdre votre sang froid, vous obliger à tomber à genoux devant moi, même si je me disais que je ne voudrais jamais d’un homme comme vous, parce que vous étiez trop vieux, trop sensuel, plus animal qu’humain, un pied dans le marécage et aucun désir d’en sortir, alors que la vérité, c’est que j’étais terrifiée par les sensations que vous éveilliez en moi."

"Cela ressemblait plutôt à une perte de soi radicale, terrifiante. Comme quand on ne peut plus vivre sans cet homme là à l’intérieur de soi, autour de soi, avec soi tout le temps, que rien d’autre ne compte que ce qu’il pense de soi, que le reste du monde peut bien aller au diable, alors que dès cette époque, je savais que vous étiez capable de me transformer. Qui voudrait s’unir à quelqu’un qui détient de pouvoir ? On ne peut pas laisser l’autre exercer une telle puissance ! C’était plus facile de vous combattre que d’admettre […]"

"J’ai le cœur plein de trous.
Il a donné sa vie pour moi. Barrons a donné sa vie pour moi. Mon égoïste, arrogant, constant enquiquineur était solide comme un roc sous mes pieds. IL est mort volontairement. Pour que je vive. Pourquoi diable a-t-il fait cela ? Comment puis-je vivre avec cela ?"

"J’ai brisé notre pacte tacite. Il était mon gardien et je l’ai tué."

"Je vous ai montré que sous cette apparence, comme sous n’importe quelle autre, vous êtes à moi. Et je prends toujours soin de ce qui est à moi."

"Je le veux désespérément…mais pas pour qu’il me tatoue. Je le provoque avec maladresse et naïveté, du mieux que je le peux. Je voudrais qu’il prenne ce que je n’ai pas le courage de lui offrir de moi-même. Quel comportement ridicule, compliqué, autodestructeur ! J’ai  peur de demander ce que je veux. D’assumer mes propres désirs. Je me conforme aux restrictions de mon éducation au lieu de suivre ma nature. Je suis arrivée à Dublin, enfermée à double tour dans mes limitations. Je n’étais que culture. Il n’était que nature. Et il tentait de me montrer comment changer."



"Aussi imprévisible qu’un lion affamé, il effrayait peut-être tous les autres, mais jamais il ne m’avait égorgée. Il n’avait fait que me donner des coups de langue, et si celle-ci était parfois un peu râpeuse, cela valait la peine de marcher aux côtés du roi de la jungle.
Mon cœur va exploser."

"_Jéricho, l’appelé-je. Jéricho, Jéricho, Jéricho. Pourquoi ai-je toujours éprouvé autant de réticence à l’appeler par son prénom ? Barrons était un mur de pierre que j’avais érigé entre nous ; dès que la moindre lézarde le fendillait, je me hâtais de la combler au mortier de ma peur."

"Jéricho Barrons n’est plus ici.
J’ouvre mes sens à l’espace autour de moi. Je ne capte rien de son essence. Je suis seule sur cette falaise. Jamais je n’ai été aussi seule."

"Ce qui fait la différence entre vous et les autres, c’est la façon dont vous vous adaptez."

"De quel droit est-il mortel ? Comment ose-t-il ? Jamais il ne m’a dit qu’il pouvait mourir ! Si je l’avais su, je l’aurais traité différemment !
_Debout, debout, debout ! hurlé-je".

"Barrons dirait : Emotions inutiles, Melle Lane. Cessez de réagir et agissez."

"Je le serre dans mes bras comme jamais je ne me suis autorisée à le faire lorsqu’il était vivant. Jusqu’à ce que je ne sache plus où il finit et où je commence."

"Barrons est indifférent aux paroles. Pour lui, seuls comptent les actes".

"_Si, j’ai hésité ! je détestais l’idée d’abattre la bête qui me protégeait. Ryodan m’a dit que je devais le faire. Je ne savais pas que c’était vous !
_Vous auriez dû le savoir ! explosa-t-il.
J’étais consciente qu’il était urgent de mettre un terme à cette absurdité, de faire cesser ce mirage, mais j’en étais incapable.
La présence de Barrons m’avait toujours plongée dans une tension extrême, et ma certitude que ce Barrons là n’était qu’une chimère ne semblait rien y changer. Certaines personnes vous font révéler le pire de vous-même, d’autres le meilleur, et certaines, remarquablement rares et terriblement addictives, vous font donner le maximum. Le maximum de tout. Elles vous rendent si vivant que vous les suivriez jusqu’en Enfer, rien que pour avoir votre dose."

"_[…] qu’il vous arrivait à l’occasion de vous métamorphoser en un monstre cornu de 2,50m frappé de démence !
_Je ne suis pas fou. J’ai eu assez de bon ses pour dessiner des cercles d’urine autour de vous. J’ai tué pour vous nourrir. J’ai ramassé vos affaires. Parmi vos connaissances, qui en aurait fait autant ? V’lane n’a pas la queue assez longue pour pisser ! Et votre petit MacKeltar n’a pas les couilles d’assumer ses actes ! Il n’est certainement pas capable de faire ce qu’il faut pour posséder une femme !"

"_J’ai passé des semaines d’angoisse en me demandant s’il allait arracher ma marque de votre crâne pour m’empêcher de vous retrouver dans le réseau des Miroirs ! Et tout ce temps, alors que j’essayais de revenir pour sauver vos fesses, vous étiez en train de les lui donner ?
_Je n’ai rien donné à Darroc !"

"_Arrêtez donc ! C’est vous le Sinsar Dubh !
_Pas vraiment, mais je suis aussi dangereux. Lui comme moi, nous pouvons vous détruire. Rien ne pourra vous sauver si je m’en prends à vous."

"_Contrairement à certains, je ne suis ni un mollasson, ni un second choix."


"Mes jambes cédèrent sous moi.
Jéricho Barrons était toujours là.
Grand, nu, ivre de rage, les poings serrés comme s’il s’apprêtait à me rouer de coups.
Prostrée sur le sol, je levais les yeux vers lui.
_Vous n’êtes p… pas mort !
Mes dents s’entre choquèrent si violemment que je parvenais tout juste à faire sortir les mots de ma bouche.
_Désolé de vous décevoir.
Si un regard avait pu tuer, celui qu’il braquait sur moi m’aurait envoyée 6 pieds sous un nid de scorpions.
_Oh, attendez un instant. Non, je ne le suis pas.
C’en était trop. Je fus prise d’un vertige, un voile noir tomba sur mes yeux.
Je m’évanouis."

"Je commençai à me lever mais je m’arrêtai en apercevant une feuille de papier fixée à mon manteau par du ruban adhésif. Prise de vertige, je le décollai. “Si vous quittez la librairie et m’obligez à partir à votre recherche, je vous le ferai regretter jusqu’à votre dernier jour. Z.”
Je me mis à rire et à pleurer en même temps. Puis je m’assis en serrant le feuillet sur mon cœur, ivre de joie. Il était vivant !"
Barrons est quelqu’un d’assez…addictif. Il s’impose peu à peu à vous, jusqu’à ce que vous ne puissiez même plus imaginer trouver du charme à qui que ce soit d’autre."


"_N’utilisez…plus jamais…le sexe…comme une arme…contre moi.
Je haussai les épaules.
_Pas de fichu haussement d’épaules ! grogna-t-il.
_J’étais en colère. Et j’avais toutes les raisons de l’être !
_Moi aussi, mais vous ne me voyez pas jouer au plus fin.
_Vous me manipulez tout le temps.
_Je suis sans pitié ? Oui. Je garde mes réflexions pour moi-même ? En effet. Je vous oblige parfois à dire des choses que vous avez de toute façon envie d’exprimer ? Certainement. Mais je n’essaie jamais de vous entourlouper.
_Très bien, Barrons. Que voulez-vous de moi ?"


"_Si vous essayez encore de me baiser, c’est moi qui vous baise. Et ce n’est pas une image.
_Epargnez-moi vos ultimatums.
J’étais tentée de le provoquer sur le champ pour voir s’il mettrait ses menaces à exécution. J’étais folle de rage contre lui. Je le désirais. A cause de lui, j’étais dans un état indescriptible.
_Erreur, c’est un avertissement.
Une réplique cinglante me brûlait les lèvres. Il me réduisit au silence en me disant :
_J’attends mieux de vous, Melle Lane."

"_L’un de nous deux va devoir faire confiance à l’autre, lui dis-je.
_Honneur aux dames, Melle Lane.
_Quand il gèlera en Enfer, Barrons.
_Même fichue page, Melle Lane. Même fichue…"

"Je détestais que Barrons soit mort. Cela m’était insupportable. Au-delà de toute raison. Au delà de toute compréhension."

"Si Barrons était mort pour de bon et qu’assez de temps avait passé, aurais-je finalement accepté de vivre sans lui. J’avais peur de ne jamais en être capable".

"_Vous n’avez pas le droit de m’appeler Jéricho.
_Pourquoi ? parce que nous ne sommes pas assez intimes ? j’ai fait l’amour avec vous dans toutes les positions possibles, je vous ai assassiné, je vous ai fait boire mon sang dans l’espoir de vous ramener à la vie, j’ai mis de la chair unseelie dans votre estomac et tenté de refermer vos entrailles…Il me semble que tout cela est assez personnel. A quel degré supplémentaire de proximité devons-nous parvenir pour que vous trouviez naturel que je vous appelle Jéricho, Jéricho ?"


"_Allez vous faire cuire un œuf, Melle Lane.
_C’est votre façon d’exprimer vos sentiments ?
_C’est ma façon de vous dire de grandir, petite fille.
_Si je suis une petite fille, alors vous êtes un sacré pervers !"

"_Il y a du faë sur ta langue. Tu m’as eu dans ta bouche. Tu n’y laisses entrer personne d’autre, ou tu te passes de moi.
Il aspira brusquement et je sentis le nom de V’lane se déplier depuis le milieu. Jéricho le recracha, tel un piercing qu’il aurait détaché. Peu m’importait."


"Voilà ce qu’était cet homme. Acéré, coupant, dangereux. Mortel d’un côté comme de l’autre."

"_Je croyais que nous avions réglé cette question dans la Maison Blanche, Jéricho. Je m’appelle Mac.
_C’est Mac quand je couche avec vous. Le reste du temps, c’est Melle Lane. Il faudra vous y faire.
_Les bonnes distances, Barrons ?
_Précisément."

"En ce qui concernait Barrons, rien ne pouvait me briser. Rien, à son sujet, ne pouvait me blesser, parce qu’il était une certitude, au même titre que la tombée de la nuit. Tout comme le jour se lève chaque matin, il reviendrait toujours à la vie".


"_Elle a déjà des projets.
_Est-ce vrai, MacKayla ?
_Elle travaille avec moi sur des textes anciens.
V’lane m’adressa un regard compatissant.
_Ah. Les textes anciens. Un jour à marquer d’une pierre blanche à la librairie.
_Nous traduisons le Kama Sutra, expliqua Barrons. Avec une mise en application des exemples.
Je faillis m’étrangler.
_Vous n’êtes jamais là, pendant la journée !
_Comment cela se fait-il ? s’enquit V’lane, tout innocent.
_Je serai là demain, promit Barrons.
_Toute la journée ? demandai-je.
_Elle sera nue sur une plage, avec moi.
_Elle n’a jamais été nue au lit avec toi. Quand elle jouit, elle rugit.
_Je sais quels sons elle fait entendre quand elle ressent du plaisir. Je lui ai donné de nombreux orgasmes rien qu’en l’embrassant.
_Et moi, en lui faisant l’amour. Pendant des mois, la fée."

"Il occupait mon espace vital depuis l’instant où je l’avais rencontré, tout en superlatifs, avec sa présence qui m’électrifiait, me secouait, me réveillait, m’amenait au bord de la folie !"

"Avec Barrons, j’ai l’impression qu’aucune destruction n’est définitive. Il s’en sortira toujours."

"Il éprouve de la rage. De la douleur. Du désir. Des émotions qui vibrent sous sa peau, électriques, chaotiques, instables. Homme et bête, toujours en lutte l’un contre l’autre. Je sais à présent que cela n’est jamais facile pour lui. Le combat qu’il livre est sans fin."


"_Je vous ai vue mourir, Mac. Il faut que je vous possède.
Les mots me frappent comme des balles.
[…]
Ce n’était pas une demande. C’était l’affirmation de ce qui est requis pour continuer à vivre. Comme il aurait dit Mon sang est empoisonné, Mac. J’ai besoin d’une transfusion.
_Est ce que vous le voulez ?
Il n’y a pas de sensualité, pas de jeu, pas de séduction dans sa voix. C’est une question qui appelle une réponse. Simple et directe. C’est ce qu’il veut. C’est ce qu’il offre.
_Oui.
[…]
_Qui suis-je ?
_Jéricho.
_Qui êtes-vous ?
Mon souffle me quitte en une phrase tout attachée.
_Questcequeçapeutfaire ?
_Enfin !"

"Tandis que je le suis des yeux, tremblante d’émotion, je comprends que je ne me suis jamais vraiment remise de ce que j’ai vécu, là vas, sur cette falaise, lorsque je l’ai cru mort. Je me suis dépouillée d’une si grande part de moi-même pour survivre !"

"J’aurais détruit le monde pour lui".

"_Vous êtes ici, dans ma chambre. Vous n’avez aucune fichue idée de ce que cela me fait. Qu’une femme vienne ici, et elle meurt. Si ce n’est pas moi qui la tue, mes hommes s’en chargent."

"_Et bien, Barrons, vous discutez ou vous me sautez ?
_Répétez le. La seconde partie.
Je m’exécute.
_Ils essaieront de vous éliminer.
_Alors, c’est une bonne chose que je sois coriace.
Il n’y a qu’un détail qui m’inquiète.
__Et vous ?
_Jamais. Je suis celui qui veille sur vous, quoi qu’il arrive […] Je suis celui qui ne vous laissera jamais mourir."

"_J’irais jusqu’en Enfer – aller et retour – le sourire aux lèvres s’il était à mes côtés. Si je pouvais lever les yeux vers lui, croiser son regard et avoir avec lui l’une de nos conversations muettes."


"C’est lui qui a raison. Un jour, vous rencontrez effectivement un homme qui vous embrasse à vous faire perdre haleine, et vous vous apercevez que vous n’avez pas besoin de respirer. L’oxygène est un détail trivial. C’est le désir qui crée la vie. Qui lui donne du sens. Qui fait que tout vaut d’être vécu. Le désir est la vie. L’envie de voir le prochain lever de soleil, le prochain coucher de soleil. DE toucher l’être aimé. D’essayer encore."


"Il me prend avec la dévotion totale d’un homme à l’agonie espérant Dieu."

"_Je n’en ai jamais assez, Mac. Cela me rend dingue. Je devrais vous tuer pour ce que vous me faites ressentir.
Je comprends parfaitement. Il est mon point faible."

"C’est tout ce que je peux faire. Etre. Ressentir. Vivre. Je suis de nouveau Pri-Ya. Je serai toujours avec cet homme."

"_Je ne veux pas de ta pitié, Melle Lane. Je suis ce que je suis."

"_Tu es Mac, dit-il. Et je suis Jéricho. Et rien d’autre ne compte. Rien d’autre ne comptera jamais. Tu existes dans un endroit qui est au-delà de toutes les règles pour moi. Est-ce que tu comprends cela ?
_Oui.
Jéricho Barrons vient juste de me dire qu’il m’aime."

"_Tu ne fais confiance à personne. Sauf à toi-même, et ce n’est pas de la confiance, mais ton ego.
_Pas du tout. C’est la conscience de mes capacités. Et de leur nature limitée".

"_Allons, Barrons. As-tu déjà fui devant un combat ?
_Jamais. Et d’autres ont payé pour cela. Je ne veux pas que ce soit ton cas.
_Je n’y crois pas, dis-je d’un ton faussement horrifié. Jéricho Barrons est indécis. La réalité dépasse la fiction !
Le crépitement retentit dans sa poitrine.
_Je ne suis pas indécis, je…Ah, flûte !
Barrons ne se ment jamais à lui-même. Il était hésitant, et il le savait.
_Dès l’instant où j’ai posé les yeux sur toi, j’ai compris que tu créerais des problèmes.
_J’en ai autant à ton service.
_J’ai eu envie de t’attirer entre les rayonnages, de te baiser jusqu’à t’en faire perdre la raison et de te renvoyer chez toi.
_Si tu avais fait cela, je ne serais jamais partie.
_De toute façon, tu es toujours là.
_Tu n’es pas obligé de le dire d’un ton si désobligeant.
_Tu as mis ma vie sans dessus dessous.
_Très bien, je m’en vais.
_Essaie et je t’enchaîne.
Il me décocha un regard furieux.
_Cela, c’est de l’hésitation, dit-il dans un soupir.
Quelques instants plus tard, il me tendit la main.
Je glissai mes doigts entre les siens."

"_Barrons n’a jamais suivi personne comme un toutou.
Son regard noir pétilla d’amusement.
_Voilà qui est inattendu. Merci de me défendre.
_Eh bien, c’est vrai, non ? En tout cas, avec moi !
_C’est discutable. Ryodan ne serait pas d’accord avec toi.
_Couche avec une autre fée et je me fais Pri-Ya personnelle de V’lane.
Une lueur meurtrière passa dans ses yeux, mail il répliqua avec légèreté.
_Serais-tu jalouse ?
_Ce qui est à moi est à moi."


"Je me souvins de la première fois que je l’avais vu. Je sortais de la Zone fantôme, terrifiée, seule, cherchant désespérément des réponses. Ce soir là, il avait rayonné, à mes yeux, de la lueur sacrée du salut. Mon sanctuaire. Mon refuge."

"[à propos de la librairie] Même si la Zone sombre était vide, cet endroit serait toujours un bastion de lumière, tant qu’il serait à moi. J’en avais besoin. Il m’avait sauvée. J’aimais ce lieu. Ainsi que l’homme. Et c’était là le problème."

"_Je n’ai pas obtenu le sortilège.
_Je sais.
_Tu … savais ?
_J’ai compris que c’était un mensonge dès l’instant où tu l’as dit.
_Enfin… Tu avais l’air heureux ! Tu souriais ! J’ai vu tes yeux s’éclairer !
_J’étais heureux. Je savais pourquoi tu avais menti.
Son regard sombre, millénaire, inhumain, était inhabituellement tendre.
_Parce que tu m’aimes."

"Je ne posai pas la question. Certaines choses gagnent à rester cachées.
Il me regarda. Je frissonnai. Je ne me lasse pas de lui. Je ne me lasserai jamais de lui. Il vit. Il respire. Je le veux. Lui. Toujours. Du feu sur ma glace. De la glace sur ma fièvre".

"Les bons et les méchants ne sont pas aussi faciles à distinguer les uns des autres que je le croyais. Il ne suffit pas de poser les yeux sur quelqu’un pour savoir ce qu’il vaut. Il faut le regarder avec le cœur."







17 commentaires:

  1. Mon dieu j'adore ce post!!!!
    Même si ma citation préféré va à celle où V'Lane et Barrons se dispute pour savoir qui aura Mac...l'histoire du Kama Sutra en gros. Mais sinon le meilleur passage dans tout le livre à mon humble avis, c'est quand Mac prend Barrons avec elle dans la Maison Blanche et qu'elle se met à courir et qu'ils ont leur discussion (page.418)
    Sinon les photos sont juste magnifique, même si (et je suis sur de pas me tromper) j'ai pas l'impression que dans la première photo où il y a 2 personnes (en gros la 2ème) c'est DG, déjà le bonhomme à l'air trop jeune, et puis c'est pas du tout le profil de notre DG adoré

    PS: pour Fifty Shades of Grey j'en suis à la moitié et je peux vous dire que je suis déjà depuis longtemps tombé sous le charme de Christian, même si comme dit Ana c'est un "Control Freak"...et c'est vraiment chaud bouillant!!

    RépondreSupprimer
  2. Olala avec ca j'ai encore plus envie de me re-re-...lire tous ces tomes!! J'attends le marathon de septembre avec vous mes tarées de BAA adorées avec impatience!! =p haha
    En tous cas, merci pour ces petites phrases cultes!

    Lety: Ooh non!! Arrête de me faire baver avec Fifty Shades of grey!! =p Rhooo il faut vite que je me le procure =)

    Bisous bisous

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Léa je viens de le finir...ACHÈTE CE LIVRE!!!
      tu dois même pas réfléchir, tu le vois tu l’achète, tu l’achète tu le lis, tu le lis tu succombe!!!!
      Mais conseil moi je n'ai pas achète le 2, bah achète le 2 avec pcq avec cette fin tu vas faire une dépression nerveuse...heureusement que ma PAL est bien rempli pour me remplir l'esprit, mais ce livre est vraiment addictif...des que je me procure le 2 je me débrouille pour le commencer le plus vite possible.
      CE LIVRE EST UNE BOMBE SEXUEL niveau 31 sur une échelle de 1 à 15 (en pensant que Barrons et Bones sont pour moi dans les environs de Fifty Shades même si ces deux mâle dépasse Christian...quoi que il peut facilement les rattraper...c'est trop dure j'arrive pas à en choisir un favoris)

      PUTAIN DE LIVRE QUI VA T'ARRACHER LE CERVEAU ET TOUT TE CHAMBOULER!!!!

      Supprimer
    2. arretes de me dire ça, je le veux.... mais en anglais j'ai peur de rien quicher

      Supprimer
    3. Bah au pire tu te prends un dico avec toi...et puis il est vraiment pas dure à comprendre, peut-être 2 ou 3 mots qui désigne des objets que Christian utilise pour satisfaire ses besoins Dominant Soumise, mais sinon nan tu n'auras pas besoin du dico.
      Au pire il sort à la fin de l'année en français donc tu peux toujours attendre.

      Supprimer
    4. Lety tu m'as achevée!! =p
      Je vais voir si je le trouve en e-books et je me les achèterai du coup en livre en VF =)
      Mais merciii pour le bavage!! LOL!

      Supprimer
    5. Lea si tu veux jai les 3 tomes en ebooks (pdf et epub)

      Supprimer
    6. *danse de la joie*
      YOUPI!!! Plus de fan de CHRISTIAN!!! YOUHOU!!!
      A moi j'ai les 3 tomes en livres, et je me les prendrais aussi en VF en livre ceux-là!

      Supprimer
  3. hum hum que ç bon!
    J'adore le passage où Mac menace Jéricho de se faire Pri-Ya perso de V'Lane...trop fendard!
    Sinon, bien évidemment, ce tome est extra puisque Jéricho se livre davantage (seulement un peu plus pcq faut pas rêver non plus, il restera un mystère), on voit à quel point il peut tenir à Mac, elle existe pour lui au delà de toutes règles, de toutes limites quand même...il avoue sans vergogne avoir envie d'elle, il cesse de jouer pour donner à Mac son ultime chance de l'avoir lui.....quant à Mac, enfin!!!! elle arrête de se mentir....tout ça sans parler de l'histoire, du suspense, de l'action....tout atteint son apothéose, on est à peine remis d'un truc qu'on s'en reprend un autre en pleine face, Shadowfever est un immense grand huit....on est à peine descendues de ces montagnes russes qu'on a qu'une envie, ç de remonter pour un tour, j'adore!!!!!
    Et Jaja, ces photos, comme d'hab sont juste sublimes et elles illustrent très bien les propos miam miam
    Et comme d'hab, tu t'en doutes, je hais les 2 pétasses!!!! et ne me dis pas qu'en fait ç Mac...nan nan, ça ne va pas le faire là mdr.....
    En ts cas, un énorme merci pour cette semaine sur le blog pcq tu ns as vraiment gâtées, çtait méga top

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. mais de rien je continue de le dire mais c'est toujours un grand plaisir de partager tout ça avec vous.........

      Supprimer
  4. Que de belles citations dans ce tome mais celle qui a ma préférence est celle ci: " je suis celui qui ne vous laissera jamais mourir." Cette phrase veut tout dire. Elle prouve à quel point Jericho Barrons aime Mac et combien il ne conçoit plus à présent sa vie sans elle! (soupirs)

    RépondreSupprimer
  5. Pour moi c'est celle ci que j'aime tout particulièrement " Un jour, vous rencontrez effectivement un homme qui vous embrasse à vous faire perdre haleine, et vous vous apercevez que vous n’avez pas besoin de respirer. L’oxygène est un détail trivial. C’est le désir qui crée la vie. Qui lui donne du sens. Qui fait que tout vaut d’être vécu. Le désir est la vie. L’envie de voir le prochain lever de soleil, le prochain coucher de soleil. DE toucher l’être aimé. D’essayer encore " ---- Merciii JaJa pour ces moments de bonheurs dans ces articles orga-sismiques ... *zoubis*

    RépondreSupprimer
  6. *soupirs* j'ai trop envie de les relire ahhhhhhh.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu n'es pas la seule!! Moi aussi j'ai trop envie de me replonger dedans!! =p mais encore une fois, vivement le marathon de septembre prévu par notre Jaja pour nous pauvres BAA!! Haha

      Supprimer
    2. Merde les filles, quest ce qui vous retient? Y a pas de mal a se faire du bien...c pas pcq vs allez les relire maintenant q vs ne pourrez plus en septembre...je suis la voix de la tentation

      Supprimer
  7. Et bien et bien! C'est toujours aussi...wahou! Désolée pour ce manque flagrant de vocabulaire mais il s'envole dès qu'il s'agit de Barrons. :/

    RépondreSupprimer

Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...