jeudi 31 mai 2012

Réunion des Barrons Addict Anonyme #10


"Bonjour moi c'est Jacinthe,
Alors je reviens d'un week-end où j'ai fait quelques infidélités à notre JZB. Et oui je me suis lamentablement jetée dans les bras de Ian. Mais depuis que je suis rentrée je me plais à imaginer une convention spéciale "Jericho Barrons" avec en guest-star David Gandy. Nan mais sans rire vous imaginez pas le kiff total? D'ailleurs faut que j’arrête d'imaginer parce que depuis j'ai un sourire beat et un écoulement vaginal  permanent. Du coup Jaja's man et mes enfants pensent que j'ai des fuites urinaires, et ils veulent me prêter leurs couches."




mercredi 30 mai 2012

Photos #2



Salut bande de grandes malades de la touffe,


Tu me les réclames avec ardeur depuis quelques temps, et ben c'est avec un grand plaisir que je te les offre. Tu veux du JZB à la sauce DG (putain j'imagine juste la tronche de la personne qui débarque et qui lit cette phrase, nan ce n'est pas sale.). Allez chère BAA fais péter le string à paillette et fais nous la zumba dance au rythme de mes mamelons déchaînées.




..........................................................................




Un regard comme ça et je peux te dire que j'en perd mes poils de cul
JZB plus efficace que la cire et sans douleur.

Je sais pas ou tu vas mais si ça pouvait être chez moi ça m'arrangerait



Putain qu'es ce que je donnerais pas pour être cette voiture et qu'il pose son joli ptit cul
sur mon bastingage.


Coté pile. Mais qu'on me tire ce jean.


Bonjour je suis Jericho Barrons et j'ai le téton agressif. Je risque d’éborgner quelqu'un.


Jaja où es tu? Juste en dessous mon grand fou


Arretes de me regarder comme ça je n'ai plus aucun poil de cul à disposition.

"Barrons leves toi et danses avec la vie
L’écho de ta voix est venue jusqu'à moi" Julie Pietri sors de ce corps.



Cote face. Mais BORDAYYYYYYYYYYYYYL
J'AI DIS QU'ON M’ENLÈVE CE PUTAIN JEAN



   

Bonjour je suis Jericho Barrons et j'ai le phallus agressif.
Je risque d’éborgner quelqu'un. 


Alors toi aussi tu veux prendre le risque de faire crever un oeil?


mardi 29 mai 2012

BONUS de Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline par Erika Cazaux


Salut ma petite baloche en sucre,

Alors bon j'avais prévu à la base de te mettre des photos de notre DG national mais je viens d'utiliser le peu d’énergie qu'il me restait pour faire le compte rendu de ma convention vampire diaries. D'ailleurs si ça te dis de savoir si Jaja a réussi à tenir deux jours sans montrer ses loches c'est par ici. 
Du coup vu la tournure  qu'a pris les commentaires du  dernier extrait de la fanfiction d'erika, on s'est dit que ce bonus tombait comme un poil de cul dans la soupe. 

Alors voilà c'est cadeau...............................





Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline

                                                                                                                      Extrait n°4

BONUS

De nombreuses femmes lui vouent encore aujourd’hui un tel culte qu’une association à son effigie a récemment vu le jour : les « Barrons Addicts Anonymes » (BAA) présidée par Madame Jacinthe Nitouche. Cette femme exceptionnelle offre généreusement du rêve à toutes celles totalement éprises de ce « mâle suprême », celles-là mêmes qui apprécient la danse de l’allégresse tétons au vent… Car oui, qu’on se le dise, les BAA aiment danser nue, faire des YMCA ou des OLAS pour manifester leur joie d’admirer de nouvelles photos de cette incarnation divine, d’entendre sa voix suave et envoûtante, écrire des odes en son honneur…

Leurs imaginations débordantes et leurs rêveries fantasmagoriques de plus en plus coquines leur occasionnent d’ailleurs un déchaînement hormonal, et par conséquent des envies toujours plus frugales. Merci à celles qui tentent de nous rassasier par leur nouvelle découverte du moindre fait et geste de Barrons !!!

Il se dit même que certaines d’entre elles en viennent à souhaiter devenir une Pri-Ya en ayant été, au préalable ou en guise de préliminaire au choix selon ses désirs, abusée par un Faë (n’oublions pas qu’eux-aussi sont dotés d’un charme époustouflant) afin d’être sauvée de cet état grâce à une douce torture Barronesque infligée dans l’antre d’un sous-sol où personne, non personne, ne viendra les déranger. Encore heureux, car celui ou celle qui oserait les importuner dans une telle débande serait probablement condamner à un courroux sans limite…

Cette passion dévorante qui devient souvent obsessionnelle, n’ayons pas peur de le dire, et le partage de cette vénération unissaient les BAA. Malgré lui, cet Homme rassemblait les femmes.
Enfin… si on lâchait le fauve dans l’arène, serions-nous toujours aussi loyales et généreuses les unes envers les autres ;-) ???



lundi 28 mai 2012

Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline #5 par Erika Cazaux


Salut à toi mon rouston aux oignons,

Alors déjà avant toutes choses, désolé d'avoir déserté ce blog ces derniers jours mais bon j'avais quand même une bonne excuse, je prenais du bon temps avec Ian et Paul de Vampires Diaries. Tu comprends bien que j'ai des priorités dans la vie. Alors bon pendant que j’étais en charmante compagnie ya quand même Erika qui a pas chômé et qui nous a sorti son extrait en temps et en heure. Je vous laisse en compagnie d'Arielle et Barrons. Bande de petites veinardes.

Si tu as le cerveau aussi mou que mon périnée tu peux te rafraîchir la mémoire par ici.








Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline



 PRÉSENTATION

L’idée d’écrire cette fanfiction est née de mon envie d’apprendre à connaître Jericho Z Barrons, si toutefois cette nomination est correcte…, car comme vous le savez, tellement de questions restent en suspens !!!
Et en attendant que Karen Marie Moning nous offre des informations supplémentaires le concernant, je ne peux réprimer l’errance de mon Imagination qui ne cesse de tenter de percer le mystère Barronesque. Alors certes celle-ci prend de grandes libertés et divague à souhait, mais je souhaiterais vous faire partager la représentation que je me fais d’une des premières relations sentimentales qu’aurait pu vivre cet Homme.
Cette fanfiction met en scène une véritable rencontre amoureuse semée de diverses embûches, dont l’issue pourrait bien être tragique…

Au travers de cette histoire principalement charnelle et sentimentale, je voudrais témoigner de la dimension à la fois sensuelle, sauvage voire bestiale que je prête au Jericho Z Barrons de mes fantasmes.
Je vous proposerai donc tout au long du récit des descriptions de ses contemplations et de ses ressentis. J’ai envie de me risquer à décrypter le psychisme si complexe et probablement torturé de celui-ci.
Ses sentiments pourront parfois être différents de ceux éprouvés aujourd’hui. Il me paraît évident que le vécu de ses 500 dernières années lui a laissé des traces sur ce qu’il peut être aujourd’hui. C’est pourquoi en certaines occasions, vous pourrez être déroutées par une attitude, un geste ou une parole du Barrons de ma rêverie. Celui que nous connaissons de la plume de Karen Marie Moning est mûr de plus d’un demi-millénaire. Mais auparavant, qui et comment était-il ?
Comme sa créatrice, je ne préfère pas entrer directement dans son esprit, de toute manière il ne me laisserait pas faire…, d’où la distance choisie par le point de vue narratif omniscient. Cependant, je vous rassure tout de suite, insidieusement, je vais essayer de m’introduire dans cette carapace…
Enfin, l’emploi du présent dans certains passages est volontaire, il montre qu’en 2012 certaines caractéristiques de Barrons sont toujours les mêmes, notamment au niveau de sa beauté et de son charisme légendaires, de son arrogance, de sa détermination, de sa virilité ainsi que de ses pulsions et besoins sexuels démesurés.

L’évolution actuelle de l’histoire me laisse supposer que la fanfiction devrait être composée d’une dizaine d’extraits. Comme j’écris au fur et à mesure, je ne peux être plus précise pour l’instant.

Puisse notre aventure nous permettre de rencontrer Barrons dans son essence…
Erika
♥♥♥

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                                                                                                                      Extrait n°5

            Barrons, abasourdi et agacé par l’affront de son cheval, sauta de celui-ci avec une telle véhémence qu’il termina son soubresaut par une élégante roulade à terre. Sans aucune hésitation, ni regard vers Asgard, il se redressa et s’élança à toute vitesse à travers les fougères, laissant ce dernier sidéré par la riposte de son écuyer. Ce destrier était d’une grande intelligence, perspicacité et sensibilité. Même si Barrons n’avait manifesté aucun mécontentement, ni agressivité envers lui, il percevait la fureur qui consumait son cavalier. Rompre brusquement le galop toujours plus pressé que requérait son maître était sa tentative de lui faire recouvrer la raison. Malheureusement, il n’avait fait que l’éloigner davantage...
Asgard était un valeureux cheval, pourtant il ne se darda pas à la poursuite de Barrons. Il était déjà quasiment impossible qu’un être humain de l’envergure de cet homme puisse traverser sans mal ces frondaisons touffues, alors il était inimaginable qu’un pur-sang aussi puissamment bâti qu’Asgard s’y engage. En revanche, celui-ci se mit en quête de sentiers qui pourraient le rapprocher de son déraisonnable maître. L’étalon entendit des vociférations qui se transformèrent rapidement en hurlements animaliers jusqu’à devenir des rugissements féroces. Mais qu’était-donc son maître ? Était-ce vraiment lui qui grondait si fort ? Était-il possible qu’un être humain puisse émettre des sons aussi bestiaux ? Asgard continua ses recherches pendant un moment mais en vain !

Un sentiment de colère enragée envahissait Barrons et le contraignait à gémir toujours plus énergiquement. Il courrait également de plus en plus vite. A bien y regarder, on pouvait se demander si cet homme ne détalait pas à quatre pattes. Seuls des nuages de poussière soulevés et accompagnés de courants d’air laissaient présumer du passage à la dérobée d’un être vivant.
Barrons avançait à travers des feuillages menaçants, les écartait d’un revers de main tandis que d’autres branchages l’assiégeaient. Peu importe si les ramures des conifères et les feuilles caduques des arbustes fouettaient l’ensemble de son corps à chaque pas. Bien au contraire, ces coups assénés lui procuraient le plaisir d’être malmené. Les sensations fortes que lui procuraient ses tortionnaires semblaient le divertir. De surcroît, cette course entreprise dans des conditions épouvantablement blessantes satisfaisait sa frénésie.
Il n’était même pas essoufflé par ce périple, il éprouvait le besoin vital d’aller au bout de ses forces. N’ayant pu ni exprimer, ni libérer, les pulsions sexuelles qui ravageaient désormais ses entrailles, cette dépense était la bienvenue.
En effet, au plus profond de son antre, il avait éprouvé un éréthisme sans précédent qui lui avait fait perdre, une fois n’est pas coutume, le contrôle de lui-même jusqu’à le métamorphoser en bête…

Pendant de longues heures, Barrons avait arpenté la forêt Findhorm. Il s’était enfoncé toujours plus loin dans les dédales de celle-ci. Il avait désormais la sensation de se trouver dans les renfoncements souterrains de la Terre. Il faisait nuit noire. La lune pleine de ces jours-ci aurait dû quelque peu éclairer cette futaie. Il n’en était rien et une ambiance sépulcrale triomphait. Le silence qui régnait n’était pas pour déplaire à Barrons. Le calme patibulaire lui prodiguait un certain ressourcement. Celui qu’il était justement venu chercher auprès de cette falaise qui jouxte l’océan. Au lieu de s’apaiser, en raison d’une rencontre importune, ses tensions avaient été exacerbées par l’apparition majestueuse d’une jeune femme qui l’avait déconcerté. Bien qu’il n’était pas du genre à se laisse attendrir, il s’était vu obligé d’accepter l’idée que quelque chose d’inconsidéré chez celle-ci l’avait profondément touché ! Sa sagacité habituelle ne parvenait à identifier ce qui avait pu le troubler au point de refuser de laisser libre cours aux fantasmes les plus ardents que la simple vision de cette femme avait suscités. Ordinairement, Barrons prenait ce qu’il voulait et bien plus ! C’était d’autant plus facile que la plupart des femmes étaient conquises avant même qu’il n’ait ouvert sa délicieuse bouche. La situation de la veille était bien différente car il ne s’expliquait pourquoi il s’était lui-même privé d’une étreinte que la jeune femme désirait également si vivement. Il avait pu sentir combien elle était prête à s’offrir à lui. Il avait vu dans ses yeux, une excitation rare. Bien entendu Jericho Z Barrons était accoutumé aux femmes qui souhaitaient être possédées par un homme si scandaleusement attirant. D’autant plus qu’une telle aura sexuelle émanait de son corps qu’un parfum de jouissance promise s’en échappait !
Il avait en effet remarqué dans les prunelles de cette jeune femme insensée, qui malgré l’apparence apeurée n’avait rien d’une vierge, des flammes incandescentes qui brûlaient de désir et de passion. Serait-elle mon pendant féminin ? S’était-il surpris à s’interroger. Il avait refusé de pousser plus loin la réflexion. Il avait certes manqué sa chance de faire sienne ce qui semblait être une maîtresse accomplie, mais il n’était pas de ceux qui ressassent sans cesse leurs erreurs. Très rapidement, le destin mettrait sur sa route une femme certainement plus quelconque mais avec laquelle il n’aurait aucun scrupule à évacuer ce trop-plein d’énergie sexuelle.

Barrons commençait enfin à sentir son corps relâchait une à une les tensions qui avaient récemment laissé un champ de ruines viscérales dans sa chair. Il avait couru, couru, couru, dans l’espoir d’épuiser ses pulsions qui généralement faisaient de lui un amant formidable.
Les prouesses Barronesques (néologisme né du besoin d’inventer un adjectif plus précis que l’adjectif « sexuel ») de notre Homme résultaient assurément d’une libido, aussi appelée élan de vie, dont il était excessivement pourvu. Un flot d’énergie vitale coulait continuellement dans ses veines. C’est pourquoi Barrons avait besoin de posséder toujours davantage de femmes. Une seule n’avait jamais pu harasser cette force qui faisait rage en lui. Même les plus gourmandes des maîtresses n’avaient réellement pu jusqu’alors satisfaire la satiété sexuelle de cet homme. Aucune surtout, n’avait suffisamment trouvé grâce à ses yeux pour qu’il lui donne une chance d’assouvir régulièrement le désir qui l’emportait.
Le chemin parcouru au cours de cette journée lui laisserait un peu de répit avant la prochaine envie qui terrasserait ses entrailles. Pour l’heure, il pouvait se reposer. Il avait interrompu son errance lorsqu’il avait découvert, au moyen de sa vision nocturne, une tanière raisonnablement vaste pour accueillir sa monumentale carrure. Il y passerait la nuit et dès la première heure, il partirait à la recherche d’Asgard afin de retourner au château de Dalkeith.
Il s’apprêtait à se lover au creux de ce refuge quand il entendit soudainement de délicats bruits de pas. Seule une ouïe développée pouvait percevoir ce murmure. Le craquement léger de brindilles produit par des pieds menus assura à Barrons qu’il n’était désormais plus seul. Il se releva et sonda l’horizon nébuleux qui l’entourait. Sa nyctalopie lui permit de déceler un mouvement rapide, quoi que puisse être cette forme qui se ruait droit devant lui elle ne pouvait être humaine. Cette chose se mouvait avec une telle rapidité que les larges feuilles caduques ainsi que les branches des fougères semblaient danser devant lui. Était-il encerclé ? Combien de bêtes se préparaient à l’attaquer ? Il était certes seul, mais c’était de Barrons dont il s’agissait. Peu d’êtres humains ou d’animaux pourraient venir à bout de notre Homme, et ce, aussi nombreux fussent-ils !
C’est alors qu’un cri strident retentit ! Barrons n’était définitivement pas menacé par un être humain. Il s’ancra alors profondément sur ses deux jambes, comme s’il tentait de s’enraciner dans la terre. Il tournoyait sur lui-même pour essayer d’anticiper l’assaut. Il apercevait seulement la mouvance des feuilles qui poursuivaient leur chorégraphie sous l’effet des déplacements de la ou des créature(s). Il se refusait à interpeller son ou ses adversaires, comme s’il le ou les ignorait. Il attendait sans bruit et sans crainte que son ou ses agresseur(s) surgisse(nt). Malgré sa posture parfaitement arrimée au sol, il fut chargé par une force considérable provenant d’un corps fluet. La bête avait émergé face à lui et malgré sa vue perçante, il n’avait pu identifier la nature de celle qui s’était jetée sur lui si brutalement qu’elle l’avait renversé et envoyé valser deux mètres plus loin. Pourtant, contre son torse, il avait senti que la créature qui venait de le terrasser était très fine et bien plus petite que lui. Toutefois, il avait été projeté par une rare vigueur et puissance. Alors que Barrons demeurait au sol pendant qu’il essayait de découvrir l’identité de l’auteur de cette bousculade, une femme d’une laideur infâme le toisait du haut de sa ridicule petite taille !
Barrons ne put s’empêcher d’éclater d’un rire sardonique qui irrita immédiatement la sorcière qui se tenait droit debout devant lui, les mains posées de part et d’autre de sa taille et la moue contrariée. L’homme dont le visage arborait une expression acerbe et moqueuse riait si fort qu’il n’entendit pas cette femme pourtant en train de crier : « Pour qui vous prenez-vous homme-sauvage pour profaner ainsi des terres sacrées ? ». Toujours Goguenard, Barrons ne pouvait s’empêcher de se tordre de rire. Seule la surprise avait pu le faucher aussi fortement. Cette femme de grotesque stature ne pouvait être à l’origine de sa chute. C’était tout bonnement impossible ! Il se redressa et mit un genou à terre pour se rabaisser à la hauteur de cette hideuse femme. Avant de répondre de manière sournoise, il scruta le visage à priori si répugnant de cette sorcière. Tandis que son hilarité l’empêchait de distinguer précisément la face de sa belligérante, il lui sembla que sa vue se troublait car son nez long et crochu se réduisit considérablement pour devenir droit et aquilin, ses verrues disparurent pour laisser place à une peau couleur ivoire et sans aucun défaut, ses yeux si noirs s’éclaircirent au point de devenir ambré et parsemés de filaments dorés, enfin sa bouche se teinta d’un rouge grenat. Ses cheveux quant à eux se foncèrent d’un noir ébène et semblèrent se discipliner. Les haillons que portaient précédemment cette horrible sorcière, euh veuillez m’excuser, cette ravissante jeune femme se changèrent en une robe au décolleté vertigineux rehaussé de manche bouffante jusqu’aux avant-bras et cintrée à la taille. Ce vêtement outrancièrement affriolant d’un rouge vif, soulignait la moindre courbe parfaite de cette sublime sorcière !
Je dois être en train d’halluciner, mes pulsions sexuelles ne se sont pas atténuées si bien que mon esprit a transformé cette sorcière abjecte en une délicieuse et charmante créature. Peu importe, de toute manière, je ne peux lutter plus longtemps contre cette convoitise qui a ranimé un feu que je m’étais pourtant évertué à étouffer !

La sorcière à l’apparence foncièrement aguicheuse n’était pas dupe du désir qu’elle venait d’éveiller, ou du moins le croyait-elle, chez cet homme animal. Bien qu’il lui ait fait une forte désagréable impression lorsqu’elle l’avait surpris à sillonner son territoire comme une bête en furie et qu’il s’était ouvertement moqué de sa précédente apparence extérieure, l’excitation sexuelle palpable qui saturait l’air ne la laissait pas indifférente. Dans le but de ne laisser paraître aucune attirance réciproque, la jeune femme papillon s’empressa de rétorquer :
Et accoutrée d’un tel apparat, m’accorderez-vous davantage votre attention, homme-sauvage ?
Ce n’est pas mon attention que je vais vous accorder Femme ! répondit Barrons, un sourire suspendu aux lèvres qui en disait bien long sur ses intentions.
Comment osez-vous vous adresser à moi de la sorte ? Les joues de cette dernière s’empourprèrent alors qu’elle se donnait tant de mal pour reprendre contenance.
Och ! Ce n’est rien en comparaison de ce que je m’apprête à vous faire subir, Lass ! renchérit Barrons, obnubilé par la seule pensée qui prenait naissance dans le giron de son abdomen.
Mais pour qui vous prenez-vous homme-sauvage ? s’écria-t-elle sans grande conviction.
Pour l’homme-sauvage qui va vous ba…
Messire, surveillez votre langage, comment osez-vous… comment osez-vous me…
Assez Lass, vous en avez autant envie que moi, cessez vos balivernes, avec moi elles ne prennent pas !
Quel sauvage tout à fait entrepr… euh, arrogant et insolent faites-vous ! Et vous croyez que je vais vous laisser me pren… me traiter ainsi sans même me défendre ?
Och ! Je ne crois pas que vous allez vous débattre longtemps, si je ne m’abuse ? insista-t-il en attrapant la femme par la taille et l’attirant brutalement à lui. Son dos frêle se cogna contre le torse de Barrons qui la maintenait prisonnière d’un seul bras juste en dessous de son opulente poitrine. Il avait dorénavant une vue imprenable sur la naissance de ses seins qui se soulevaient si fortement à chacune de ses inspirations haletantes. D’ivresse, la tête de celle-ci lui tourna et elle essaya faiblement de protester :
Je ne vous autorise pas homme-sauvage à ne pas… nay, à poser vos sales pattes sur moi homme-sauvage ! balbutia-t-elle, son esprit commençant à sérieusement s’embrumer. Barrons la retourna sèchement pour la forcer à lui faire face et avec un sourire railleur, la provoqua :
Prétendez-vous que ma rudesse ne vous excite pas Lass ? Êtes-vous certaine de souhaiter que je retire mes sales pattes de votre corps qui ne cesse de m’appeler ? Il crie plus fort que vous vous savez, il me supplie de le faire mien ! Barrons s’était suffisamment baissé pour que son visage soit à la hauteur de celui de la femme et il s’était dangereusement rapproché.
Gougeât ! persifla-t-elle.
Aye, si vous voulez, tant que je peux faire de vous ce que je veux !
Il ne laissa pas le temps à la jeune femme de répliquer, il s’empara bestialement de la bouche de celle qui était contrariée d’être à ce point subjuguée par un homme aux manières si désinvoltes. De toute manière, il était déjà trop tard, elle se serait damnée pour recevoir des caresses des sales pattes de cet homme !

***
 Voilà mes petits culs d'amour c'est finit pour aujourd'hui.


jeudi 24 mai 2012

Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline #4 par Erika Cazaux

Salut à toi Jeanneton qui prend sa faucille,

Bon alors je vais arreter de faire comme si tu n'etais pas au courant parce que tu l'es forcement et je vais juste me contenter de te mettre en lien les derniers extraits de la FANFICTION qui te met la vulve au court bouillon made in Erika.

Alors installes toi confortablement, prends tes dragibus et kiffe ta race



Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline



 PRÉSENTATION

L’idée d’écrire cette fanfiction est née de mon envie d’apprendre à connaître Jericho Z Barrons, si toutefois cette nomination est correcte…, car comme vous le savez, tellement de questions restent en suspens !!!
Et en attendant que Karen Marie Moning nous offre des informations supplémentaires le concernant, je ne peux réprimer l’errance de mon Imagination qui ne cesse de tenter de percer le mystère Barronesque. Alors certes celle-ci prend de grandes libertés et divague à souhait, mais je souhaiterais vous faire partager la représentation que je me fais d’une des premières relations sentimentales qu’aurait pu vivre cet Homme.
Cette fanfiction met en scène une véritable rencontre amoureuse semée de diverses embûches, dont l’issue pourrait bien être tragique…

Au travers de cette histoire principalement charnelle et sentimentale, je voudrais témoigner de la dimension à la fois sensuelle, sauvage voire bestiale que je prête au Jericho Z Barrons de mes fantasmes.
Je vous proposerai donc tout au long du récit des descriptions de ses contemplations et de ses ressentis. J’ai envie de me risquer à décrypter le psychisme si complexe et probablement torturé de celui-ci.
Ses sentiments pourront parfois être différents de ceux éprouvés aujourd’hui. Il me paraît évident que le vécu de ses 500 dernières années lui a laissé des traces sur ce qu’il peut être aujourd’hui. C’est pourquoi en certaines occasions, vous pourrez être déroutées par une attitude, un geste ou une parole du Barrons de ma rêverie. Celui que nous connaissons de la plume de Karen Marie Moning est mûr de plus d’un demi-millénaire. Mais auparavant, qui et comment était-il ?
Comme sa créatrice, je ne préfère pas entrer directement dans son esprit, de toute manière il ne me laisserait pas faire…, d’où la distance choisie par le point de vue narratif omniscient. Cependant, je vous rassure tout de suite, insidieusement, je vais essayer de m’introduire dans cette carapace…
Enfin, l’emploi du présent dans certains passages est volontaire, il montre qu’en 2012 certaines caractéristiques de Barrons sont toujours les mêmes, notamment au niveau de sa beauté et de son charisme légendaires, de son arrogance, de sa détermination, de sa virilité ainsi que de ses pulsions et besoins sexuels démesurés.

L’évolution actuelle de l’histoire me laisse supposer que la fanfiction devrait être composée d’une dizaine d’extraits. Comme j’écris au fur et à mesure, je ne peux être plus précise pour l’instant.

Puisse notre aventure nous permettre de rencontrer Barrons dans son essence…
Erika
♥♥♥

      
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                                                                                                                      Extrait n°4

            Asgard galopait sans relâche sous les ordres de son cavalier. Le pur-sang sentait la frénésie qui tourmentait son maître. Sa seule réponse était d’avancer toujours plus vite… Tous deux semblaient fuir ! Enfin…, cet exode était essentiellement guidé par l’homme qui était aux commandes. Le cheval, quant à lui, se contentait de se mettre au diapason de l’autre Animal qui l’enjoignait de cavaler.

            Une pluie fine commençait à traverser le feuillage touffu des ramures de ces arbres si hautement perchés que leurs cimes en étaient imperceptibles. Barrons et sa monture empruntaient cette forêt et se dirigeaient vers Dalkeith depuis déjà plus d’une heure. Ils l’avaient ensemble parcourue de si nombreuses fois qu’elle n’avait plus aucun secret pour eux, ou du moins c’était ce qu’ils aimaient à penser !
Cette immense futaie était connue pour cacher en son sein des bêtes toutes plus viles les unes que les autres. Toutefois, ces créatures ne se montraient qu’en de très rares occasions et se tenaient très éloignés des chemins régulièrement fréquentés. Barrons lui-même avait toujours soigneusement évité de s’enfoncer dans l’antre viscérale de cet éminent parc boisé d’une grande diversité d’arbres. Néanmoins, cette forêt boréale calédonienne et à feuilles caduques communément appelée Findhorm, était composée en grande partie de pins sylvestres, de bouleaux ainsi que de chênes. Les frondaisons sauvages empêchaient l’accès à ces renfoncements. Les Highlanders avaient d’ailleurs pour habitude de croire que des Esprits de la Nature en étaient les féroces gardiens. Bien que Barrons ne prêtait le moindre crédit à ces légendes, il ne s’était jamais risqué à en réfuter la véracité par des preuves tangibles.

Habituellement, Barrons profitait du paysage forestier lors de ses longues chevauchées. Il s’imprégnait de cette atmosphère tantôt apaisante, tantôt dangereuse. Il savourait chaque seconde de ses promenades et laissait même quelque fois la liberté à son destrier de mener le rythme de galop. Ce duo équestre se connaissait si bien que lorsque l’un deux présentait une faiblesse passagère, aucune injonction n’était nécessaire. Autant l’un que l’autre se calaient sur l’humeur ostensible de son partenaire. Or, à ce moment précis, Asgard ressentait l’animosité que dégageait son écuyer. Barrons, généralement si maître de ses émotions, malgré parfois leur intensité titanesque, ne s’était jamais laissé aller à une telle furie ! Pourtant, il tentait de se convaincre du relâchement de la tension sexuelle qui faisait rage en lui depuis des heures maintenant. Il n’acceptait pas d’admettre que la naïade sauvée d’une mort atroce la veille, avait éveillé en lui un désir encore plus incandescent que les innombrables pulsions éprouvées jusqu’alors.

Toutefois, l’instinct animal avisé d’Asgard l’informait que son maître était en train de perdre le contrôle de lui-même. C’est pourquoi, soudainement, en dépit des encouragements de Barrons, il décéléra son pas de course jusqu’à finalement l’interrompre.

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            Pendant que Barrons cheminait férocement vers Dalkeith, Arielle, quant à elle, s’évertuait à réfléchir à son avenir. Elle essayait tant bien que mal de recouvrer ses esprits et de comprendre ce qui venait de se produire. Certes, cet homme lui avait paru très rustre, mais elle ne parvenait à s’expliquer l’attitude si outrancière de celui qui l’avait pourtant secourue d’une situation dramatique. Elle n’avait d’ailleurs rien demandé. Pourquoi m’a-t-il épargné un désastre pour ensuite me fuir si sauvagement sans aucune explication ? Ne cessait-elle de ressasser.
Elle se sentait fébrile et perdue. Elle s’efforçait depuis maintenant une bonne heure de rassembler le peu de souvenirs qui lui restait de cet étrange moment vécu la veille. Comment me suis-je retrouvée si près d’une mer déchainée sans même avoir conscience de m’être dirigée vers la bordure océanique ? Qu’est-ce qui a bien pu à ce point m’attirer ? Comment suis-je arrivée à la lisière des vagues alors que je ne me rappelle même pas être descendue à travers les sentiers de landes de la falaise ? Mais que m’arrive-t-il ? Comment ai-je pu en arriver là ? Et puis, que faisait cet homme, lui-même si proche d’un océan menaçant ?
Et voilà, ses pensées revinrent à nouveau à l’homme qui avait profondément blessé son estime. Suis-je si repoussante ? Elle prit conscience qu’elle ne se souvenait pas non plus quelle était son apparence ! Pour qu’il déguerpisse de façon si incorrecte, elle devait probablement être méprisable. Le ressentiment qu’elle avait suscité chez cet homme excluait désormais le désir naissant qu’elle avait pourtant cru déceler au creux de son abdomen. À bien y penser d’ailleurs, il ne pouvait être possible qu’un homme soit ainsi taillé ! C’est alors que des divagations coquines se mirent en branle. Elle commença à se demander ce qu’il en était de sa vie sentimentale !
Suis-je une femme mariée ? … Hum, non je n’en ai pas l’impression, je me souviendrais tout de même d’un conjoint aimé ? M’attend-il quelque part ? …
Suis-je une vierge effarouchée et répugnante ? … Je n’ai pas non plus le sentiment d’être aussi abjecte que cet homme a souhaité me le faire penser. Elle regarda son corps vêtu de sa tunique pourpre royale qui dessinait ses formes. Elle ne se sentait pourtant pas si hideuse. Ce qu’elle portait était plutôt séduisant.
Suis-je une maîtresse dévergondée ? Des réminiscences de mains caressant sa peau délicate et soyeuse, de coups de rein endiablés d’un homme sans visage, s’imposèrent à son esprit et un effluve de jasmin à ses narines…
Elle ne savait d’où provenait ce souvenir agréable, si tendre et sauvage à la fois…
Mais qui Arielle, peux-tu bien être ?

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Barrons paraissait totalement déconcerté par l’initiative d’Asgard. En outre, une pluie tonitruante s’abattait désormais sur les rameaux qui pliaient sous le poids de cette ahurissante averse. Depuis le départ inopiné et précipité de Barrons un peu plus tôt dans les faibles lueurs du jour, une bruine accompagnait sa route. Il était désormais frappé par une pluie torrentielle.
Le martellement des gouttes ruisselant le long de son visage imposant laissait des filets d’eau qui poursuivaient leur course sur ses courbes superbement sculptées. Les gouttelettes qui s’égaraient dans ses cils abondants, les rassemblaient jusqu’à leur donner une forme étoilée. Cette pluie transformait notre homme et lui conférait un charisme, comme si cela avait été possible, encore plus saisissant. Son tartan totalement trempé, était devenu une seconde peau laissant deviner le galbe de ses muscles modelés à la perfection.
Malgré le tambourinement de la pluie, Barrons crut entendre des murmures féminins, après tout, peut-être bien que des Elfes séjournaient dans cette vaste étendue !
L’expression interrogative et toujours aussi crispée de colère ajoutait un charme supplémentaire à cet Homme, qui avait plus l’allure d’une incarnation divine que d’un simple être humain du commun des mortels. Même les fleurs, écrasées par cette pluie battante, semblaient se délecter de cette vision. Malgré les assauts diluviens, elles conservaient une posture majestueuse que ce Dieu vivant ne put s’empêcher de remarquer. Ces Fleurs de charbon d’un magenta éclatant arboraient une allure fière. Ces ramassis de fleurs offraient un spectacle à Barrons qui lui plaisait.

En effet, depuis toujours, ce mâle suprême est particulièrement sensible a tout ce qui se créé de manière naturelle. Les sens aiguisés, il jouit de chaque cadeau offert par la Vie, que ce soit par le regard posé sur un élément naturel ou bien dans les bras d’une femme. Il lui est d’ailleurs souvent arrivé de pouvoir réunir les deux. L’extase de délicieuses étreintes vécues dans des paysages insolites au clair de lune se décuple lorsque Barrons fait l’amour à une femme dans des conditions inaccoutumées.
L’observation silencieuse et contemplative de tout ce qui l’entoure a été le meilleur entrainement sensuel de Barrons. Le développement de cette faculté rare a fait de lui un amant hors pair. Les mots que déversent constamment certaines femmes ne l’intéressent pas, Barrons est bien plus excité par le langage corporel. C’est pourquoi il est davantage à l’écoute d’une personne qui se tait que de celle qui jacasse.
Pour lui, le corps humain et surtout le corps d’une femme est une poésie en soi. De son seul regard, il saisit parfaitement les pensées de celle-ci. Selon la posture et l’expression faciale de celle qu’il admire, il est capable de percer à nu ses désirs profondément enfouis...
Les formes d’une femme sont pour lui une carte permettant d’appréhender sa psychologie. Ses seins, selon leur épanouissement à cet instant, lui révèlent la gourmandise de sa future maîtresse. La position dans laquelle la femme se tient devant lui, lui permet de décrypter quelles attentes celle-ci espère voir assouvies. Le regard plutôt innocent ou plutôt aguicheur ou encore provocateur, l’incite également à adopter une manière plus ou moins douce de faire sienne celle qui se laisse conquérir sans même parfois un mot échangé. Oh combien de fois Barrons aura prodigué les caresses les plus intimes à une femme avant même de n’avoir prononcé un son…
Barrons n’a en effet pas besoin d’agréables paroles pour témoigner de son intérêt à une femme. Sa manière de la regarder, donne l’impression à cette chanceuse d’être vue comme elle est, d’être excessivement désirée, voire même d’être vénérée. De cette œillade, la femme se sent goutée comme elle ne l’a jamais été. Et ces sensations n’ont pas besoin de mots. Au contraire, il serait maladroit et totalement vain de tenter de verbaliser ce ressenti.
Il possède cette flamme dans les prunelles qui pourrait faire taire la plus loquace des femmes. Il suffit d’un instant pour accrocher ce regard et de ne plus pouvoir se détourner de cet Homme. En somme, il n’est pas si compliqué pour Barrons d’interpréter les femmes. Une fois qu’elles ont posé les yeux sur lui, elles veulent toutes la même chose, elles ne peuvent plus que désirer une seule et unique chose : LUI !!!
Et alors, l’aisance lexicale dont font preuve de nombreuses femmes se fane et le mutisme les gagne. Lorsque Barrons est le témoin de la transformation d’une femme à son contact, il sait à ce moment-là, qu’elle est conquise. Point besoin de la courtiser, la contemplation a toujours été pour Barrons sa meilleure arme de séduction. Une arme qui l’a toujours plus ou moins sorti de situation inextricable avec la gent féminine.

En revanche, la myriade de sons émis lors de l’étreinte sensuelle donne un premier aperçu de l’intériorité de Barrons. Celui-ci n’est pas humain c’est certain. Si la femme n’était pas encore totalement sous le charme, comme si cela était possible, les gémissements bestiaux émis par Barrons finissent de la soumettre à la virtuosité sexuelle de ce partenaire hors du commun.

C’est pourquoi, si brusquement des esprits malfaisants féminins venaient à surgir, aussi pernicieux pouvaient-ils être, un simple regard, même totalement embrumé par la pluie, les désarçonnerait et les soumettrait au bon vouloir de ce Dieu vivant !!!

Je me dois de préciser que c’était tout de même la belle époque pour Barrons car de nos jours, les femmes étant devenues plus indépendantes et farouches, certaines ne cèdent pas si facilement… Et même si les longues discussions ennuient Barrons, avec le temps il s’est résolu à devenir un peu plus bavard. Néanmoins, il excelle désormais dans l’art des paroles acerbes. Sa joute verbale est connue pour être honnête, sarcastique, parfois même très blessante et parallèlement, il n’en demeure pas moins attirant !!! Allez savoir…
Ne dit-on pas que derrière les plus grandes murailles se cachent les plus précieux trésors ???

       ***
 Alors ton paquet de dragibus est toujours vivant?
Tu te poses toi aussi pleins de questions sur la suite des évènements?
Ben c'est normal, j'ai juste envie de te dire A LUNDI
HAHAHA (rire gras)

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