lundi 14 mai 2012

Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline #1 par Erika Cazaux


Mon petit caribou des neiges,

Je préfère te prévenir que tu vas avoir droit à une exclusivité internationalement mondiale. Mieux que le salon de la rosette à Nogent le Retroux ou le concours de tee-shirt mouillé à Chillymazarin, le blog t'offre sa 1ere FanFiction sur le mâle suprême.
Alors tu es sur le cul?
Limite tu as le fessier en perdition. Je comprend mais bon ressaisis toi parce que c'est jamais bon de rester avec la miche molle trop longtemps.

Je tenais à remercier Erika pour son jolie cadeau. Alors toi aussi tapes dans tes mains, fais un tour sur toi-même et frétille du téton en son honneur.
(diling diling diling) oui ces temps ci je sais pas pourquoi j'ai le mamelon qui fait un bruit de clochette. C'est un peu galère pour moi par contre c'est ultra pratique pour mon homme, il sait toujours où je me trouve.


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Cette fanfiction met en scène des personnages fictifs de l’univers de Karen Marie MONING et notamment Jericho Z Barrons (saga Fièvre) ainsi que Hawk (cycle des Highlanders) en Écosse dans les années 1500.
Elle témoigne de la représentation personnelle que je me fais de Jericho Z Barrons et de l’histoire qu’il aurait pu vivre. Cette perspective s’éloigne de la création originale du personnage et de l’univers.
J’espère qu’elle vous ravira autant que j’ai eu plaisir à l’écrire.


Erika Cazaux




Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline

                                                                                                                    Extrait n°1





Highlands, Écosse, Lughnassadh, 1512

Son regard s’égarait dans les abimes de cette majestueuse étendue d’eau. Les embruns ravissaient ses poumons. La mélodie des vagues déferlantes se fracassant sur la roche accompagnée d’une brise sifflante et les hululements de mouettes agitées, le mettaient en alerte. Un goût de sel se déposait parfois délicatement sur ses lèvres déjà humides et parfois plus sauvagement lorsque une bourrasque de gouttelettes osait atteindre ce visage pourtant si menaçant. Il ne faisait qu’un avec cet élément qui le fascinait depuis déjà ce qui lui semblait une éternité. Il paressait faire l’amour à ce spectacle qui s’offrait à ses yeux luisants de colère et conjointement, remplis de promesse de jouissance.

Par une fin d’après-midi estivale, Jericho Z Barrons admirait les ondulations de cet océan animé avec la même intensité qu’il contemplait les courbes d’une femme. Il épousait du regard le moindre recoin secret du firmament d’un bleu indigo si profond qui laissait présager d’une tempête sans précédent. Il caressait des yeux de la même manière les lignes opulentes d’une gracieuse femme, lorsque malgré lui, son dévolu avait été déchainé. Il ne pouvait alors être satisfait que lorsque son désir était repu, ce qui augurait pour cette victime des heures de plaisir, une extase inconnue et surtout insoupçonnable jusqu’à alors.


            Cet homme, ce « mâle suprême » comme il était surnommé à la cour du Roi James à Édimbourg rivalisait cordialement, dans les jeux licencieux, avec Sidheach James Lyon Douglas, plus connu sous le nom de Hawk, ou encore rebaptisé « étalon royal ». À eux deux, ils avaient fait des ravages sentimentaux. Ils avaient comblé comme elles n’auraient jamais pu l’espérer être, d’innombrables femmes de la contrée, autant qu’ils les avaient involontairement brisées. La plupart n’était en effet plus en mesure d’envisager une union avec un autre homme tant leur dernier amant, tel des Dieux incarnés dans des corps humains, les avaient emportées dans les tréfonds d’une foule de sentiments du plus coquin au plus tendre. Malheureusement pour elles, ces deux virtuoses du Sexe n’étaient pas du genre à s’attacher trop longtemps et, sans prévenir, après des nuits enflammées à faire rougir la plus délurée des femmes, ils les quittaient sans raison, ni même une explication. Dans l’orée du jour, il prenait la route sans même un regard en arrière. Il était trop tard quand ces pauvres donzelles s’en apercevaient. Ces femmes qui avaient connu l’exaltation et la béatitude de moments délicieux ne pouvaient que se terrer dans leurs souvenirs incandescents et revivre mentalement leurs ébats érotiques afin de ne pas sombrer dans la folie du manque. Il se disait que certaines en avaient perdu la raison. D’autres, à défaut de ne pouvoir assouvir leur nouvel appétit sexuel, refusaient de se sustenter. D’autres encore, multipliaient les amants, espérant secrètement deux conséquences. La première, que l’homme qui les en avait réduit à un telle débauche ait ouï dire de leurs frasques et que la jalousie le pousse à rebrousser chemin. La seconde, encore plus désespérée, était l’expectative qu’un jour elles retrouveraient la même vaillance sexuelle chez un partenaire. Toutes, quelles qu’elles soient, étaient le plus souvent déçues et malgré les stratagèmes les plus rusés dont elles faisaient preuve, rares étaient celles qui parvenaient à se soustraire de cette empreinte enamourée du mâle suprême ou de l’étalon royal laissée sur leur corps, leur cœur et leur âme. Marque imprimée au fer rouge sous la forme étrange d’un Z pour les plus chanceuses…

Ces deux fougueux s’étaient présomptueusement donné seulement deux règles de jeu, de manière à ne pas achever ces femmes aussi veinardes qu’infortunées d’avoir été le fruit de désirs coupables ou bien d’injonctions royales. Leur principe absolu les empêchait de la courtiser une seconde fois, si bien entendu, la flatterie s’était avérée nécessaire, pour l’affubler des caresses les plus intimes. Leur deuxième convention, plus orgueilleuse encore, ne leur autorisait pas à séduire une femme qui avait connu les étreintes endiablées de son frère d’honneur. Sous couvert de souhaiter protéger la belle, une raison non dite et bien moins noble, avait inévitablement germé dans l’esprit de chacun : ces femmes ne devaient pas comparer leurs prouesses sexuelles ! Ces deux hommes à l’instinct hors du commun savaient intuitivement lorsqu’ils s’approchaient d’une femme intouchable. Or, quand la Vie décide de s’en mêler, les êtres vivants ne peuvent que s’accommoder et s’approprier un destin inéluctable…


            Barrons venait de livrer une bataille opiniâtre et sanglante, mais comme à son habitude, remportée. Très occasionnellement, lorsque Hawk, Lord de Dalkeith-Upon-the-Sea ne pouvait mener son armée, Barrons acceptait de prendre le commandement de celle-ci lorsque l’enjeu le rapprochait de l’ennemi qu’il souhaitait atteindre. Ce bataillon avait une fois de plus repoussé les assauts de mercenaires du clan McKane, qui depuis si longtemps se battait pour faire disparaître des êtres légendaires que nul n’avait jamais rencontré : les Berserkers.

Barrons avait ramené les hommes sur leur terre quelques heures plus tôt et avait pris le chemin du paysage insolite qui le ressourçait toujours après un combat d’une telle envergure. Il avait chevauché un long moment pour bénéficier de l’énergie qui se dégageait de ce lieu si précieux pour lui.
Parvenu à destination, il offrit à son fidèle compagnon de route le repos tant mérité.
Depuis que Hawk lui avait offert ce cheval en guise de remerciement pour une faveur honorable rendue, Barrons s’était profondément lié à ce destrier aussi olympien que lui. Il avait nommé ce pur-sang Asgard car il avait le profil de la parfaite monture divine. Il était bien plus grand que les équidés ordinaires, son pelage très brun, brillant et soyeux lui donnait un éclat lumineux et sa corpulence racée, une allure conquérante. Tous deux avaient formé un tandem équestre très rapidement devenu légendaire. Le cavalier était aussi fier de son cheval que celui-ci loyal à son maître. Ils avaient une confiance aveugle l’un en l’autre. Depuis qu’ils s’étaient mutuellement apprivoisés, ils avaient ensemble mené de nombreux affrontements. Chaque lutte les rapprochait, un lien animal les unissait.

Barrons se trouvait désormais à des kilomètres de son village d’adoption actuel, Dalkeith, situé dans les Highlands. Seul. Il était seul, car il avait ressenti le besoin vital de respirer tranquillement et d’apaiser les tensions nées d’une lutte sans merci.

            Il surplombait l’océan du haut de la falaise. Il chérissait du regard cette immensité qui se livrait à lui telle une femme s’offrant à sa couche. Nue, sans aucun artifice, l’eau scintillait de mille feux sous un soleil régulièrement dissimulé par des nuages de plus en plus obscurs. Une brume nébuleuse était en train de naître. Barrons s’émerveillait de ce panorama. Son errance solitaire l’inclinait à prétendre que la nature se dévoilait sous ses yeux dans le but de lui proposer une représentation privée. Les attraits naturels de ce lieu édénique lui procuraient un plaisir visuel similaire à celui qu’il ressentait lorsqu’il s’apprêtait à conquérir le désir d’une femme.

Malgré la menace climatique perçue de sa place privilégiée, juché sur la falaise, comme appelé par un chant de sirènes, Barrons était descendu sur la plage. Lors de son excursion à travers les landes qu’il écartait pour se frayer un chemin, une sommation confuse le guidait vers la bordure océanique. Cela faisait des années qu’il ne luttait plus contre ses impulsions à priori dénuées de sens. Elle se révélait toujours justes, pas toujours heureuses, non certainement pas, mais elles l’avaient toujours placé là où il devait être. Et à cet instant précis, c’était ici, sur une plage totalement déserte. Qui aurait eu l’arrogance de défier ce qui se préparait ? Hormis lui, personne ne s’aventurerait en des temps pareils sur ce banc de sable.

L’orage était sur le point d’éclater lorsqu’à une dizaine de mètres devant lui, interloqué, il vit sa silhouette. Le brouillard était à présent si épais, que l’œil humain n’aurait pu distinguer une quelconque forme à moins d’une petite cinquantaine de centimètres devant lui. Le regard prédateur aiguisé de Barrons perçait le néant qui s’affairait autour de lui. Il ne pouvait lâcher des yeux la femme qui se trouvait seulement vêtue d’une tunique de couleur pourpre royal flottant sous les rafales cinglantes de vent, ce qui laissait découvrir des pans nus de son corps. Une longue chevelure châtain foncé, légèrement ondulée, fouettait durement le visage de cette apparition. Alors qu’il se dirigeait vers elle avec une envie naissante évidente logée au creux de son abdomen, il vit l’impensable !
Cette naïade, les yeux rivés vers l’océan, se mit en marche vers une indéniable catastrophe. L’homme ne put réprimer un cri d’horreur, lâcha un juron : « Enfer !!! » et s’époumona : « MAIS QUE FAÎTES-VOUS, LASS ? ».
En principe le timbre de voix à la fois si viril et si inquiétant de Barrons s’accompagnait d’un intérêt transit et interrogatif chez les personnes qu’il hélait. Or, celle-ci ne daigna détourner les yeux de son obsession. Pourtant, l’air salin déjà saturé de dangerosité, venait de prendre une toute autre nature. Quand Barrons était dans les parages, l’air devenait suffoquant, vous manquiez d’air, il demeurait difficile de respirer et combien l’homme adorait contempler son œuvre ! En effet, une poitrine qui se soulevait si abondamment pour tenter d’inhaler l’air qui lui faisait défaut, achevait d’alimenter les fantasmes nourris à l’égard de sa prochaine proie. Cet homme habitué à produire une réaction sensuelle chez les femmes, vexé, admis l’ignorance de celle qui l’avait anormalement excité considérant les conditions météorologiques. Cette intempérie ne lui avait effectivement autorisé qu’une sommaire estimation de la beauté de cette inconsciente.


Il avait interrompu sa progression pour tenter de comprendre ce qui se tramait sous ses yeux. Cependant, observant la démarche déterminée de cette femme, il ne perdit plus une seconde supplémentaire, reprit sa marche et se remit à la hucher. Il était hors de question de concurrencer l’océan, il avait beau être fort, nul n’est tenu à l’impossible. Exceptionnelles sont les situations qui freinent l’évolution de Barrons, or une mer ébranlée l’importune. Cet homme est autant attiré par l’océan qu’il en esquive les abords. Il s’est toujours senti exclu de la magnificence ressentie lors d’un bain revigorant dans les tumultes des vagues. À ce jour, il ignore toujours les raisons qui exhortent l’océan à le rejeter lui ! Lui, qui est pourtant si magnanime et exerce un pouvoir envoutant sur les femmes qu’il rencontre. D’où peut bien provenir l’amertume que me manifeste si vigoureusement cet élément ?

Il n’avait toutefois pas le loisir de se complaire dans cette réflexion, le fruit de son récent désir allait lui être arraché s’il ne réussissait pas à détourner cette femme obstinée de son intention de s’offrir à son adversaire. Il était inconcevable pour Jericho Z Barrons que son objet d’amour ne s’abandonne dans le lit d’un autre. D’autant plus que ce lit était précisément le dernier lieu auquel elle se livrerait vivante ! Constatant avec regret et rage que cette folle poursuivait son chemin, impétueusement il accéléra son rythme. S’il avait été humain on aurait dit de lui que c’était un sprinter de classe mondiale, or, connaissant Jericho Z Barrons, il est bien des choses, mais certainement pas un être humain ordinaire !
Il s’élança si rapidement, qu’en quelques foulées, il rejoignit la femme obnubilée par sa vision. Il attrapa alors violemment celle-ci par le bras. Cette dernière ne souffla mot et, sans même un soupir, ni le moindre mouvement corporel, elle continua de couver des yeux ce qui se présentait à elle une dizaine de mètres plus loin. L’écume des vagues venait lécher les pieds nus et délicats de cette ondine. Barrons, inconfortable à l’idée de mouiller ses brodequins noirs d’une eau sacrée qui le méprisait, sembla, une fois n’est pas coutume, désarçonné par l’énergie dégagée par cette femme. Il reprit rapidement contenance lorsqu’il ressentit dans sa chair la puissance d’une prochaine vague qui recouvrirait probablement une bonne partie de la plage. Son instinct animal le sommait de fuir tantôt. La femme n’avait pas bougé d’un iota. Ses yeux semblaient possédés par ce frénétique spectacle, tout son corps, même son âme, étaient tournés vers l’immensité comme une offrande. Elle n’avait même pas remarqué la présence d’un pair à ses côtés. Lorsque Barrons lui avait saisi le bras, elle avait interrompu son pas décidé et depuis, était restée immobile, totalement captive des mouvements effervescents de l’eau, ensorcelée par cette troublante mouvance. A-t-elle, contrairement à moi, un lien aquatique si particulier ? Est-elle une sirène qui s’apprête à regagner son milieu naturel ? S’interrogea Barrons. En tout cas, une force qui le dépassait, intervenait en ce moment même car la manière dont il lui serrait l’avant-bras aurait dû lui arracher un cri de souffrance. Il était certain que la trace de son emprise s’imprimerait sur cette frêle créature pour quelques jours si, bien évidemment, celle-ci était humaine… Mais la question existentielle de l’humanité était bien une énigme à laquelle il s’était interdit de méditer depuis qu’il avait découvert que le monde était loin de se réduire aux croyances du commun des mortels.


Il se mit à hurler de fureur, un son animal sortit du tréfonds de sa gorge, c’était trop ! Cette océanide devait recouvrer la raison et tout de suite !!!
Le feulement de cet homme qui commençait à perdre son calme n’affecta aucunement la belle. Elle ne percevait rien d’autre que le mirage d’une étendue d’eau qui l’invitait à se donner toute entière. Barrons pouvait vociférer à souhait, cette femme n’entendait pas un mot, elle ne voyait même pas qu’un homme immense au physique digne des plus bravades combattants se tenait près d’elle et tentait d’entrer en contact avec elle. La fameuse vague dévastatrice était sur le point de se former, Barrons n’avait plus le temps de s’évertuer à la ramener à elle. Il lâcha le bras de la femme possédée qui demeura parfaitement impassible, l’encercla sauvagement par sa taille menue mais musclée et la jeta sans ménagement sur sa propre épaule. Comme arrachée d’un douillet cocon contre sa volonté, la femme se mit à tonitruer dans un langage incompréhensible pour l’homme. Elle martelait son dos de coups de poing tout aussi doux que des caresses pour Barrons. Elle tentait si fort de mouvoir ses jambes, qu’il fût contraint de resserrer l’étreinte des jambes sculptées de cette femme contre son torse.

Barrons se hâtait vers un endroit à l’abri de cette tornade qui agitait tant l’océan. Tout le temps de la course, la femme l’enjoignait de la relâcher. Après ces jappements qui avaient troublés Barrons, l’injonction de la reposer à terre était devenue bien plus claire et plus autoritaire. L’association du toucher délicat des mains de cette folle sur son dos, de l’exhibition des mollets et du début de ses cuisses nus ainsi que des sons bestiaux qu’elle avait émis, avait suffi à réveiller le désir que cette mystérieuse femme avait fait naître en lui quelques instants plus tôt. Autant lui était excité par la scène qu’il était en train de vivre, autant elle, enrageait de plus en plus. Ce qui encouragea d’ailleurs Barrons à exhorter lui-même un grognement des plus sourds. Il devait radicalement avilir ce besoin primaire qui était en train de le consumer si violemment qu’il aurait éprouvé de considérables difficultés à se maîtriser une fois exempt de tout danger ! La jeune femme interrompit instantanément ses cris et Barrons sentit sous ses doigts fermement refermés contre les jambes de celle-ci, que le corps de sa victime se raidissait. Elle avait simultanément cessé de lui asséner des coups. Déjà qu’elle ne pesait pas bien lourd, alors désormais qu’elle ne se débattait plus, il courait si aisément que l’on aurait pu penser qu’il foulait à peine des pieds le sol. Le silence de sa rescapée lui fit soudain redouter le moment où il la descendrait de son épaule.

***


Alors?
Tu es devant ton écran et tu as envie d'en savoir plus?
Ben je te comprends surtout que moi je connais la suite.
HAHAHA (rire gras qui te hérisse tes poils de bras).




32 commentaires:

  1. Oh la la Erika, tu nous gâtes dis donc et puis t'es vachement inspirée (en même temps, Barrons est une source d'inspiration inépuisable), tu as su trouver les mots, chapeau bas...vite la suite, ne nous fais pas trop languir.

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    1. Merci Karin, j'espère que la suite te plaira aussi. Elle ne devrait pas trop tarder...
      Gros bisous

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  2. VOilà un texte digne de KMM ... mais on veut la suite !!!

    Il y a toutefois un mais (tout petit et qui est plsu une interrogation) "Ce qui encouragea d’ailleurs que veux-tu dire dans cette phrase Barrons à exhorter lui-même un grognement des plus sourds." : pour moi le verbe exhorter n'est pas à sa place ... mais je chipote (c'est une manie)

    A part ça BRAVO !

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    1. Waouh, c'est très gentil ça ! Je nourris l'espoir fou d'un jour parvenir à son niveau, la route est bien longue encore, mais j'y mets tout mon coeur et je m'éclate. Alors, si en plus quelques lecteurs apprécient mes modestes écrits, je serai très très heureuse. Mais en attendant, merci Mypianocanta et oui tu as raison pour le terme "exhorter" parfois quand je m'emballe (et avec Barrons, ça risque de survenir plus d'une fois !), il m'arrive d'employer un mot à la place d'un autre, le verbe "expulser" aurait été plus juste !
      Bref, merci encore !
      Gros bisous

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  3. Oui félicitations Erika! C'est vraiment prenant! Tu as beaucoup de talent. Tu nous gâtes d'un luxe de détails. Je trouve ton récit formidable. Karin a raison: ne nous fais pas trop languir avant de nous livrer la suite de cette histoire! Le début est si prometteur que j'ai hâtes de lire la suite! Alors à très bientôt j'espère! Bisous mes chouquettes!

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    1. Merci à toi aussi Nelly, c'est très gentil. Tes compliments me font très plaisir et m'encouragent à poursuivre. Promis, la suite ne se fera pas trop attendre !!!
      Gros bisous

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  4. Très bien écrit vraiment chapeau !! On veut la suite !!! =D

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    1. Yasmine, merci beaucoup ! Je suis très touchée.
      A très vite pour la suite.
      Gros bisous

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  5. Un grand MERCI à Jaja, sans toi je n'aurais certainement pas osé !!! Merci aussi pour ton temps, ta disponibilité, ta gentillesse et ta déconnade. C'est une très jolie aventure et je suis ravie les BAA (et les futures victimes de Barronite aiguë) de la partager avec vous.

    Alors une immense ola pour Jaja, les BAA et tout le monde !!!
    Gros bisous

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  6. Ouaip 1 immense ola pour tout ce que fait Jaja (deja rien que le fait d'avoir cree ce formidable blog pour que l'on puisse assouvir nos fantasmes les plus fous concernant JZB) & 1 immense bravo encore 1 fois a toi Erika, continue a nous faire rever aussi, becos tout plein les cheries.

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    1. Oui plein de OLA pour Jacinthe et encore merci à toi !
      Biz

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  7. Mais de rien les filles..... Allez pleins de kiss chantilly in your face.
    Que la force des BAA demeure.

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  8. Erika, que dire sans répéter ce que les filles ont déjà dit?! Bon on s'en fout je répète quand même!! =p 
    C'est juste waouh!! Tu as une de ses aisance, tu écris vraiment bien, les détails sont tellement précis, l'ambiance, le décors tellement bien plantés que waouh je m'y suis cru!! Et franchement ce début de texte est digne d'un roman! Juste génial! J'adore et j'ai hâte de lire la suite! =D 
    Bref, comme beaucoup chapeau!! =p 

    Jaja: je me joins aux autres pour te faire une "Ola" parce que oui sans toi et ton idée de génie il n'y aurait pas de coin-refuge pour les BAA, pas de coin-thérapie, pas de news en-veux-tu-en-voilà, pas d'occasion de découvrir la créativité des BAA, et j'en passe! Bref, que du bonheur!! On te le dira jamais assez: MERCIII =D 

    Bisous bisous 

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    1. Léa, je suis très touchée par ton commentaire, merci beaucoup. Comme beaucoup d'autres, il m'encourage vivement à poursuivre !
      La suite devrait arriver très vite.

      Gros bisous

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  9. Bon j'ai enfin pu lire tranquillement ta Fan fic Erika ;) Tu as beaucoup de talent et tu supplantes très bien les décors!!!
    J'ai parfois trouvé cela un peu long, mais ce n'est pas contre toi, KMM aussi traîne en longueur parfois et c'est notre impatience qui parle lol. J'ai été déstabilisée aussi de cette 3ème personne, KMM parle au travers de ses personnages et le temps d'adaptation est plus difficile pour moi qui sort à peine des Highlanders lol.

    Mais bon Chapeau bas quand même, je te le redis tu as beaucoup de talent, vivement la suite ;)

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    1. Ah et Jaja, hum une chantilly partie?? purée c'est pas dans la face que j'ai envie de lui mettre la chantilly à lui hihihi mais bon je m'égare merci ma toulette pour ta bonne humeur et ton humour décalé qui pourrait déridé un mort :D

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    2. Un peu de chantilly et je deviens le maillon faible.... alors sur lui et je ne réponds plus de rien

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    3. Merci beaucoup Sandy pour ton commentaire avisé.
      Oui je suis tout à fait d'accord avec toi il y a quelques longueurs, mais disons que pour planter le décor, je souhaitais décrire certaines choses qui seront reprises plus tard. Et comme la fanfiction devrait au total faire plus d'une trentaine de pages si je fais la sadique et que je l'arrête ou je l'ai peut-être prévu, ou beaucoup plus si j'essaie d'exploiter une autre tournure, il m'était nécessaire de décrire certains aspects que l'on retrouvera plus tard.
      Pour ce qui est de la 3° personne, c'est mon éternel débat. Mais pour l'instant j'ai opté pour ce point de vue afin de me laisser la liberté d'entrer aussi dans la tête des autres personnages car j'apprécie particulièrement de développer la psychologie des personnes que j'estime interpelantes. Mais promis, je vais essayer que nous soyons encore plus immergées dans la tête de Barrons. Toutefois, comme on le disait avec Jaja, on redoute ce que l'on va y trouver..., alors j'y vais en douceur ;-) !!!

      Gros bisous

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    4. Merci de tes explications :D Ouai tu as trouvé le bon mot tu es sadique lol

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  10. Whoauhhhh ERIKA j'ai adoré...malheuresement j'ai trouvé 3 défauts (dont 2 qui vont ensemble):
    1-juste le petit truc qui m'a gene c'est le Jericho Z Barrons, pcq je me rappel que dans la saga fievre Ryoo critiquait le fait que mtn il s'appelle Jericho ou bien Barrons je sais plus lequel des deux il critiquait
    2-je te mets les deux critiques qui vont ensemble mtn: bah c'est tellement bon que je trouve ça vraiment salaup de couper mtn...MAIS MERDE JE VEUX SAVOIR LA SUITE MOI!!!! et en plus la sale pute de JAJA (tqt pas Jaja je rejoins aussi la Ola en ton honneur) qui nous sors un "eh bah moi je l'ai lu" mais moi aussi je veux la suite...POURQUOI MONDE CRUEL T'ACHARNES-TU SUR DE PAUVRE AME EN MANQUE DE JZB????? POURQUOI???????
    nan mais sinon j'ai adoré (et dsl pour la p'tite critique sur le nom de JZB)
    Au fait tu peux te feliciter tu me donnes encore plus envie de decouvrir Hawk mtn

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    1. Et oui ma Léty là j'avoues j'ai joué ma grosse tepu.... et c'est si bon

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    2. Mdr Lety et merci pour tes compliments. Et si le "monde cruel" s'acharne c'est parce que c'est si bon de se faire désirer aussi !!! Et Jaja sait relancer l'intérêt !
      Et puis c'est elle qui est harcelée d'e-mails avec mes questions incessantes, c'est aussi elle qui avec sa gentillesse et disponibilité légendaires m'accompagne dans cette aventure, donc elle est en quelque sorte "obligée" de lire la suite. Et parfois, je me dis quand même que je n'arrête pas de l'embêter. Et pourtant, elle est toujours aussi enjouée, disponible, génereuse, et drôle ! C'est un régal ce Travail d'équipe, d'autant que d'autres nous ont aussi rejointes...
      Promis Lety, la suite arrive très vite !

      Pour ce qui est d'écrire "Jericho Z Barrons" certaines fois et la plupart du temps Barrons, c'était pour suivre ce qu'a fait me semble-t-il, l'auteure. C'est-à-dire que pour conserver une certaine distance, il est le plus souvent appelé Barrons. Jericho je le réserve pour les moments plus intimes, quant à son nom en entier c'est pour insister dans quelques situations.

      Gros bisous

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    3. merci pour l'explication Erika
      eh bon je te comprends un peu Jaja joué sa pute ça fait du bien...mais quand on parle de BARROOOOOOOONNNNNNNS!!!!!!!
      et sinon c'est quand qu'on a la suite?

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  11. bon je vais faire court : super fanfiction qui aide à faire passer le manque de JZB... enfin pas tout à fait parce que moi aussi j'ai envie de connaître la suite !
    bravo Erika et bon courage pour la suite ^^
    ;-)

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    1. Merci beaucoup Christine autant pour ton compliment que tes encouragements !!!

      Gros bisous

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  12. Un IMMENSE MERCI à vous toutes les filles. Vous ne pouvez pas savoir combien je suis heureuse et ravie de vos remarques. Quelle belle aventure !!!
    Je prends note pour la suite de tous vos conseils, merci !

    Je vous embrasse chères BAA ;-) !!!

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  13. Bravo Erika!!!
    j'ai enfin trouvé le temps pour venir lire ta fanfiction et je ne le regrette pas!!!!
    je suis contente de retrouver un peu de Hawk, un peu de Berserker et surtout beaucoup de Jerichoooooooo !!!!!!!! LOL!!!!
    merci Jaja, moi j'adore qd tu nous tortures comme ça, je vais aller lire la suite du coup
    bizzzzzz les filles!!!!!

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    1. Merci ma Belle Nini, ton petit mot me touche beaucoup, je suis ravie que l'extrait te plaise ! J'espère qu'il en sera de même pour la suite !!!

      Je t'embrasse.

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  14. Ahhhh j'adore Erika! Tu es super talentueuse! J'ai enfin pris le temps de lire ta fanfic et je ne regrette absolument pas!

    J'adore tes descriptions, surtout quand tu fais des métaphores pour comparer la mer et la femme!

    Et puis la manière dont tu parles de Barrons ... ahh!
    je cours lire la suite ;)

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  15. Un JZB séducteur et fidèle à lui-même ? Que demander de plus ! Merci, Ô grande prêtresse Erika.
    Une minute de silence pour ma petite culotte...

    Tu écris vraiment très bien . Enfin Wow quoi ! Je suis impatiente de connaitre la suite.
    C'est la première fois que je lis une fanfiction sur l'univers de KMM et je ne suis pas déçue.

    Un grand merci pour cette petite merveille. Bises

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    1. Sindy, un grand MERCI à toi, ça fait très plaisir de lire des commentaires aussi encourageants !!!
      Si tu souhaites la lire en entier, elle se trouve sur calaméo à cette adresse : http://fr.calameo.com/books/001789433362595cff5a6.

      Je te souhaite une bonne découverte et n'hésite pas à me dire ce que tu en penses.

      Plein de bisous :)

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    2. PS : j'ai oublié de préciser que tu peux aussi la lire dans son intégralité sur le super blog de notre Jaja !!!

      C'est comme ça t'arrange.

      ;-)

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Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

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