Salut à toi Jeanneton qui prend sa
faucille,
Bon alors je vais arreter de faire comme
si tu n'etais pas au courant parce que tu l'es forcement et je vais juste me
contenter de te mettre en lien les derniers extraits de la FANFICTION qui te
met la vulve au court bouillon made in Erika.
Alors installes toi confortablement,
prends tes dragibus et kiffe ta race
Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline
PRÉSENTATION
L’idée d’écrire cette
fanfiction est née de mon envie d’apprendre à connaître Jericho Z Barrons, si toutefois
cette nomination est correcte…, car comme vous le savez, tellement de questions
restent en suspens !!!
Et en attendant que Karen Marie Moning
nous offre des informations supplémentaires le concernant, je ne peux réprimer
l’errance de mon Imagination qui ne cesse de tenter de percer le mystère Barronesque. Alors certes
celle-ci prend de grandes libertés et divague à souhait, mais je souhaiterais
vous faire partager la représentation que je me fais d’une des premières relations sentimentales qu’aurait pu vivre cet Homme.
Cette
fanfiction met en scène une véritable rencontre amoureuse semée de diverses embûches,
dont l’issue pourrait bien être tragique…
Au travers de cette
histoire principalement charnelle et sentimentale, je voudrais témoigner de la
dimension à la fois sensuelle, sauvage voire bestiale que je prête au Jericho Z
Barrons de mes fantasmes.
Je vous proposerai donc tout au long du
récit des descriptions de ses contemplations et de ses ressentis. J’ai envie de
me risquer à décrypter le psychisme si complexe et probablement torturé de
celui-ci.
Ses sentiments pourront parfois être
différents de ceux éprouvés aujourd’hui. Il me paraît évident que le vécu de
ses 500 dernières années lui a laissé des traces sur ce qu’il peut être
aujourd’hui. C’est pourquoi en certaines occasions, vous pourrez être déroutées
par une attitude, un geste ou une parole du Barrons de ma rêverie. Celui que
nous connaissons de la plume de Karen Marie Moning est mûr de plus d’un
demi-millénaire. Mais auparavant, qui et comment
était-il ?
Comme sa créatrice, je ne préfère pas
entrer directement dans son esprit, de toute manière il ne me laisserait pas
faire…, d’où la distance choisie par le point de vue narratif omniscient.
Cependant, je vous rassure tout de suite, insidieusement, je vais essayer de
m’introduire dans cette carapace…
Enfin, l’emploi du présent dans certains
passages est volontaire, il montre qu’en 2012 certaines caractéristiques de Barrons
sont toujours les mêmes, notamment au niveau de sa beauté et de son charisme
légendaires, de son arrogance, de sa détermination, de sa virilité ainsi que de
ses pulsions et besoins sexuels démesurés.
L’évolution actuelle de
l’histoire me laisse supposer que la fanfiction devrait être composée d’une
dizaine d’extraits. Comme j’écris au fur et à mesure, je ne peux être plus
précise pour l’instant.
Puisse notre aventure
nous permettre de rencontrer Barrons dans son essence…
Erika
♥♥♥
***
Extrait n°4
Asgard
galopait sans relâche sous les ordres de son cavalier. Le pur-sang sentait la frénésie
qui tourmentait son maître. Sa seule réponse était d’avancer toujours plus
vite… Tous deux semblaient fuir ! Enfin…, cet exode était essentiellement guidé
par l’homme qui était aux commandes. Le cheval, quant à lui, se contentait de
se mettre au diapason de l’autre Animal qui l’enjoignait de cavaler.
Une
pluie fine commençait à traverser le feuillage touffu des ramures de ces arbres
si hautement perchés que leurs cimes en étaient imperceptibles. Barrons et sa
monture empruntaient cette forêt et se dirigeaient vers Dalkeith depuis déjà
plus d’une heure. Ils l’avaient ensemble parcourue de si nombreuses fois
qu’elle n’avait plus aucun secret pour eux, ou du moins c’était ce qu’ils
aimaient à penser !
Cette immense futaie était connue pour cacher en son
sein des bêtes toutes plus viles les unes que les autres. Toutefois, ces
créatures ne se montraient qu’en de très rares occasions et se tenaient très
éloignés des chemins régulièrement fréquentés. Barrons lui-même avait toujours
soigneusement évité de s’enfoncer dans l’antre viscérale de cet éminent parc boisé
d’une grande diversité d’arbres. Néanmoins, cette forêt boréale calédonienne et
à feuilles caduques communément appelée Findhorm, était composée en grande
partie de pins sylvestres, de bouleaux ainsi que de chênes. Les frondaisons
sauvages empêchaient l’accès à ces renfoncements. Les Highlanders avaient
d’ailleurs pour habitude de croire que des Esprits de la Nature en étaient les
féroces gardiens. Bien que Barrons ne prêtait le moindre crédit à ces légendes,
il ne s’était jamais risqué à en réfuter la véracité par des preuves tangibles.
Habituellement, Barrons
profitait du paysage forestier lors de ses longues chevauchées. Il s’imprégnait
de cette atmosphère tantôt apaisante, tantôt dangereuse. Il savourait chaque
seconde de ses promenades et laissait même quelque fois la liberté à son destrier
de mener le rythme de galop. Ce duo équestre se connaissait si bien que lorsque
l’un deux présentait une faiblesse passagère, aucune injonction n’était
nécessaire. Autant l’un que l’autre se calaient sur l’humeur ostensible de son
partenaire. Or, à ce moment précis, Asgard ressentait l’animosité que dégageait
son écuyer. Barrons, généralement si maître de ses émotions, malgré parfois
leur intensité titanesque, ne s’était jamais laissé aller à une telle
furie ! Pourtant, il tentait de se convaincre du relâchement de la tension
sexuelle qui faisait rage en lui depuis des heures maintenant. Il n’acceptait
pas d’admettre que la naïade sauvée d’une mort atroce la veille, avait éveillé
en lui un désir encore plus incandescent que les innombrables pulsions
éprouvées jusqu’alors.
Toutefois, l’instinct
animal avisé d’Asgard l’informait que son maître était en train de perdre le
contrôle de lui-même. C’est pourquoi, soudainement, en dépit des encouragements
de Barrons, il décéléra son pas de course jusqu’à finalement l’interrompre.
h
Pendant
que Barrons cheminait férocement vers Dalkeith, Arielle, quant à elle, s’évertuait
à réfléchir à son avenir. Elle essayait tant bien que mal de recouvrer ses
esprits et de comprendre ce qui venait de se produire. Certes, cet homme lui
avait paru très rustre, mais elle ne parvenait à s’expliquer l’attitude si
outrancière de celui qui l’avait pourtant secourue d’une situation dramatique.
Elle n’avait d’ailleurs rien demandé. Pourquoi
m’a-t-il épargné un désastre pour ensuite me fuir si sauvagement sans aucune
explication ? Ne cessait-elle de ressasser.
Elle se sentait fébrile et perdue. Elle
s’efforçait depuis maintenant une bonne heure de rassembler le peu de souvenirs
qui lui restait de cet étrange moment vécu la veille. Comment me suis-je retrouvée si près d’une mer déchainée sans même
avoir conscience de m’être dirigée vers la bordure océanique ? Qu’est-ce qui
a bien pu à ce point m’attirer ? Comment suis-je arrivée à la lisière des
vagues alors que je ne me rappelle même pas être descendue à travers les
sentiers de landes de la falaise ? Mais que m’arrive-t-il ? Comment
ai-je pu en arriver là ? Et puis, que faisait cet homme, lui-même si
proche d’un océan menaçant ?
Et voilà, ses pensées revinrent à nouveau
à l’homme qui avait profondément blessé son estime. Suis-je si repoussante ? Elle prit conscience qu’elle ne se
souvenait pas non plus quelle était son apparence ! Pour qu’il déguerpisse
de façon si incorrecte, elle devait probablement être méprisable. Le
ressentiment qu’elle avait suscité chez cet homme excluait désormais le désir
naissant qu’elle avait pourtant cru déceler au creux de son abdomen. À bien y penser d’ailleurs, il ne pouvait
être possible qu’un homme soit ainsi taillé ! C’est alors que des
divagations coquines se mirent en branle. Elle commença à se demander ce qu’il
en était de sa vie sentimentale !
Suis-je
une femme mariée ? … Hum, non je n’en ai pas l’impression, je me
souviendrais tout de même d’un conjoint aimé ? M’attend-il quelque
part ? …
Suis-je
une vierge effarouchée et répugnante ? … Je n’ai pas non plus le sentiment
d’être aussi abjecte que cet homme a souhaité me le faire penser.
Elle regarda son corps vêtu de sa tunique pourpre royale qui dessinait ses
formes. Elle ne se sentait pourtant pas si hideuse. Ce qu’elle portait était
plutôt séduisant.
Suis-je
une maîtresse dévergondée ? Des réminiscences de
mains caressant sa peau délicate et soyeuse, de coups de rein endiablés d’un
homme sans visage, s’imposèrent à son esprit et un effluve de jasmin à ses
narines…
Elle ne savait d’où provenait ce
souvenir agréable, si tendre et sauvage à la fois…
Mais
qui Arielle, peux-tu bien être ?
h
Barrons paraissait totalement
déconcerté par l’initiative d’Asgard. En outre, une pluie tonitruante
s’abattait désormais sur les rameaux qui pliaient sous le poids de cette
ahurissante averse. Depuis le départ inopiné et précipité de Barrons un peu
plus tôt dans les faibles lueurs du jour, une bruine accompagnait sa route. Il
était désormais frappé par une pluie torrentielle.
Le martellement des gouttes ruisselant
le long de son visage imposant laissait des filets d’eau qui poursuivaient leur
course sur ses courbes superbement sculptées. Les gouttelettes qui s’égaraient
dans ses cils abondants, les rassemblaient jusqu’à leur donner une forme
étoilée. Cette pluie transformait notre homme et lui conférait un charisme,
comme si cela avait été possible, encore plus saisissant. Son tartan totalement
trempé, était devenu une seconde peau laissant deviner le galbe de ses muscles
modelés à la perfection.
Malgré le tambourinement
de la pluie, Barrons crut entendre des murmures féminins, après tout, peut-être bien que des Elfes séjournaient dans cette vaste
étendue !
L’expression
interrogative et toujours aussi crispée de colère ajoutait un charme
supplémentaire à cet Homme, qui avait plus l’allure d’une incarnation divine
que d’un simple être humain du commun des mortels. Même les fleurs, écrasées
par cette pluie battante, semblaient se délecter de cette vision. Malgré les
assauts diluviens, elles conservaient une posture majestueuse que ce Dieu
vivant ne put s’empêcher de remarquer. Ces Fleurs de charbon d’un magenta
éclatant arboraient une allure fière. Ces ramassis de fleurs offraient un
spectacle à Barrons qui lui plaisait.
En effet, depuis
toujours, ce mâle suprême est particulièrement sensible a tout ce qui se créé
de manière naturelle. Les sens aiguisés, il jouit de chaque cadeau offert par
la Vie, que ce soit par le regard posé sur un élément naturel ou bien dans les
bras d’une femme. Il lui est d’ailleurs souvent arrivé de pouvoir réunir les
deux. L’extase de délicieuses étreintes vécues dans des paysages insolites au
clair de lune se décuple lorsque Barrons fait l’amour à une femme dans des
conditions inaccoutumées.
L’observation
silencieuse et contemplative de tout ce qui l’entoure a été le meilleur
entrainement sensuel de Barrons. Le développement de cette faculté rare a fait
de lui un amant hors pair. Les mots que déversent constamment certaines femmes
ne l’intéressent pas, Barrons est bien plus excité par le langage corporel.
C’est pourquoi il est davantage à l’écoute d’une personne qui se tait que de
celle qui jacasse.
Pour lui, le corps humain
et surtout le corps d’une femme est une poésie en soi. De son seul regard, il
saisit parfaitement les pensées de celle-ci. Selon la posture et l’expression
faciale de celle qu’il admire, il est capable de percer à nu ses désirs
profondément enfouis...
Les formes d’une femme sont pour lui une
carte permettant d’appréhender sa psychologie. Ses seins, selon leur
épanouissement à cet instant, lui révèlent la gourmandise de sa future
maîtresse. La position dans laquelle la femme se tient devant lui, lui permet
de décrypter quelles attentes celle-ci espère voir assouvies. Le regard plutôt
innocent ou plutôt aguicheur ou encore provocateur, l’incite également à
adopter une manière plus ou moins douce de faire sienne celle qui se laisse
conquérir sans même parfois un mot échangé. Oh combien de fois Barrons aura
prodigué les caresses les plus intimes à une femme avant même de n’avoir
prononcé un son…
Barrons n’a en effet pas
besoin d’agréables paroles pour témoigner de son intérêt à une femme. Sa
manière de la regarder, donne l’impression à cette chanceuse d’être vue comme
elle est, d’être excessivement désirée, voire même d’être vénérée. De cette
œillade, la femme se sent goutée comme elle ne l’a jamais été. Et ces
sensations n’ont pas besoin de mots. Au contraire, il serait maladroit et
totalement vain de tenter de verbaliser ce ressenti.
Il possède cette flamme dans les
prunelles qui pourrait faire taire la plus loquace des femmes. Il suffit d’un
instant pour accrocher ce regard et de ne plus pouvoir se détourner de cet
Homme. En somme, il n’est pas si compliqué pour Barrons d’interpréter les
femmes. Une fois qu’elles ont posé les yeux sur lui, elles veulent toutes la
même chose, elles ne peuvent plus que désirer une seule et unique chose :
LUI !!!
Et alors, l’aisance
lexicale dont font preuve de nombreuses femmes se fane et le mutisme les gagne.
Lorsque Barrons est le témoin de la transformation d’une femme à son contact,
il sait à ce moment-là, qu’elle est conquise. Point besoin de la courtiser, la
contemplation a toujours été pour Barrons sa meilleure arme de séduction. Une
arme qui l’a toujours plus ou moins sorti de situation inextricable avec la
gent féminine.
En revanche, la myriade
de sons émis lors de l’étreinte sensuelle donne un premier aperçu de
l’intériorité de Barrons. Celui-ci n’est pas humain c’est certain. Si la femme
n’était pas encore totalement sous le charme, comme si cela était possible, les
gémissements bestiaux émis par Barrons finissent de la soumettre à la
virtuosité sexuelle de ce partenaire hors du commun.
C’est pourquoi, si
brusquement des esprits malfaisants féminins venaient à surgir, aussi
pernicieux pouvaient-ils être, un simple regard, même totalement embrumé par la
pluie, les désarçonnerait et les soumettrait au bon vouloir de ce Dieu vivant !!!
Je me dois de préciser
que c’était tout de même la belle époque pour Barrons car de nos jours, les
femmes étant devenues plus indépendantes et farouches, certaines ne cèdent pas
si facilement… Et même si les longues discussions ennuient Barrons, avec le
temps il s’est résolu à devenir un peu plus bavard. Néanmoins, il excelle
désormais dans l’art des paroles acerbes. Sa joute verbale est connue pour être
honnête, sarcastique, parfois même très blessante et parallèlement, il n’en
demeure pas moins attirant !!! Allez savoir…
Ne dit-on pas que derrière les plus
grandes murailles se cachent les plus précieux trésors ???
***
Alors ton paquet de dragibus est toujours vivant?
Tu te poses toi aussi pleins de questions sur la suite des évènements?
Ben c'est normal, j'ai juste envie de te dire A LUNDI
HAHAHA (rire gras)
y en a une qui s'amuse, n'est ce pas Jaja? arrête avec ton rire gras, tu m'énerves!!!! lol ...encore une fois on veut la suite, tu nous mets au supplice...
RépondreSupprimerErika, ben waouh! encore! j'adore comment tu nous décris Barrons, tu fais le lien entre le Barrons de ta fiction et celui qu'il est devenu dans Fever (+ sarcastique, + arrogant, + bavard...) ç un bonheur!
Et comme tu le dis si bien, ç un Dieu vivant, notre Dieu...ç clair qu'il n'a pas besoin de s'exprimer (peu disert de toutes façons mais il fait mouche à chaque fois), un seul regard de lui et on chauffe, on brûle, on s'embrase, on finit à genoux et....enfin tu connais la suite lol
ç vraiment génial continue, ç un régal de te lire
Le récit devient de plus en plus fascinant. j'ai commencer à lire la saga des Higntlanders (Merci qui? MERCI KARIN)et j'appréhende mieux le contexte. J'aime vraiment ce retour dans le temps que tu nous proposes et en plus imaginer Barrons sous les traits de DG uniquement vêtu d'un tartan collé à son corps de rêve par la pluie, ben houlala!! Mais pas de panique j'ai investi dans un collecteur d'eau que j'ai placé sous mon siège avant la lecture! Bref je suis toujours fan de tes écrits et attends viiiiite le reste! Bisous les chouquettes!
RépondreSupprimerBah comme toujours Erika j'ai adoré! Et j'ai encore remarqué dasn toute la description de Barrons, lorsqu'il dit comment il se comporte avec les femmes, bah que c'est une BAA dans l'âme qui écrit, et pas une étrangere à Barrons.
RépondreSupprimerSinon j'ai envie de dire un truc à la p'tite Arielle, elle nous sort que son esprit retourne à Barrons, comme si c'était qqch d'anormal...mais elle déconne ou quoi???? tout le monde sait ça, BARRONS ACCAPARE NOTRE ESPRIT!!!!!....elle n'a vraiment pas d'experience!
Et pour Barrons j'ai envie de dire que bah pour un mec comme lui le manque de sexe c'est pas bon...il s'en fou de jouer ou non les sentimentales, il a qu'à "la prend la retourne et la déglingue" comme dirait Jamel, puis la laisse tombé apres tout ce n'est qu'une **** qui nous pique notre JZB...
Et Jaja...je pense que tu sais déjà ce que je vais te dire, hein? No Comment sur le rire gras...
C'est vrai que c'est pas bon que Barrons soit en manque comme ca, j'aime pas le sentir frustre, je me porte volontaire pour aller le soulager...
SupprimerJe pense qu'on sera plusieurs à se porter volontaire pour soulager notre Barrons
SupprimerVa falloir se battre alors, ca va etre sanglant...mdr...mais le prix vaut le coup! Inestimable d'ailleurs...
SupprimerMoi je dis...HONNEUR AU PLUS JEUNE!!!!
SupprimerOuaip dans tes reves!!!!!!
SupprimerAu pire on fait chacune un jour...
SupprimerComme ça tout le monde est content
hum, ça prête à réflexion...ça y est j'ai réfléchi : NAN!!!!!!!!!! je veux BARRONS pour moi toute seule, quitte à passer pour une sale égoïste, m'en fous, je veux pas le partager (surtout pas son corps...bon, et pis le reste non plus d'ailleurs)...le hic, ç que lui n'en aurait rien à faire de moi, il ne veut que Mac, car elle existe au delà de toutes règles pour lui, la veinarde....
SupprimerAhlalala...on arrete pas de le répéter mais c'est pas grave je vais le redire:
SupprimerCe que la vie est injuste.
Bon et puis Arielle, arrete de faire ta prude et saute lui dessus! Barrons ne peut que te faire du bien...
RépondreSupprimerNan mais je suis sur que dasn sa tête Arielle se dit qu'elle sera bcp plus désirable aupres de Barrons si au début il ne peut pas l'avoir, et c'ets vrai que ça pourrait marcher vu que personne ne se refuse à Barrons...ou du moins personne de censé et comme la Arielle semble avoir un p'tit grain...et puis regarde dans la relation Mac Barrons au début elle aussi se refusait à lui...enfin il se refusait tous les deux!!
SupprimerOuaip & on sait comment ca s'est fini...torride!
SupprimerD'autant qu'ils etaient quand meme prets a se sauter dessus des le debut mais la raison etait la plus forte...mais comment associer raison & Barrons? Ya pas moyen, on a envie detre tres tres deraisonnables...
Bah dans RAISON et BARRONS, il y a un R.A.O.N.S...donc en un sens on peut les associer point de vue lettre
SupprimerMais voilà le but c'est que ça finisse toride pour que Barrons se soulage (et pour nous faire plaisir...même s'il fait ça avec qqn d'autre que nous)
Tous les moyens sont bons pour le satisfaire
SupprimerOuai mais quand même pas...si c'est une des putes des photos de le défonce...enfin j'essaye vu que je doute que ça soit possible de mener le combat contre lui (j'en doute pas, j'en suis sûr)
SupprimerRien, pas même un faë, ne peut contrôler Jéricho Barrons...donc, encore moins une pétasse...s'il l'a décidé, elle se soumettra (pour son plus grand plaisir)
SupprimerLui il va juste lui dire:
Supprimer"Degage Pétasse"
et quand elle sera parti il dira:
"Mes BAA venez faire une photo avec moi"
et quand on sera à côté de lui il dira:
"Au fait merci Lety, Karin, Erika, Jaja, Lea, Sandy....d'avoir tué toutes ces putes qui me harcelait. Surtout toi Laëtitia"
*fin du rêve*
Waouh Erika, c'est vraiment très bien.. J'ai hâte de lire la suite. J'aime beaucoup la façon dont tu analyses Barrons, ton côté psychologue ressort bien dans cet écrit...Vivement lundi!!
RépondreSupprimerahhhhh j'adore encore t encore!
RépondreSupprimerje vais vite lire la suite, avec l'extrait 5 hiii!