vendredi 1 juin 2012

Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline #6 par Erika Cazaux


Salut ma petite merguez sauce barbecue,

Nous sommes vendredi et c'est donc le jour de ton 2eme extrait de la semaine. Si tu te demandes toujours de quoi je parle, ben j'ai envie de te dire que maintenant faut arrêter de déconner merde. Je parle de la FANFICTION qui met toutes les vulves des BAA au garde à vous, celle qu'Erika  a la gentillesse de nous faire partager sur ce blog. ALors profites.


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PRÉSENTATION

L’idée d’écrire cette fanfiction est née de mon envie d’apprendre à connaître Jericho Z Barrons, si toutefois cette nomination est correcte…, car comme vous le savez, tellement de questions restent en suspens !!!
Et en attendant que Karen Marie Moning nous offre des informations supplémentaires le concernant, je ne peux réprimer l’errance de mon Imagination qui ne cesse de tenter de percer le mystère Barronesque. Alors certes celle-ci prend de grandes libertés et divague à souhait, mais je souhaiterais vous faire partager la représentation que je me fais d’une des premières relations sentimentales qu’aurait pu vivre cet Homme.
Cette fanfiction met en scène une véritable rencontre amoureuse semée de diverses embûches, dont l’issue pourrait bien être tragique…

Au travers de cette histoire principalement charnelle et sentimentale, je voudrais témoigner de la dimension à la fois sensuelle, sauvage voire bestiale que je prête au Jericho Z Barrons de mes fantasmes.
Je vous proposerai donc tout au long du récit des descriptions de ses contemplations et de ses ressentis. J’ai envie de me risquer à décrypter le psychisme si complexe et probablement torturé de celui-ci.
Ses sentiments pourront parfois être différents de ceux éprouvés aujourd’hui. Il me paraît évident que le vécu de ses 500 dernières années lui a laissé des traces sur ce qu’il peut être aujourd’hui. C’est pourquoi en certaines occasions, vous pourrez être déroutées par une attitude, un geste ou une parole du Barrons de ma rêverie. Celui que nous connaissons de la plume de Karen Marie Moning est mûr de plus d’un demi-millénaire. Mais auparavant, qui et comment était-il ?
Comme sa créatrice, je ne préfère pas entrer directement dans son esprit, de toute manière il ne me laisserait pas faire…, d’où la distance choisie par le point de vue narratif omniscient. Cependant, je vous rassure tout de suite, insidieusement, je vais essayer de m’introduire dans cette carapace…
Enfin, l’emploi du présent dans certains passages est volontaire, il montre qu’en 2012 certaines caractéristiques de Barrons sont toujours les mêmes, notamment au niveau de sa beauté et de son charisme légendaires, de son arrogance, de sa détermination, de sa virilité ainsi que de ses pulsions et besoins sexuels démesurés.

L’évolution actuelle de l’histoire me laisse supposer que la fanfiction devrait être composée d’une dizaine d’extraits. Comme j’écris au fur et à mesure, je ne peux être plus précise pour l’instant.

Puisse notre aventure nous permettre de rencontrer Barrons dans son essence…
Erika
♥♥♥

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Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline

                                                                                                                      Extrait n°6

            Durant toute la nuit, les deux partenaires de jeux licencieux n’avaient cessé de s’abreuver mutuellement de plaisir charnel. Autant l’un que l’autre venaient d’étancher une soif sexuelle démesurée, une appétence quasi-animale. Barrons se sentait bien mieux désormais malgré un lointain ressentiment qui tentait de se frayer un chemin jusqu’à sa conscience. Toutefois, il n’avait de temps à perdre ni avec des regrets ni avec des préoccupations inutiles.
Il espérait pourvoir s’éclipser discrètement maintenant que la sorcière s’était assoupie. En outre, son instinct lui sommait de fuir au plus vite.

Les faibles lueurs du jour que laissaient traverser les luxuriantes ramures des arbres, éclairaient la jeune femme qui n’avait rien de repoussant. Il ne comprenait pas pour quelles raisons la veille celle-ci, lui était apparu comme la plus détestable des sorcières. Elle n’avait plus aucune ressemblance avec cette ancestrale et fâcheuse mégère qu’il avait cru rencontrer. Ce n’était donc pas ses pulsions sexuelles qui avaient embelli le portrait de la femme. Mais c’était plutôt sa première vision qui avait dû lui jouer des tours. Barrons n’aurait pas pu se leurrer davantage…
Il se leva subrepticement et d’un pas feutré, commença à s’éloigner de sa conquête. Exceptionnellement, il se retourna brièvement, un sentiment inconnu l’avait incité à jeter un regard à la dérobée. Quelle ne fut pas sa surprise quand il crut discerner l’hideuse sorcière ! Il interrompit sa marche et, bouleversé il détourna à nouveau la tête pour s’assurer qu’il s’était trompé. ENFER ! Mais où est-elle ? Mais qu’est-ce que…

La sorcière, encore plus affreuse que la veille, venait de se planter devant lui et lorsqu’il vrilla sa tête vers elle, un cri d’horreur s’échappa de sa gorge dès lors serrée. La sorcière ouvrit sa bouche édentée et d’une voix tonitruante, lança :
Ainsi tu oses me quitter de la sorte, sans même me saluer ? Un homme qui a souillé Katya ne la quitte pas sans des adieux honorables. Un homme qui a pris Katya si férocement est lié à elle, qu’il le veuille ou non !
Barrons, à la fois déconcerté et curieux quant à cette créature fantasque qui s’enlaidissait au fur et à mesure de son agacement, s’enquit de fausses excuses et rétorqua d’un ton des plus moqueurs :

– Veuillez m’excuser gente dame, mais la seule femme que j’ai possédée si ardemment cette nuit n’a rien en commun avec vous ! Vieille sorcière, qu’avez-vous fait d’elle ?
– Moi rien, toi en revanche fougueux étalon tu lui as dérobé sa beauté et sa jeunesse, tu l’as dépossédée de son élan de vie, lui asséna-t-elle d’un ton impertinent.
– Je ne saisis un piètre mot de ce que vous proférez sale sorcière ! Où est-elle ? Parlez avant que je ne vous égorge ! Et ne vous avisez pas de me mentir, je peux facilement vous forcer à me dire la stricte vérité. Mais je vous préviens, gronda-t-il, si vous m’obligez à en arriver là, vous risquez de le regretter amèrement !
La sorcière ne montra aucun trouble malgré l’air effrayant de Barrons et enchaîna comme si elle ne craignait aucunement l’exécution de ses menaces :
– Cette damoiselle si désirable dont tu parles n’existe pas ! Il n’y a que moi ici. Crois-tu qu’une jeune et jolie femme traînerait dans les enchevêtrements de la terre pour satisfaire les besoins sexuels d’homme ingrat comme toi qui s’égare jusqu’ici ? Quelle arrogance Messire, affirma-t-elle malicieusement ! Combien tu peux être stupide homme-sauvage ! Tu ne t’es même pas rendu compte que je modifiais ta perception de mon physique ??? Je te croyais bien plus malin et aguerri Jericho Z Barrons !!! Elle cracha presque en interpelant notre homme par sa dénomination complète.
– Comment m’avez-vous appelé vieille sorcière ? Vous devez bien peu tenir à la vie pour vous adresser à moi ainsi ! Puisque vous pensez si bien me connaître, vous savez de quoi je suis capable et vous devez être également informée que j’ai tué pour bien moins d’affronts !
– Och, aye ! J’ai ouï dire de tes exploits tant belliqueux que sexuels, mâle suprême !!! accentua-t-elle dans un sourire sardonique.
Barrons ne pouvait plus contenir sa colère. D’un bond il se retrouva près d’elle et plaça ses grandes mains autour de son cou. Ces mêmes mains qui, quelques heures plus tôt, avaient prodigué les caresses les plus enfiévrées à ce corps désormais si nauséabond. Il lui cria :
– Qui êtes-vous vieille sorcière ?
– En plus d’être ignorant et de te laisser guider uniquement par tes pulsions les plus primaires tu n’écoutes pas, je t’ai dit que je m’appelais Katya !
– Je n’ai que foutre de votre prénom ! Je veux savoir qui vous a parlé de moi et ce que vous êtes vieille folle !
– La bienséance, connais-tu cet art Jericho ?
Barrons frémit à l’entente de son prénom et hurla :
– Je ne vous permets pas de prononcer mon prénom et cessez de me tutoyer !
– Nous avons partagé une telle intimité cette nuit que j’ai cru que nous pourrions être plus…
Barrons resserra davantage son emprise et vociféra :
– Suffit de croire, suffit de penser ! Maintenant vous répondez ou vous mourez sur-le-champ ! Il répéta la question précédemment posée : qui êtes-vous vieille folle ?
La sorcière ne pouvait articuler un seul mot tellement les doigts pourtant si délicieux de l’homme pressaient ses cordes vocales. En guise de réponse, elle secoua la tête pour lui signifier qu’elle ne pouvait parler.
Comme Barrons refusait de relâcher sa pression, elle s’invita alors dans son esprit. Bien qu’il fut surpris, il la laissa lui expliquer qu’elle était une sorcière séculaire vivant dans les renfoncements de cette forêt depuis des millénaires et qu’elle n’avait pas joui aussi intensément depuis des siècles. Elle le remerciait donc pour sa prestation sexuelle qui l’avait rassasiée pour les années à venir ! Les étalons de son genre ne venaient qu’accidentellement se perdre dans les tréfonds de ces sous-bois et elle n’avait donc que très rarement l’occasion d’être honorée aussi frénétiquement ! Même étranglée, la sorcière n’en restait pas moins railleuse.
Par le même procédé, Barrons l’enjoignit de lui révéler qui lui avait parlé de lui et dans quel but. Elle lui avait alors déclaré rester loyale à ses sources, et de toute façon, sa principale était ses précieux pouvoirs extralucides de sorcière. Elle savait les choses, point besoin de lui confier quoique ce soit, elle savait !
Barrons avait retiré ses mains qui n’avaient laissé aucune trace sur le cou désagréablement ridé de la mégère. Il prit congé de celle-ci en lui conseillant à l’avenir de ne pas se jouer de lui de nouveau, car même si elle semblait immortelle, il trouverait le moyen de la faire souffrir.
Il avait cependant compris de son propre chef, que la solitude l’avait poussée à utiliser le subterfuge de la jeune femme attirante pour l’inciter à succomber.
Finalement, ils s’étaient mutuellement rendu service !

            Sans plus tarder, Barrons rejoignit le sentier qu’il avait quitté quelques heures plus tôt et retrouva Asgard. Son destrier l’attendait patiemment et paressait à l’ombre d’un bouleau près d’une somptueuse lande de bruyères. Le décor était féerique. L’homme laissa s’attarder son regard sur le panorama que proposait ce recoin de la forêt. Désormais, Barrons ne sous-estimerait plus les vieilles légendes et le folklore celtiques de sa patrie actuelle. Au cours de sa débandade, à plusieurs reprises, il lui avait semblé entendre des babillages chantants, il était donc fort probable que des dryades[1] peuplaient cette forêt. Il avait également été témoin de renâclements qu’il prêtait maintenant aux gnomes, petites créatures humanoïdes qui séjournaient dans les racines tortueuses de chênes centenaires.
Après s’être longuement délecté de ce paysage, sans un mot, il bondit sur la croupe d’Asgard qui se tenait prêt à reprendre la route et l’enjoignit de chevaucher vers le château de Dalkeith comme si l’inattendu interlude de la dernière journée n’avait jamais eu lieu.

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Un mois plus tard, septembre 1512

            En ces premiers jours de septembre, l’été commençait à décliner. Le soleil se levait de plus en plus tard et repoussait davantage le délicieux moment de la balade matinale d’Arielle. Tous les matins depuis plus d’un mois, dès les premiers rayons de soleil, elle se rendait sur la plage, exactement là où elle avait rencontré un homme aussi ténébreux que mystérieux qui l’avait sauvée d’une probable noyade.
Bien que de longues et de nombreuses journées s’étaient évanouies, elle ne s’expliquait toujours pas ce geste inconscient et cet attrait obsessionnel pour la bordure océanique. En effet, Arielle souffrait d’une amnésie rétrograde et n’avait quasiment aucun souvenir de sa vie passée avant la rencontre de cet homme. Elle ne savait pas qui elle était, elle en avait oublié jusqu’à son nom ! C’était comme si elle était née dans cette concavité de la falaise, son prénom avait émergé du tréfonds de son être et dès lors la communication s’était rompue.
Au plus profond d’elle-même, elle espérait trouver des réponses à son état en parcourant de longues heures durant les chemins couverts de landes de bruyères qui menaient à la plage. Puis, elle marchait les pieds dans l’eau jusqu’aux rochers qui l’empêchaient de poursuivre son exploration tant psychologique que locale ; elle faisait alors demi-tour. Ces excursions l’apaisaient autant que possible. Même si la mémoire lui faisait toujours défaut, les bienfaits de l’air marin étaient indéniables, ils lui donnaient la force de rentrer à la taverne qui l’hébergeait pour la nuit contre une aide pour le service de la fin d’après-midi et du soir. Le reste du temps, elle pouvait vaquer à ses occupations. Or, elle n’en eut qu’une seule et unique jusqu’à la rencontre du Laird Hawk Douglas : tenter de se souvenir qui elle était !

La jeune amnésique avait parfois de courtes réminiscences, ou plutôt éprouvait inopinément des sensations agréables, comme un sourire qui l’envahissait de l’intérieur sans raison apparente, un parfum délicat qui chatouillait ses narines et la ravissait, une main enlaçant la sienne avec respect et peut-être avec amour, un regard masculin indécent qui la faisait se sentir belle. Néanmoins, lorsqu’elle avait enfin pu découvrir son propre visage, elle n’avait su que penser. Il ne lui paraissait pas aussi répulsif que l’homme grossier lui avait fait craindre, mais il n’était pas non plus charmant. Il lui manquait une histoire. En effet, ses traits étaient lisses, sans profondeur, tout à fait quelconques ! Sa face était vide d’expression. Elle avait alors cessé sa contemplation car le reflet du miroir la rendait malheureuse de n’y voir que de la solitude.
Dans le village où elle avait trouvé refuge, le plus près de la falaise, les habitants avaient rapidement feint ne pas s’intéresser à cette jeune femme qui ne semblait pas réellement souhaiter s’intégrer. Les premiers jours, de nombreux hommes, sensibles à sa beauté époustouflante, lui avaient fait la cour, mais s’étaient rapidement renfrognés compte tenu de la distance imposée par cette dernière.

            Un soir, alors qu’elle apportait un verre du meilleur scotch pur malt au lord qui avait bénéficié jusque là de la plus grande attention de la part du propriétaire de la taverne, le client s’exclama ahuri :
– Arielle…, Arielle Rayna ? Mais… mais que fais-tu ici ?
– Je vous demande pardon milord ? murmura-t-elle interdite, au point que Hawk l’entendit à peine.
– Arielle, c’est moi, allons, ne me dit pas que tu ne me reconnais pas ! enchaîna-t-il contrarié.
Elle était troublée, le regard de cet homme lui semblait familier et pourtant elle n’avait aucune idée de qui il pouvait être.
– Je… je suis désolée milord, je… répondit-elle hésitante.
– Arielle Rayna, suffit maintenant de me faire marcher, ce n’est pas drôle. Est-ce pour me fuir que tu t’es réfugiée ici dans ce coin reclus du domaine ?
Elle ne comprenait pas un mot de cet homme qui la connaissait apparemment fort bien. Toutefois, elle était enchantée d’apprendre sa désignation complète et aussi de connaître un homme si séduisant. Hawk la sortit brutalement de sa douce rêverie et lui ordonna fermement de répondre.
– Veuillez m’excuser Messire, mais je n’ai aucun souvenir de vous… je…
– Comment peux-tu m’avoir oublié Arielle après… s’emporta-t-il avant de baisser la tête, l’air excessivement blessé.
– J’ai perdu la mémoire milord, je ne me rappelle plus de rien, je…
– Pardon ? C’est pour cette raison que tu m’as donc quittée sans un mot Arielle ? Tu ne m’as pas laissée de ton propre chef, tu…
– Je… je ne sais pas milord, je ne peux vous répondre honnêtement, balbutia-t-elle, la mine attristée. Le seul souvenir qui ait refait surface après que cet homme m’ait sauvée de… de la noyade…
Arielle suspendit sa phrase car à l’évocation de l’homme, un sourire se dessina naturellement sur ses lèvres. Secouant la tête, elle se ressaisit elle reprit :
– Le seul souvenir que je possédais était mon prénom. Outre cela, milord, je ne sais qui je suis ni d'où je viens !
– Alors comme ça tu n’as plus aucun vestige de ton glorieux passé ? s’amusa-t-il à la taquiner. Il appuya largement ces mots pour lui faire saisir le sous-entendu.
            Arielle se sentit rougir car l’insinuation de son interlocuteur raviva l’empreinte de mains habiles caressant son corps de part et d’autre, la sensation d’une jouissance explosive, de… Elle s’imposa d’éloigner ces sentiments audacieux de son esprit. D’un hochement de tête pantois et malheureux, elle maugréa alors :
– Nay, Messire, je…
– Je t’en prie Arielle, appelle-moi Hawk…, quand je t’aurai rafraîchi la mémoire, tu ne pourras plus me servir du Messire ou du milord ! Peu importe, de toute façon je t’arrache de ce lieu qui ne mérite pas qu’une telle lady s’y attarde et encore moins y travaille ! avait-il presque hurlé.
– Mais je n’ai nulle part où aller, déclara-t-elle confuse et surprise par la réplique si autoritaire de l’homme.
– Le temps que tu recouvres totalement la mémoire tu pourras rester au château. Ma mère se réjouira de ta présence.
– Messire, euh… Haw…, Lord Hawk, suis-je votre épo…
Le rire déployé de Hawk fit brusquement taire le brouhaha qui régnait habituellement dans cette bruyante taverne et les joues d’Arielle vexée par une telle réponse s’empourprèrent. Elle parvint tout de même à articuler pour éviter de perdre sa crédibilité :
– Veuillez m’excuser Lord Hawk, je ne voulais pas vous offenser, mais… mais… vous semblez tant me connaître, j’ai cru un instant que nous avions partagé une grande intimité…
Hawk comprit qu’il avait involontairement offensé cette pauvre femme déjà tant chagrinée. Il l’interrompit et d’une voix atone, dans une moue bienveillante, il précisa :
– Och, aye ! Et quelle intimité avons-nous partagé, si vous voyez ce que je veux dire ? Hawk cessa sa réplique le temps de s’offusquer mentalement de la perte des souvenirs charnels de la jeune femme ! Il écarta cette pensée désobligeante et poursuivit :
– Bref ! Je vais t’aider Arielle à faire renaître ton passé… Et j’en paierai de ma personne s’il le faut, ajouta-t-il un sourire espiègle aux lèvres !

***


 Si je te dis que j'ai l'extrait 7 sous les yeux tu m'aimes toujours hein?



[1] Fées logeant dans les arbres.

10 commentaires:

  1. Jaja j'ai comme l'impression que tu connais déjà la réponse à ta question. Oui nous t'aimons toujours mais avec en plus des instincts de meurtre! Voilà tout, rien de bien inhabituel!
    Sinon Erika je vais essayer de reformuler mes mots pour ne pas dire exactement la même chose que pour les extraits précédents:
    Très chère j'ai trouvé ce petit bout de récit était un délice pour les yeux, pour le cerveau et pour ma faim barronesque! Je dirais même que cette petite interlude (non musical) était la plus exquise que j'ai pu voir durant la longue vie (16ans je sais c'est pas vieux du tout)! Je ne comprends même point pourquoi j'ose appeler celà interlude puisque cet extrait avait le niveau de l'oeuvre original, avec comme petit bonus (est-ce qu'il y a un bonus pour cet extrait? j'ai oublié) le fait que ça soit une BAA qui a écrit!
    Alors est-ce que je me suis repetée???
    En gros c'est putain d'excelent!!!

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  2. Alors d'abord, Jaja, pour répondre à ta si charmante question : je t'aime très profondément! si tu vois ce que je veux dire hum hum...en gros, tu es fidèle à toi même: c'est à dire toujours prête à nous narguer lol...ça fait mal tu sais! ahah
    Sinon, Erika : encore une fois je rejoins Lety, ç putain d'excellent! tes descriptions sont davantage élaborées et fouillées au fil des extraits, ç un délice; ensuite, le mystère s'épaissit et tu sais (et prend plaisir) faire durer le suspense; tu nous décris un Barrons génialissime, fidèle à lui même (ah comme j'aimerais aussi le faire sortir de ses gonds juste histoire qu'il me touche et me plaque contre un mur); et Arielle, la petite veinarde, ben entre Barrons et Hawk, miam miam, ça laisse présager de divins moments de lecture..
    Tu t'es encore surpassée et tu sais toujours autant nous régaler au fil de ta plume, ç bon tout ça, on en redemande

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    1. J'ai oublié de te le dire Karin, mais il y a un droit d'auteur sur le "putain d'excellent", tu me dois au moins 100€ est encore je suis gentille hein!!!
      Ahhh vivement juillet que je commence les Highlanders!!!
      Nan amsi de toute façon ma vieille s'il sort de ses gonds c'est moi qu'il choisira pas toi, il va juste te foutre une raclée et ensuite ME plaquer contre un mur et me toucher!! PAS TOI!!!!

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    2. bon, ok je note désolée j'avais zappé ton droit d'auteur, et tes 100 euros, ben tu les auras le jour où tu arrêteras de trouver K'Vruck tout beau et tout mignon, donc je traduis, t'auras que dalle et toc...
      Et si tu crois que Barrons va me coller une raclée, ben ç que tu le connais mal...il manipule mais il ne frappe pas (sauf peut être cette Fée clochette de V'Lane et là, ça serait vachement mérité)...mais je veux bien qu'il fasse usage de son corps et de sa force sur moi, ça ne me dérange absolument pas

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    3. J'aurais mes 100€ et j'aurais Barrons pour moi toute seule

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    4. t'es encore jeune (ahahah) ç beau d'y croire...il est à moi! et même que je ne partage pas

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    5. le ahahah signifie que je suis pas jeune?? excuse moi mais 16 ans c'est jeune. C'est toi la VIEILLE (le prends pas mal je t'en suplie c'est pour rester dans le jeu)

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  3. Mais oui Jacinthe on t'aime tjrs aussi fort mais tire pas trop sur l'élastique de notre string quand même!
    Erika c'est toujours aussi génial. Voir Barrons se faire rouler dans la farine ça n'arrive pas tous les jours! ça fera redescendre son arrogance d'un cran tiens! Nan mais! Et puis cette douce Arielle je me demandais ce qu'elle était devenue. Donc on a un début de réponse sur son identité. Cela aiguillonne davantage notre envie de savoir qui elle est et ce qui va se passer ensuite! C'est toujours aussi bon!
    Bisous les chouquettes!
    Alllllllllez faites péter l'extrait 7!!!!!!!!!pleeeaaase!!!!

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  4. rah rah rah!!!!! c'est de la torture de finir comme ça!
    J'ai hate de lire l'extrait 7!
    Bravo Erika c'est toujours aussi fantastique!
    j'ai hate de savoir ce qui va arriver à Arielle ;)

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  5. Je suis désolée ma belle, rein à voir avec ton style d'écriture ou ton imagination mais je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire. Jéricho sans Mac j'arrive pas lol et pareil pour hawk!!! Style les mecs n'ont pas eu de vies sexuelles avant mdr. C'est comme avec mon mari, j'arrive pas à l'imaginer avec une autre avant moi lol!!!

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Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

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