mardi 12 juin 2012

Les répliques cultes de Jericho Barrons qui ont le don de t'ébouillanter ton string à plume #fièvrefatale


Salut ma petite knaky sauce barbecue,

Aujourd'hui on va faire monter la température, bon tu me diras avec Jericho Barrons c'est pas trop compliqué c'est un peu comme si t'avais une bouillotte géante constamment prés de toi, enfin bon sexy la bouillotte hein qu'on se comprenne bien. Pas la bouillotte en forme de lapin rose que tu caches sous ton lit pour tes longues nuits d'hiver.
Enfin bon là n'est pas la question.

Grace à Karin tu as pu te rouler nue touffe au vent dans les répliques de fièvre noire, fièvre rouge et fievre fae. Alors c'est le moment de jeter ton soutif aux encombrants et de savourer les meilleurs moments de Fièvre Fatale.

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[Barrons à Dani]
"_Où est Mac ? demanda Barrons d’une voix douce.
Aussitôt, mon regard revient vers lui. Chez lui, la douceur s’apparente à une lame chirurgicale posée sur votre veine jugulaire.
_Est-ce que cette vieille sorcière lui a fait mal ?
Si un coup d’œil pouvait tuer ! Un jour, c’est pour moi qu’un homme regardera quelqu’un d’autre de cette manière là."



"Cela me touche. Je suis en feu ! Je pleure de soulagement. Cela me serre contre son corps, cela me plaque contre sa peau. Nous nous embrasons. Cela parle, mais je ne comprends pas son langage. Là où je suis, les mots n’ont plus cours. Il n’y a que la peau, la chair, le désir. Je suis un animal. Je suis affamée. Je n’ai ni conscience, ni états d’âme. Et j’ai reçu un don qui dépasse tous les autres – celui de satisfaire mon maître. Ses paroles me sont inintelligibles, mais la chair reconnaît son semblable. La créature qui me tient maintenant va faire plus que mettre fin à ma souffrance. Elle va remplir le vide en moi. Elle aussi est animale."


"_Ah, Mac ! S’écrie-t-il avec un rire aussi froid et sombre que l’endroit dont je rêve. Un jour, tu te demanderas s’il est possible de me détester plus."

"_Tu n’as pas dit mon nom. Dis mon nom quand tu me demandes de te faire l’amour.
_Fais moi l’amour, Jéricho Barrons.
_A partir de maintenant, tu m’appelleras Jéricho Barrons chaque fois que tu t’adresseras à moi."

"_Vengeance, dit-il doucement. Ils t’ont tout pris. Tu renonces et tu meurs, ou bien tu apprends à reprendre ce qui est à toi. La vengeance, Mac."

"_Bats toi, nom de nom ! Si tu te bagarrais comme tu baises, tu aurais quitté cette pièce le jour où je t’y ai amenée !"



"Devant cet homme si grand, si sensuel, si puissant – et, une part de moi le sait, si dangereux et imprévisible – qui danse nu en chantant que rien ne peut le maintenir à terre, je perds tous mes moyens. J’ai l’impression de voir quelque chose d’interdit. Je mesure, même si j’ignore comment, combien sont faibles les probabilités qu’il s’abandonne à un tel comportement. […]
_Oh, Seigneur ! dis-je finalement entre deux hoquets. J’ignorais que vous saviez danser, Barrons. Ou même vous amuser. Il se fige.
_Melle Lane ? demande-t-il avec lenteur."



"_Ne me quitte pas.
Je m’agite entre les draps.
_Je ne m’en vais pas, Mac.
Puis je sais que je rêve, car les songes sont le royaume de l’absurde, et ce qu’il me dit est plus qu’absurde.
_C’est toi qui me quittes, ma poupée arc-en-ciel."


_Ils vous ont pris votre volonté. Ils vous ont volé votre pouvoir. Ils vous ont rendue fragile. Seule au monde. Abandonnée. Morte à l’intérieur.
_Vous auriez dû être là !
[…]
Il se laisse tomber à genoux sur le plancher devant moi et me prend par les épaules.
_Je le sais ! grogne-t-il. Combien de fois pensez-vous que j’ai revécu cette nuit, bon sang ?


"Bonjour, je baise comme une bête et ensuite, quand je suis tombée aussi bas que possible, je me fais baiser pour recouvrer mes esprits – même si pour rien au monde je n’admettrais cela devant l’homme qui devait être très fier de m’avoir sauvée, par sa seule virilité, de l’état d’inconscience où je me trouvais […] Si je connaissais bien Jéricho Barrons, il devait être persuadé que son sexe était la plus colossale, la plus sublime, la plus parfaite, la plus extraordinaire merveille qui ait jamais existé sur terre. Ce que – je tressaillis – je me souvenais vaguement lui avoir dit une ou deux fois. Enfin…peut être plus souvent encore."
 […] et qui éveillaient en moi des émotions douloureusement conflictuelles, comme par exemple : merci de m’avoir sauvée, Barrons. Dommage que je doive vous tuer pour m’avoir fait ce que vous m’avez fait, et m’avoir vue dans cet état.
J’avais couché avec Jéricho Barrons.
Je n’avais pas seulement couché avec lui ; je m’étais livrée aux ébats les plus audacieux, les plus débridés, les plus impudiques qui soient. J’avais fait avec lui tout ce qu’une femme peut faire avec un homme. J’avais adoré avec dévotion chaque parcelle de son anatomie. Et il m’avait laissée faire. Oh, non, c’était bien pire. Il avait participé avec enthousiasme. Il m’avait encouragée."


"S’il y avait une chose que j’avais apprise au sujet de Barrons, c’était que spéculer sur sa personne était aussi inepte que danser des claquettes sur les sables mouvants, loin de toute terre ferme."


"_Avez-vous donné votre langue au chat ? Dommage, elle était jolie. Je le sais, elle a léché chaque parcelle de mon corps. De façon répétée. Pendant des mois, ronronna-t-il."

Il n’était pas homme à tolérer la moindre domination, fût-elle illusoire. Rien ne comptait plus pour lui que de garder le contrôle. Jamais il n’y renonçait.

"Puis il m’adressa un léger sourire.
_Melle Lane, dit-il d’un ton détaché.
Ces deux mots voulaient tout dire. Il me proposait un retour à des relations plus formelles, plus distantes. Comme autrefois. Comme si rien ne s’était jamais passé entre nous. A une façade de civilité qui nous permettrait, en cas de besoin, de travailler de nouveau ensemble. Il aurait fallu être folle pour refuser.
_Barrons, répondis-je, scellant notre accord."


"_Trouve toi ton style personnel, bougonna Barrons.
_Peut-être ai-je décidé que j’aimais bien le tien ?
_Peut-être t’imagines-tu que si tu me copies, elle te laissera la sauter ? rétorqua Barrons.
Je tressaillis, mais ma réaction n’était rien comparée à celle de V’lane."





"Quelque chose tomba bruyamment sur le plancher à mes pieds. Un téléphone portable. Je ne me retournai pas.
_Que voulez-vous que j’en fasse ? demandai-je d’un ton railleur. Les antennes ne fonctionnent plus, au cas où vous l’auriez oublié.
_Il marche, dit Barrons.
Puis, après un silence volontairement théâtral, il me donna le coup de grâce.
_Il a toujours marché.
Je crus que mon cœur s’arrêtait de battre. […]
Il s’approcha de moi si vite que je ne le vis pas venir. Je n’eus pas le temps de réagir. Son corps se pressa contre le mien, ses lèvres effleurèrent mon oreille. Je m’appuyai contre lui en prenant une profonde inspiration. C’était plus fort que moi.
Il murmura :
_O, créature de peu de foi. Pas pour SVEETDM.
[…]
_Vous n’avez même pas essayé.
Sa langue caressa mon oreille. Puis il disparut."

"Barrons m’offrait les meilleures chances de survie. J’avais fini de sauter d’une vaguelette à la suivante en essayant d’éviter les raz-de-marée. J’avais choisi. Qu’il ait raison ou tort, qu’il soit bon ou mauvais, Barrons serait ma vague."


"_Je vous donne 48h. Contrôlez la gamine, et tenez là hors de mon chemin. Il y a de nouvelles règles. Un : vous restez à l’écart de Chez Chester. Cela veut dire à une dizaine de rues à la ronde. Deux : vous partagez avec moi toutes les informations pertinentes sans que j’aie à le demander. Trois : vous empêchez la petite de s’approcher de mon garage. Quatre : si vus vous invitez sous mon crâne, je m’invite entre vos jambes.
_Oh ! Epargnez-moi ce genre de réflexions !
_Et vous, épargnez-moi ce genre de provocations, répliqua-t-il en posant les yeux sur ma poitrine."

"_Nous avons couché ensemble, Melle Lane. Même les insectes le font. Ca ne les empêche pas de s’entre-dévorer.
_Même page, Barrons.
_Même paragraphe, acquiesça-t-il.
Et voilà. Nous faisions de nouveau équipe. Tout allait pour le mieux – ou du moins, tout était à peu près normal – chez Barrons, Bouquins et Bibelots."




"_Je n’oublie jamais rien, Melle Lane. J’omets.
_Et vous fuyez.
Je mens, je triche et je vole, acquiesça-t-il.
_Ma foi, si votre conscience s’en accommode…
_Vous avez d’absurdes priorités, déclara-t-il en sortant de la pénombre entre les étagères."

"_Y a-t-il quoi que ce soit qui vous plaise sur moi ?
_Votre peau et rien d’autre, Melle Lane."


"_Vous pourriez être surpris, dis-je froidement.
_Pas si vous agissez comme vous baisez.
Je n’avais pas l’intention de me laisser désarçonner par ses allusions grivoises.
[…]
_J’essaie de m’armer pour pouvoir agir comme je baise, ripostai-je, mais vous refusez de m’aider.
Je détestais qu’il me rappelle l’époque où j’avais été Pri-Ya.
_Je commençais à me demander si vous prononceriez jamais ce mot de nouveau, Melle Lane. Il fut un temps où vous n’aviez aucune réserve. “Emmène-moi au Paradis, Jéricho Barrons !” Voilà ce que vous me répétiez, matin, midi et soir.
_J’ignorais qu’il était si facile de vous faire parler, ou je l’aurais dit voilà déjà cinq bonnes minutes. Allez en Enfer, Jéricho barrons !
Entre la stupidité et le fait de savoir que l’on devra tester ses limites si l’on veut vivre à fond, la ligne est étroite."

Nous voulons ressentir. La vie qui est en nous – magnétique, intense, ardente. Le bonheur. Le malheur. Le plaisir. La douleur. Tout ce que vous voulez – n’importe quoi. Ceux d’entre nous qui ont un destin ne se sentent jamais aussi vivants que lorsqu’ils frappent l’air de leur poing, tendent le majeur et, dans un sourire narquois, font un joyeux doigt d’honneur à la Mort.

_Celui qui vit vraiment connaît de rares et précieux moments de sécurité et apprend à s’épanouir dans toutes les tempêtes. Ce sont les vérités que vous pouvez froidement regarder dans les yeux qui font de vous ce que vous êtes. Faible ou fort. Vivant ou mort. Révélez-vous ! Quelle dose de vérité pouvez-vous supporter, Melle Lane ?



J’avais toujours considéré Jéricho Barrons comme une anomalie, une exception. Il ne l’était pas. J’aurais dû m’attendre à l’inattendu. Huit autres comme lui […]

J’étais devenue insensible au charme érotique du prince faë de volupté fatale. A présent, ma drogue, c’était Jéricho Barrons.

Sous le velours de sa voix, ses inflexions étaient d’acier. Je me mordis les lèvres et pivotai sur moi-même en me raidissant, car ce serait un choc de poser les yeux sur lui. Ce fut pire que je m’y étais attendue.


"Il haussa les épaules d’un geste élégant. Un fauve en Armani."

"_Je fouillerai où il me plaira de fouiller, Melle Lane. Jusque sous votre peau s’il m’en prend la fantaisie."



 "J’étais à cran. Totalement bouleversée. S’il me touchait à cet instant, je pourrais être gentille. S’il était gentil en cet instant, je pourrais le toucher.
Son visage était impassible, ses yeux d’un noir terne, ses poings serrés le long du corps.
_Barrons, je…
_Bonsoir, Melle Lane."

"_Je connais les humains.
_Ha ! Vous admettez enfin que vous n’en êtes pas un !
_Je n’admets rien du tout Vous voulez que je vous livre des vérités ? Voyez-moi, quand vous me regardez."

"_Les noms sont des illusions, grommela-t-il. D’absurdes étiquettes auxquelles les gens s’accrochent pour se protéger contre l’impossibilité de cerner leur minable existence. […] Peu importe l’endroit dont vous venez. Ce qui a du sens, c’est là où vous allez."

[Mac à propos de Fiona] Etre amoureuse d’une créature telle que Barrons était une malédiction que je ne lui enviais pas.

"_Et vous pourrez dire à Darroc, ajouta Barrons, que Melle Lane est à moi. S’il la veut, qu’il vienne la chercher !"

_En d’autres termes, je vous aurai toujours sur le dos, maugréai-je.
Il me décocha un sourire carnassier.
_N’en doutez pas un instant.

Comme toujours lorsqu’il s’agissait de Jéricho Barrons, je n’avais que des questions et pas de réponses.





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Alors?
Tu t'es étranglée de béatitude avec ta souris?
La prochaine fois tu en prends une sans fil t'auras moins de souci.









13 commentaires:

  1. Mouhaha! C'était trop bon! Ce sera tjrs trop bon! j'aime ce tome là parce que c'est à ce moment que l'on voit que Barrons aime Mac et il essaie de le lui faire comprendre plus que dans les autres tomes. Et surtout où il y a le grand final où ils se sautent dessus!
    Et puis ces répliques sont tjrs illustrées fort judicieusement! J'aime particulièrement la première photo parce que là tu sais déjà que ça va être chaud et la dernière où l'on peut voir notre Barrons dans tout sa splendide arrogance et parait blasé avec un début de sourire en coin. Bref encore une foi je viens de réalimenter le débit de la petite rivière jusque là asséchée qui coule derrière chez moi tellement j'ai eu chaud là!
    Merci Karin, merci Jacinthe!
    Bisous les chouquettes!

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    1. Oups je crois que je me suis embrouiller dans mes tomes moi! mais après ces répliques et ces photos je savais même comment je m'appelais alors c'est normal!

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    2. rectification: "je savais même PLUS comment je m'appelais" décidément!

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    3. HAHAHA je crois que JZB te monte à la tête

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  2. Bouboubouh, que ç bon! merci Jaja...
    J'adore la 2ème photo, DG dégage vraiment qqch à la Barrons là dessus, je craque littéralement....
    Quant à Dreamfever, ben ç un délice bien évidemment...le tome débute dans la luxure (mdr), chaud bouillant dans la culotte, inondation assurée et en même tps ce début il te prend aux tripes vu qu'on percoit Jéricho partagé, torturé émotionnellement, il profite d'être avec Mac qu'il désire et en même tps il sait qu'il devra la laisser partir et qu'elle lui en voudra, il voudrait tant qu'elle le voit enfin...putain! que ç bon....quant à la fin, je ne vais pas spoiler, mais on sait toutes dans quel état on a fini,à quel point et avec quelle force on a du crier : NON!!!!!!!!!! (trop poignant, trop déchirant, qd Mac réalise.....) et comme on a trépigné d'impatience en attendant le final du tome 5.....
    Bref, ç divin, encore merci Ste Jaja pour ce petit shoot, on en veut encore.....

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    1. Mais de rien, c'est surtout toi qui a bossé en fait moi j'ai juste illustré par ci par là.

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    2. ben j'ai pas trop de mérite, le matériau de base est tellement jouissif que ça n'a été que pur plaisir...

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  3. en fait j'avais ps vu les 2 premières photos, dc en réalité c'est ps la 2 qui me fait fondre mais la 4, Ah ce regard!!!!!

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    1. le regard qui dit je vais pas tarder à te bouffer tout ce qui depasse

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  4. Maitresse Jaja je m'incline devant votre bonté à m'éclairer et me réchauffer mes journées!!!

    Je surkiffe toujours autant!!!! Ah et ces photos grrr La dernière est vraiment représentative de notre JZB!!!

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    1. Mais de rien...... C'est toujours un plaisir de vous offrir ce genre de choses.

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  5. Putain j'adore les photos 4 et 6 elles sont juste magnifiques!!!
    Sinon bah c'est vrai que dans ce tome c'est cool pcq justement Barrons montre qu'il aime Mac d'une façon tellement incroyablement drôle (pour nous) que la pauvre folle n'a pas l'air de s'en rendre compte!!
    Franchement merci Karin et Jaja...en plus normalement là je commence bientôt ma tite relecture de la saga. Et j'ai déjà chaud...c'est peut-être en parti grace à Bones vu que je me refais aussi sa Saga!

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Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

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