vendredi 6 juillet 2012

Les dessous de la saga Fièvre par Karen Marie Moning




Ma petite vulve en émoi,

Il faut que tu saches que parfois, souvent même, j'erre comme une âme défraîchie sur le site de la Karen. j’espère toujours trouver une info qui m'aura échappé.
Et là que vois-je mon petit caribou?
Nan pas des photos de JZB nu sous sa douche.... de toutes façons on les a déjà.
Mais un titre qui attitre mon oeil morne "les dessous de la saga fièvre". "Whaowwwwwwwwwwwww" que je me dis l'haleine vanillée. "Comment Jaja t'as pu passer à coté de ça?"

De suite je m'essaye à la traduction mais comme j'ai le niveau d'Anglais de Mia Fraye je demande de l'aide. Et là tu peux remercier Pat, lui faire une Ola touffe au vent parcequ'elle a asssuré grave de la tourette. Le lendemain j'avais tout l'article traduit dans ma boite. 
Alors si tu te demandes qui est Pat c'est une des tauliere de la bulle, elle est capable d'imiter Gerard Depardieu devant Damon sans moisir de l'aiselle et ça c'est beau. Alors big kiss chantilly in your face ma Pat.

Bon ben je te laisse jouir de ce que nous offre la Karen.




Beaucoup de gens m’ont demandé quelle était la chose la plus difficile à écrire dans la saga Fièvre. Honnêtement, la chose la plus difficile c’était que cela n’a suivi aucune des règles auxquelles j’étais habituée pour écrire. J’ai dû abandonner les problèmes de contrôle et sauter dans la foi.

La saga entière m’est venue une nuit dans un rêve. J’ai dit cela dans une interview récente et la personne qui m’interrogeait m’a regardée de façon étrange et dit, « Waouh ! Ca a dû vraiment être un rêve très long.

Il ne l’était pas. Dans le rêve, on ne m’a pas véritablement raconté l’histoire, ou je ne l’ai pas vue se dérouler. J’étais en train de lire un livre, tournant les pages de plus en plus vite, en me faisant trainer par la gorge. La sensation était à la fois exaltante et inconfortable. J’en tremblais de le lire. Je n’aimais pas les choses auxquelles je m’accrochais de façon compulsive. Cela a été une relation d’amour-haine dès le départ.

Lorsque je me suis réveillée après ce rêve, je me suis exclamée sans réfléchir – sinon je me serais rendue compte que j’étais en train de m’engager dans un de ces contrats qu’on signe avec le sang- oui oh oui. Je veux écrire une histoire comme celle-là !

Le barrage s’est ouvert. La saga toute entière s’est déroulée dans mon cerveau comme         un jet sur une phrase de Dan Simmon. Pas morceau par morceau. D’un coup. Une minute je ne l’avais pas, la minute d’après je l’avais. Complet avec les noms des tomes, des personnages, les aléas de l’intrigue, même le nombre de tomes il devait y avoir et où chaque tome devait s’arrêter.

J’y ai résisté pendant des mois. Parfois, je faisais un test quand je n’avais rien à faire juste pour me rendre compte à quel point ça n’avait pas de sens pour moi de l’écrire. Ce n’était pas mon type d’histoire du tout. C’était à la 1ère personne, pas à la 3ème. Il n’y avait pas de héros ou héroïne véritablement défini. Ca s’arrêtait sur des cliffhangers et s’étalait sur 5 tomes. Ensuite, il y avait ce fait troublant qu’il n’y avait pas cette “romance” traditionnelle qui était précisément ce que mes lecteurs appréciaient dans mes livres. Il n’y avait que des nuances de gris, pas de blanc ni de noir. Même pire – elle m’a fait réfléchir. J’ai lu pour m’échapper.

J’avais réussi ma carrière en écrivant des romans d’amour uniques avec de vraies fins heureuses. Non seulement il n’y avait aucune raison pour que je change soudainement de genre, mais il y avait aussi une raison irrésistible pour moi de ne pas le faire.

Déterminée à ce que la saga Fièvre trouve un autre écrivain, je me suis assise pour écrire un autre roman d’amour unique à la 3ème personne. Le filet de sécurité autour de moi, la barre dans la main, je savais comment m’y prendre.


Rien ne vint.

Je me suis assise là pendant 3 mois à regarder mon ordinateur. Rien ne vint.


J’ai proposé des négociations innovantes à plusieurs dieux pour un peu d’inspiration (ignorant l’énorme inspiration qui me bloquait). J’ai noté toutes les raisons pour lesquelles je ne devais pas écrire la saga Fièvre. J’ai noté toutes les raisons pour lesquelles je n’allais pas faire de changement dans ma carrière. J’ai refusé obstinément d’écrire le 1er mot du 1er livre.

[En aparté, je ne savais pas à ce moment là mais je l’ai su très vite, que j’avais été mordue par une tique qui m’a transmis la maladie de Lyme et j’étais sur le point de m’embarquer pour un voyage de 5 ans en enfer aller/retour pendant qu’elle envahissait mon système nerveux central et m’a handicapée. Comme Mac, j’étais heureuse et insouciante. Je pense que les leçons qu’on doit le plus apprendre sont généralement à porter de main]

Je me souviens du jour où je me suis assise à mon bureau et où j’ai regardé l’écran de mon ordinateur pour le 95ème jour consécutifs de pages blanches, et comme dans un état second, je pris un stylo noir et écris sur les murs le titre de chaque tome : Fièvre Noire, Fièvre rouge, Fièvre Fae, Fièvre Fatale, Fièvre d’ombre.

Je me suis assise et j’ai regardé le mur, réfléchissant à la difficulté que représente un changement de carriere dans ma vie.

Et puis je me suis souvenue de Dune  de Frank Herbert quand j’étais adolescente, traversant des moments difficiles. Je me suis souvenue avoir découvert le mantra de Bene Gesserit : je ne dois pas avoir peur. La peur tue l’esprit. La peur c’est la petite mort qui apporte l’obstruction totale. Je vais affronter ma peur. Je vais l’autoriser à passer au-dessus de moi et à travers moi. Et lorsqu’elle sera passée, je regarderai son passage avec mon œil intérieur. Quand la peur sera passée, il n’y aura plus rien. Il ne restera que moi.

Je me souviens de toutes ces fois dans ma vie où je me suis remémorée ce mantra, mot pour mot et à quel point j’en avais besoin. Je me demandais où je serais si je ne l’avais pas. Comment j’y serais arrivée.

J’ai eu un déclic dans ma tête et je me suis levée et écrit les phrases suivantes: "L’espoir rend fort. La peur tue."

J’ai commencé à écrire Fièvre Noire ce jour là.

Il y a eu des moments où j’ai détesté avoir commencé cette saga. Il y a eu des moments où je l’ai savourée. Des jours où je me suis sentie maudite par cette saga, et d’autres jours où elle m’a bénie. Je n’ai pas toujours aimé les personnages, je n’ai pas toujours été d’accord avec les choses qu’ils ont faites. En fin de compte, tout ce que je peux dire c’est ça :

L’histoire est venue vers moi. Je l’ai racontée. Je suis contente de l’avoir fait.








  • Le monde de Fièvre est un monde sombre, percé rarement par la lumière, littéralement et métaphoriquement. J’ai gardé en tête la fameuse citation de Kahlil Gibran pendant que j’écrivais: “Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie.”
  • Je voulais explorer deux personnages totalement différents: une innocente qui n’a jamais connu le chagrin d’aucune sorte et que les seules règles qu’elle suivait venaient du Guide du Barman pour Mixer des Boissons Parfaites pour les Soirées, et un limite sociopathe qui s’est construit ses propres règles d’éthique. Je voulais leur donner à chacun quelque chose qui changerait leur vie puis m’assoir et les observer dans ce changement. Je voulais capturer le monde d’urban fantasy comme étant le pivot de la transformation initiée – pas après que les vampires aient été découverts, ou une fois que les morphes/sorcières/zombies aient des droits. Je voulais chroniquer les personnages qui étaient sur la ligne de front avant que les murs ne soient abattus, et voir comment ils se comportaient alors que leur monde s’écroulait.
  • Quand chaque roman que je prenais en librairie annonçait: héros vampire/loup-garou/démon sur la couverture, et dont le marketing était basé sur cette note de créatures mythiques paranormales, je voulais écrire une histoire avec un personnage masculin au centre qui défiait les standards, et qui ne s’y plierait pas. Je voulais que le lecteur choisisse de le prendre ou de le laisser sans la facilité d’une caricature de héros torturé pré-emballé qui sortirait de ses standards, et pas de réponse facile sur est-il gentil ou est-il méchant. Je voulais écrire sur une créature paranormale et ne jamais dire au lecteur qu’il l’est, parce que j’étais persuadée qu’ils finiraient par voir plus clair en lui de par son comportement quotidien, que par la vue distordue de la légende de quelqu’un d’autre.
  • Barrons dit, “Jugez-moi par mes actions” et le lecteur en fait de même. A la fin de la saga, je veux que le lecteur réponde à cette question : Qui ou qu’est Barrons ? de la même façon que Mac le fait : on s’en fout ! Il est Barrons.
  • Dans la veine de montrer, et pas dire, je veux que mes personnages s’aiment – mais qu’ils ne se le disent jamais. Je le montrerai dans leurs actions, dans les choix qu’ils font. Les mots sont faciles ; les mensonges aussi faciles que d’ouvrir la bouche et respirer.
  • Bien que Mac commence en tant qu’innocente, elle ne le reste pas longtemps. Le meurtre brutal de sa sœur l’emmène à Dublin en quête de justice et de vengeance. Avec la mort d’Alina, son quotidien bascule rapidement du soleil et des doux rêves vers un monde souterrain sombre, terrifiant avec des monstres à tous les coins de rues. Il pleut sans arrêt là où se trouve Mac, dans sa tête et dehors. La plupart des actions importantes se passent la nuit, dans une zone urbaine décadente. Je veux atteindre ce sentiment : quand le soleil réussit à faire une apparition au milieu de la masse de nuage au-dessus du district de Temple Bar, ou qu’un fée éblouissant se balade sur la page, l’effet laissé doit ébranler, laisser sans souffle.
  • Je veux que la saga fonctionne comme une tête de Janus avec plusieurs niveaux, surlignant les contrastes  et créant une atmosphère tendue entre les opposés compressée dans une réalité volatile pour illustrer ce que voulait dire Jean Paul Sartre dans L’Etre et le Néant quand il explore le concept de l’angoisse au point de la liberté absolue : la seule chose qui importe est les possibilités, ce que vous choisissez, ce pour quoi vous vous engagez. Tous les potentiels existent dans chaque personnage, à chaque moment. Ce sont leurs actions qui les défini et les singularise.
  • Lorsque l’on fait connaissance de Mac la première fois, la seule difficulté qu’elle ait jamais rencontrée c’était de couper du citron pour le mettre au goulot d’une bouteille fraiche de Corona pendant qu’elle trainait à la plage à jouer au volley-ball. J’aime ça chez elle. Elle va être facile à briser. Je me demande comment elle va se relever. Le meurtre ignoble de sa sœur est seulement le début de sa chute. Barrons, quant à lui, sera difficile à abattre.



SPOILERS 


Au moment où Mac rencontre le Fear Dorcha dans Fièvre d’Ombre, le 5ème et dernier livre de la saga, elle aura été torturée, violée en groupe, sera devenue Pri-ya, aura survécu à des tentatives de meurtre de toutes parts, aura eu ses parents kidnappés, découvert que ce ne sont même pas ses parents, et sera venue à suspecter – et à raison – que de tous les monstres auxquels elle aura eu à faire face depuis la mort de sa sœur, elle est possiblement le pire. A ce moment là, elle doit redresser la tête, les épaules en arrière, le dos droit, inébranlable.


Jericho Barrons dit que la seule réalité que vous pouvez contrôler c’est celle que vous avez envie d’affronter – et qui voudrait vivre dans une réalité qui est contrôlée par quelqu’un d’autre ? C’est une cage, peu importe qu’elle soit dorée. La croyance de Sartre dans la mauvaise foi est la plus grande hypocrisie et absurdité pour lui. Chaque mensonge qu’une personne dit forge un nouveau maillon dans la chaine qui vous retient. Barrons se préoccupe uniquement de cela : à combien de vérités pouvez-vous faire face ? A quel niveau de liberté osez-vous vous situer? Si le choix est vôtre – et il l’est – ne souhaiteriez-vous pas être totalement libre? Le plus clairement vous voyez qu’il n’y a rien qui vous retient, le plus de pouvoir vous avez pour créer ce que vous ne voulez pas. Barrons comprend cela et parce qu’il le comprend, il est véritablement libre. Pour cette même raison, il est Roi Unseelie dès le départ.

V’lane aussi le comprend, et est un autre héros de l’ombre, un faiseur de beaucoup de bien ou de beaucoup de mal dépendamment des standards par lesquels il est jugé. Comme le roi dira à la fin de Fièvre d’Ombre, dans une autre réalité, V’lane serait devenu le roi et Barrons serait devenu Cruce, ou Barrons serait devenu le roi et aurait emprisonné la Guerre, peut-être que V’lane aurait été Barrons… peut-etre que quand il s’agit de Mac, il l’est… mais cette fois ci, il n’a pas la fille. Les trois : Barrons, V’lane et le roi auraient pu être l’autre à peu de choix près.

Mac peut à peine évacuer l’angoisse existentielle mais elle va s’appliquer tête baisser à le faire au quotidien, et ce faisant devenir fascinée par les deux mâles presque omnipotents qui sont aussi dangereux qu’attirants. Une femme n’arrive pas avoir quelque chose comme Barrons ou V’lane sans en payer le prix fort. Mac 1.0 est comme un paon, un mâle prétentieux se baladant en montrant son plumage fabuleux, essayant d’attirer l’attention du roi de la jungle, mais pour survivre dans le lit de Barrons il faudra qu’elle perde sa queue de plumes et qu’elle se forge des griffes. En partie paon, en partie lion, Mac 5.0 ne saura plus qui elle est et ne s’en préoccupera pas parce qu’elle sait ceci : elle est incassable et elle aime ça.

Mac, Barrons et V’lane sont compliqués, des personnages conscients de qui ils sont. Tous sont imparfaits. Il n’y aura pas de héros dans cette saga bien que cela soit discutable. Avec une petite contorsion à la loupe, ceux qui sont perçus comme les méchants peuvent être vus comme les héros, et les héros comme des méchants. Cela devient totalement subjectif et laissé à l’appréciation de celui qui en fait la chronique. Je peux éventuellement le dire du point de vue de quelqu’un d’autre.


Notes sur les personnages.





Jericho Z. Barrons: Barrons est dur, froid, une machine à tuer brutalement efficace, intelligent, rusé et complètement concentré sur ce qu’il veut à tout moment. Il sourit rarement et lorsqu’il le fait, c’est un sourire bref, un faible soulèvement du coin de ses lèvres – jamais un sourire franc. Depuis qu’il a rencontré Mac, il a souri à plusieurs occasions. Une fois, il a ri à gorge déployée.  JZB n’est pas un homme qui montre sa joie. Au mieux, il montre un calme auto-satisfait, un gros chat au repos. Sévère, interdisant, contrôlant, un homme d’une grande discipline, il montre de la colère, de la moquerie, de la compétition, de l’ironie, de la sexualité à l’état brute, une furie animale, mais pas de tendresse. C’est un homme dur. Il n’y a pas de faille dans son mur à part celle où Mac arrive à se glisser – et il déteste ça mais il l’accepte parce que c’est la vérité et prétendre le contraire serait une perte de temps futile. Qu’il aime ça ou pas, il l’a dans la peau et elle le fait bander beaucoup plus que n’importe quelle autre femme qu’il ait eue. Il ne perd pas de temps à chercher le pourquoi du comment et à résister à l’effet qu’elle produit sur lui. Il concentre son énergie comme un laser, coupant et mortel, en réarrangeant la réalité pour obtenir ce qu’il veut. Depuis le moment où il a rencontré Mac et accepté qu’il la voulait, il l’a modelée de façon impitoyable, la façonnant pour qu’elle devienne ce qu’il veut. La seule question qu’il se pose est : survivra-t-elle à ce qu’il lui fait subir ?

MacKayla Lane: Mac est une femme sur le point de… tout: un épisode totalement psychotique, une épiphanie de changement de vie, devenant quelque chose de vraiment bon ou de vraiment démoniaque. Elle se sent souvent bi-polaire – parce qu’elle l’est. Une fille gentille, du sud, avec des goûts raffinés et de bonnes manières, elle est une étoile brillante avec un grand trou noir au centre qui engouffre tout. Le mal qu’elle a chassé de façon tellement assidue, l’hypnotiseur, le monstre de destruction qui tue les âmes qu’elle a traqué dans les rues boueuses de Dublin – c’est elle. Chaque incantation noire, tout le pouvoir dangereux, la rage et la fin vicieuse se tapissent derrière elle. Il n’a jamais été question de la laisser trouver cela dans les rues avant qu’elle ne le trouve en elle.



V’lane : V’lane a eu un journaliste pouilleux. Il est le seul personnage central masculin à qui j’ai donné un label : Seelie, Fée brillant de mort-par-le-sexe, érotique, intelligent, avec des couilles et pas moins sociopathe que Barrons. Avec V’lane, je ne peux pas m’empêcher de jouer au jeu « et si » : et si la nuit ou Mac a foncé dans la zone fantôme pour y chercher un refuge, elle avait trouvé V’lane au lieu de Barrons Books & Baubles ? Et s’il l’avait emmenée au pays des fées et lui avait dit la vérité, toute la vérité cette toute 1ère nuit ? Aurait-elle été prise dans sa volonté de sauver ses frères prisonniers ? Dans quelle mesure est-il différent de Barrons et de ses pairs ? V’lane se serait peut-être rebellé contre les volontés du roi Unseelie mais il essayait seulement de rendre sa liberté au reste des Unseelie. Il était beau, puissant, il aura pu quitter la prison de glace et les abandonner, et poursuivit son propre plaisir. Mais il voulait que tous les Unseelie aient une chance au soleil et dans la beauté du monde. Il était un combattant de la liberté, un renégat, parti en croisade déterminé, rusé, patient, vaillant. Le monde n’a-t-il pas besoin de la guerre ? N’est-il pas la seule raison pour laquelle les tyrannies sont renversées, les empires tombent et les humains changent ? La guerre est le catalyseur, le moyen avec lequel ceux qui ont tort reviennent à la raison, les échelles rééquilibrées, et le monde transformé. V’lane n’est il pas le vrai héros ?




Alors??????
C'est pas jouissif d'entrer dans les coulisses de cette saga?
Elle est completement baréée la Karen et c'est aussi pour ça qu'on l'aime tant
YMCA dans ton corps.

6 commentaires:

  1. hum les filles! waouh! même si je l'avais déjà lu sur le site de la Karen,ç tjrs un vrai régal....et les photos sont justes magnifiques encore une fois....
    Putain! quand on lit cela, on se rend vraiment compte que ça n'a pas été une partie de plaisir pour Karen, qu'elle a du batailler dur pour nous offrir ce petit bijou qu'est Fever et on ne l'en remerciera jms assez...on dit parfois que les plus belles choses naissent ds la douleur ben là je confirme! elle a comme ainsi dire accouché de sa saga et de ses personnages dans le sang mais merde! que ç bon!!!!!!
    Elle a quand même l'esprit vachement torturé! logique qd on voit la nature profonde de ses personnages....et quel exploit aussi pcq son matériau de base (romance traditionnelle) etait vachement éloigné de la saga....mais en fait, implicitement, pas tant que ça pcq les Highlanders et Fever sont tt de même étroitement liés....ah j'adore! j'adore! j'adore! je ne m'en lasse pas...

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    1. Tu l'avais lu depuis longtemps?
      Moi aussi j'ai halluciné de la relation qu'elle entretient avec cette saga.
      Mais d'un autre coté je me dis que c'est ce qui la rend plus forte

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    2. oui oui ça fait un moment vu que je traine régulièrement sur le site de Karen et sur son forum via le site (tout en bas), c'est extra pcq on est au courant d'un max de choses et les idées des fans fusent concernant l'ensemble de la saga et sur tous les sujets (en fait, après, on est encore plus paumées mdr)...ça permet aussi de travailler l'anglais et dans le pire des cas, il y a le traducteur...en gros, j'adore! et sais pas si t'as vu, mais Karen propose aussi en téléchargement légal et gratuit la blinde de sonneries au format mp3 (extraits bloodrush et shadowsong), voilà pour la petite histoire lol.....
      Sinon, ç clair que ç une grande histoire entre Karen et sa saga, les mots sont quasi sortis dans la douleur et en même temps, se sont imposés à elle, ellea pas eu le choix et quand on voit le résultat, ben on a qu'une envie, ç qu'elle souffre encore plus pour nous livrer d'autres bijoux.

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  2. C'est vrai que c'est passionnant de comprendre comment fonctionne les personnages et la relation que l'auteur entretient avec eux, comment elle les construit, les fait avancer. Et en même temps on dirait que les personnages fonctionnent indépendamment d'elle: ils ont une vie propre et elle les retranscrit! Et qu'est ce que j'avais dit: n'hésitez pas à plonger allègrement dans vos rêves là où tout est permis car c'est à partir d'un rêve qu'est née cette sublime saga!

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  3. "Qui ou qu’est Barrons ? de la même façon que Mac le fait : on s’en fout ! Il est Barrons" Mais j'ai juste envie de dire : Graaaaaaaaaaavvvvvvvvvveeeee. Barrons est et restera toujours Jericho quoiqu'il soit on l'adore pour ça!!!!

    Merci ma Jaja et Pat pour ce boulot géantissime!!!!

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    1. Sandy noublie pas si tu veux toujours the alpha alternative pdf & audio, faut que tu me files ton mail...
      Et vive Jerichoooooooo! C clair qon sen fout de ce quil est, il est celui qui ne laissera jamais mourir Mac et on ladoooooore!

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Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

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