Mon petit mollusque,
Nous continuons notre voyage au sein des rencontres avec JZB. Cette fois encore, Mac cours se réfugier dans la librairie de notre Jéricho Barrons. Et une fois de plus notre chez Barrons est à la hauteur de son arrogance.
— Décidément, cela devient une habitude, mademoiselle Lane.
En me
voyant me ruer à l'intérieur de la librairie, hors d'haleine, Barrons leva
à
peine les yeux du livre qu'il était occupé à examiner.
Je
rabattis vivement la porte derrière moi et poussai les verrous d'une main
tremblante.
En les
entendant coulisser dans leur rail de métal, il me décocha un regard intrigué
et daigna
enfin poser son ouvrage sur une console.
— Je crois que je vais me sentir mal.
Il
fallait que je me lave, si possible à l'eau de Javel, mais je me demandais si une centaine de
douches suffiraient.
— Mais non, répondit Barrons
avec fermeté. Respirez un bon coup, cela va passer.
En
était-il aussi certain qu'il voulait le laisser paraître, ou n'exprimait-il
rien d'autre que sa
crainte
de me voir salir son précieux canapé ou ses tapis d'Orient ?
— On
dirait que vous avez vu un fantôme. Vous êtes blanche comme un linge !
— Je jetai un coup
d'oeil en direction de Fiona, qui se tenait
derrière la caisse.
— Vous
pouvez parler devant elle.
Je
marchai jusqu'au comptoir pour y prendre appui.
Mes jambes me portaient à peine, mes genoux flageolaient.
— J'en ai vu un autre, dis-je dans un souffle.
Barrons s'était tourné vers moi à mesure que je me
déplaçais. Je le vis s'immobiliser,
contre une lourde étagère ornée de sculptures.
— Et
alors ? Je vous avais prévenue. Il était donc si
affreux que cela, pour vous flanquer une telle frousse ?
demanda-t-il
d'un ton moqueur.
Je pris une profonde inspiration pour refouler une soudaine envie de pleurer.
— Il a compris que je l'avais vu.
Barrons en demeura bouche bée, les yeux agrandis par la stupeur. Ou
était-ce de la colère ? Inquiète, je le vis pivoter sur ses talons, lever la
main et donner un violent coup de poing sur l'étagère. Le meuble vacilla sous le choc. Les
livres tombèrent de tous les rayonnages,
l'un après l'autre.
Lorsque Barrons se retourna vers moi, ses traits étaient déformés par la fureur.
— Enfer !
tonna-t-il. Ne voyez-vous pas que vous
nous
mettez tous en danger, pauvre sotte ? Vous êtes
une véritable calamité ! Un
un cauchemar rose
-bonbon !
Si un regard pouvait tuer, je serais tombée raide morte à l'instant.
—
N'avez-vous donc rien compris de ce que je vous
ai expliqué hier
? Avez-vous au moins écouté ?
—Je vous ai très bien entendu, Barrons. Et
pour votre information, je ne
suis pas tout le temps habillée en
rose. Je porte aussi du pêche et du parme. Quant à vos avertissements, je m'en souviens
parfaitement. Vous
m'avez mise en garde contre l'Homme Gris, les Traqueurs et les Ombres. Pas contre... ça.
—Ce que vous avez vu était donc pire que tout cela ? demanda-t-il d'un ton incrédule.
—Vous n'en avez même pas idée.
—Décrivez-moi cette vilaine bestiole qui vous
a fait si peur.
Je
m'exécutai, aussi succinctement que possible. La seule évocation de l'immonde apparition me
secouait de nausées.
—De quoi s'agissait-il ?
demandai-je lorsque j'eus terminé.
Et comment cela tue-t-il ? Voilà ce que j'avais vraiment envie de
savoir. Au fond, je me fichais bien du nom
que portait l'horrible chose. Tout ce que j'espérais, c'était ne jamais recroiser sa route !
Je commençais à développer
une angoisse obsessionnelle de
la mort ou, plus exactement, des possibles fins qui m'attendaient, toutes plus effrayantes
les unes que les
autres. Surtout lorsque je songeais à ce que l'épouvantable créature avait si visiblement voulu
m'infliger...
Si je devais périr, je
préférais encore que ce soit par la
main - le moignon ? - de l'Homme Gris, voire d'une Ombre. Même les fameux Traqueurs me paraissaient
moins inquiétants. Qu'ils
m'écorchent vive, comme Barrons
m'avait dit qu'ils le feraient, je n'en avais cure ! Mais que jamais, jamais la Chose aux
mille bouches ne m'effleure de
nouveau !
—Je ne sais pas ce
que c'est, avoua Barrons d'un air grave. Était-il seul ou y en avait-il
plusieurs ?
—Seul.
—Et vous êtes
absolument sûre qu'il a compris que vous pouviez le voir ?
—Certaine. La
preuve, il m'a touchée.
Un
frisson de dégoût me parcourut à ce souvenir. Barrons laissa échapper un rire
sans joie.
—Très drôle,
mademoiselle Lane. Maintenant, dites-moi ce qui s'est réellement passé.
—Je viens de le
faire. Il a posé sa main sur moi.
—Impossible. Si
c'était le cas, vous ne seriez pas ici pour le raconter.
—Je
vous dis la vérité, Barrons. Quel intérêt aurais-je à mentir ? La... chose m'a prise
par le bras.
—
Mes
mains me brûlaient encore, surtout au niveau des paumes, que j'avais plaquées
sur la créature pour la repousser de toutes mes forces. Elle avait une peau de
reptile, un peu visqueuse, trouée de répugnants sphincters rosâtres.
— Et ensuite, elle a tout
simplement battu en retraite ? fit Barrons d'un ton sarcastique. Elle s'est
exclamée : « Faites excuse, mam'zelle Lane, je voulais
pas froisser vot' joli corsage ! Voulez-vous que je vous le repasse ?» À moins que vous ne l'ayez griffée avec vos jolis ongles roses ?
pas froisser vot' joli corsage ! Voulez-vous que je vous le repasse ?» À moins que vous ne l'ayez griffée avec vos jolis ongles roses ?
Pourquoi
faisait-il une telle fixation sur la couleur rose
? Mystère ! Au demeurant, ses railleries ne m'atteignaient pas. Moi non plus,
je ne m'expliquais pas ce qui s'était
passé ensuite. J'y réfléchissais depuis une bonne demi-heure sans trouver de
réponse. Car l'attitude de la créature avait été, à tout le moins,
inattendue.
—J'avoue que c'était
assez surprenant. Elle m'a prise par le bras et elle est restée immobile, d'un
air... eh bien... s'il s'était agi d'un être humain, j'aurais dit d'un air
confus.
—Confus
? répéta-t-il. Un Unseelie vous a regardée d'un air confus ?
Vous voulez dire déconcerté, perplexe, consterné ?
Je hochai la tête.
—Jéricho, dit Fiona
derrière moi, tout cela est parfaitement absurde.
—Je sais, Fio.
Lorsqu'il s'adressait à elle, son ton était considérablement plus
doux... pour ne pas dire tendre.
— Et ensuite ? reprit-il à
mon intention, d'une voix tranchante comme l'acier.
J'esquissai un geste évasif, tout en me remémorant la scène.
— J'ai vu que la créature
hésitait, alors j'en ai profité. Je lui ai donné un coup de poing dans le
ventre et je me suis enfuie. Elle a essayé de me rattraper, mais avec un peu de
retard ; j'ai eu le temps de héler un taxi et de monter dedans. J'ai fait faire
un détour au chauffeur, au cas où l'autre aurait tenté de me suivre.
Ce laps de temps supplémentaire m'avait aussi permis de réfléchir à ce qui m'était arrivé. La Mort
m'avait serrée de près, mais elle m'avait relâchée. Pour quelle raison ?
Je n'en savais rien. J'étais donc allée trouver la seule personne susceptible
de posséder la réponse.
—Ensuite, je suis
venue ici.
—Au moins, vous avez
eu le réflexe de brouiller votre piste, marmonna-t-il.
Il s'approcha de moi pour m'observer d'un air attentif, comme si j'étais une espèce rare, toute nouvelle pour lui.
Il s'approcha de moi pour m'observer d'un air attentif, comme si j'étais une espèce rare, toute nouvelle pour lui.
—Que
diable êtes-vous donc, mademoiselle Lane ?
—Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
« Tu ne sais même pas qui tu es ! » s'était écriée Alina avant de mourir. Puis, comme en écho à ses
paroles, la vieille femme du pub avait dit : « Si vous êtes incapable
de rester discrète et de faire honneur à votre lignage, ayez au moins la
correction d'aller mourir ailleurs. » Et voilà que Jéricho Barrons
s'interrogeait sur ma véritable nature...
- Je suis barmaid. J'aime les vieux standards du rock. Ma sœur a
été assassinée il y a un mois. Depuis, je suis devenue folle.
J'avais énuméré tout ceci avec détachement,
presque sur
le ton de la conversation. Du coin de l'œil, je vis Barrons chercher le regard
de Fiona.
—Vois si tu peux
trouver quelque chose là-dessus, lui ordonna-t-il. Même si ça manque de
précision.
—Est-ce
vraiment utile ? répliqua-t-elle. Tu sais très bien à quoi t'en tenir.
Il secoua la tête,
manifestement peu convaincu.
— Les nulls n'existent pas, Fio. Ce n'est
qu'une
légende.
légende.
Elle éclata d'un rire cristallin.
— Comme bien d'autres choses, n'est-ce pas, Jéricho ?
— Que sont les nulls ?
demandai-je.
Barrons ignora ma question.
Barrons ignora ma question.
— Vous allez donner à
Fiona la description exacte de cet Unseelie,
mademoiselle Lane. Soyez aussi précise que possible. Peut-être
pourra-t-elle l'identifier.
II se retourna ensuite vers son employée.
. — Quand vous aurez
terminé, tu installeras Mlle Lane dans l'une des chambres. Demain, tu iras
acheter une paire de ciseaux et une teinture pour les cheveux. Tu en prendras
plusieurs, pour qu'elle puisse choisir.
—Une chambre ?
s'écria Fiona.
—Des ciseaux ? De la
teinture ? m'exclamai-je. Dans un réflexe de défense, je portai la main à mes cheveux. Je verrais plus tard la question de la
chambre. J'avais mes priorités.
—On
ne supporte pas l'idée de se séparer de son joli plumage, mademoiselle Lane ? me
demanda Barrons avec suavité. Qu'espériez-vous ? ajouta-t-il d'un ton sec. Il sait que vous l'avez vu. Il vous cherchera
jusqu'à votre mort - ou la sienne.
Et croyez-moi, cette engeance a la
vie dure. Très dure. La seule question est de savoir s'il alertera les
Traqueurs ou s'il jouera les francs-tireurs. Si vous avez de la chance, il est
de la même espèce que l'Homme Gris. Les castes inférieures préfèrent chasser
seules.
—Vous voulez dire
qu'il pourrait ne pas révéler mon existence aux autres Unseelie ?
Si c'était le cas, tout n'était pas perdu. Si je n'avais affaire
qu'à un Unseelie, je pouvais encore espérer m'en sortir. En revanche, si
c'était une meute de monstres sanguinaires
qui m'attendait, mieux valait renoncer tout de suite... Je frissonnai
d'effroi. Avec quel relief mon esprit enfiévré me représentait-il cette horde
de créatures tout droit sorties de l'enfer, courant à mes trousses dans le
Dublin nocturne ! Je mourrais d'une crise cardiaque avant qu'elles ne m'aient
rejointe !
— Tout comme les humains,
répondit-il, les faës sont divisés en de nombreuses factions ennemies, en particulier les Unseelie. Ils ont les uns
envers les autres autant de confiance que vous envers un lion affamé.
Ou un Jéricho Barrons, me dis-je un quart d'heure plus tard, lorsque Fiona m'escorta jusqu'à ma
chambre. J'avais l'impression que je m'apprêtais à passer la nuit dans
l'antre d'un fauve.
Toutefois, je m'efforçai de cacher mon manque d'enthousiasme.
Quitte à mourir, autant que ce soit chez Barrons - Bouquins & Bibelots plutôt
que seule dans une pension de famille où mon
corps ne serait pas retrouvé avant plusieurs jours, comme cela avait été
le cas d'Alina.
L'immeuble était plus profond que je ne l'avais cru en le voyant
depuis la rue. Sa partie arrière n'était pas destinée à un usage commercial,
puisqu'elle abritait la résidence du propriétaire.
Fiona me conduisit au fond de la librairie, jusqu'à une porte
qu'elle ouvrit d'un geste sec, puis je la suivis le long d'un petit couloir qui
donnait sur une autre porte, et nous
entrâmes dans les appartements privés de Jéricho Barrons.
Ah Jaja, quel régal! encore! tu nous combles...Barrons encore une fois dans toute sa splendeur : arrogant, cynique, maniant l'humour à froid, terriblement sexy et envoutant...et les photos correspondantes de DG,juste un grand MIAM
RépondreSupprimerJ'adore moi aussi tous ces extraits. Et pi ces répliques c'est juste lui. On ne s'en lasse pas.
SupprimerDu Barrons à l'état pur, un diamant brut...
SupprimerInterresqant Jaja, sur ce post sur toutes les photos DG est habillé, et en plsu la meuf elle est coupée MOUAHAHAHAHAHA!!!!!!
RépondreSupprimerSinon grace à Karin j'ai pu expérimenter la lecture d'un extrait avec en fond "Jericho Rain" et "Take Back the Night"...ce qui est très interressant vu que plusieurs fois dans la premiere bah on entend JERICHO!!!
Sinon j'adore cet extrait...et putain Fiona j'ai jamais pu la saké, depuis le tout debut, avant même qu'elle ne puisse eprouver une certaitn animosité à l'égard de Mac. Pour moi c'est simple elle a toujours été une peau de vache et rien de plus.
Ahhhh et les répliques de Barrons je les adore, ce mec à le sens de la répartie parfaite!! Est-ce possible d'être encore plus sous son charme qu'avant??
Sinon j'adore la photo avec dans le fond le bateau (bon j'avoue j'ai du prendre bien 20 min avant de remarqué qu'il y avait autre chose que DG sur la photo), ça fait très fond de bureau de directeur...si seulement il avait été mon directeur...avant je l'imaginais en prof mtn en directeur, apres ça sera quoi le mec qui me vend de la nouriture au lycée, ou bien le CPE??...j'ai l'impression que ce mec peut rendre n'importe quelle situation ou métier supportable pour le restant de nos jours.
et là photo de la librairie est juste magnifique
SupprimerBen vu l'extrait je ne pouvais le mettre à poil malheureusement j'ai envie de dire. Et pi je me suis dis cette fois je ne fais pas l'affront à léty de lui mettre une pétasse à coté. J'ai hésité et pi nan.
Supprimervive la coupure des pétasses en tous cas, on t'encourage vivement dans cette voie Jaja ç nickel....j'avais pas remarqué le bateau non plus sur la dite photo (ma préférée), faut dire aussi y avait de quoi occuper le regard...mais j'adore cette photo parce qu'elle me fait penser à la scène de Shadowfever, juste après la heu résurrection de Barrons, vous savez quand Mac a surpris sa conversation avec Ry-o et qu'ensuite elle tente de lui faire croire qu'elle est ok pour coucher avec lui, alors qu'en fait elle veut la voiture & la librairie...un échange torride, plein de sous entendus comme on les aime et où Barrons reste, on va dire, un peu frustré car sur sa faim....(j'irais bien le nourrir moi, ya pas idée...)
SupprimerMoi je suis prete à le nourir tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes!!! TOUT LE TEMPS!!!! je suis corps et âme dans la preservation de Jericho...pcq en même temps il n'en reste plus que 1 son espece est donc en voie d'extinction...enfin 8 pcq'il y a ses 8 hommes qui font parties de la même especes
SupprimerEt sinon merci de la petite intention pour couper la pétasse!! et en plus cette fois on est sur que lui ne voualit pas du contact et de l'autre coté du mur et la regarde même pas c'est elle qui voulait le toucher
Sinon, j'aime quand Barrons dit à Mac : on ne supporte pas l'idée de se séparer de son joli plumage, Melle Lane? ...ben ouaip, pcq on sait que dans Shadowfever,quand ils ont enfin assouvi leur désir l'un de l'autre, Barrons la rassure en lui précisant qu'elle a conservé son beau plumage justement....oh ç beau quand même...
RépondreSupprimerHahahaha!!! c'est vrai que la premiere fois que j'ai lu ce passage j'étais explosée de rire, et mtn encore je le suis!! J'adore ses phrases!!
SupprimerAhhhhhhhhhhh mais je vois pas les photos pourquoooooiiii???
RépondreSupprimerSinon j'adore cette scène bien que j'avais envie de le gifler quand il parlais à Fiona lol
Moi aussi coup de boule balayette à la Fiona
Supprimerc'est qu'une garce de toute façon, elle n'a eu que ce qu'elle méritait
Supprimerelle a trahi Barrons quand même! et ça c'est INADMISSIBLE!
SupprimerToute façon à part la meuf de Shrek, tu peux pas t'appeler Fiona sans avoir rien à cacher...et dans le mauvais sens du terme!
SupprimerElle a eu que ce qu'elle méritait cette grosse pute! Faire ça à MON...euh NOTRE BARRONS, elle aurait mérité de souffrir encore un peu!!!
Aaaaah que j'adore ces extraits!! =) on peut a chaque fois se replonger un petit moment dans cet univers et quel bonheur!! Merciiii Jaja!!
RépondreSupprimerPar contre, comme Sandy, j'arrive pas a voir les photos =( j'ai des gros "sens interdit" et des " /!\".. Je vais mourir si je peux plus me rincer l'oeil!! Haha
Normalement là tu devrais revoir les photos enfin j’espère.
SupprimerOui moi aussi j'adore ces extraits et dis toi que j'en ai encore pleins sous le slip
Putain les filles j'ai eu un gros bugg hier avec toutes les photos du blog mais moi sur ce billet je vois les photos. Pitain je suis dégoûtée, en vrai galère.
RépondreSupprimerpareil ç trop bizarre le sens interdit...rendez nous DG!!!!
RépondreSupprimerje sais bien qu'avec Barrons,on a le goût de l'interdit mais quand même, là, ça ne le fait pas...
par contre, moi j'ai eu aucune pitié pour Fiona, ç elle que j'avais envie de gifler, vu que dès le départ, je ne la sentais pas...bon, ok, on lui pardonne d'avoir voulu tout faire pour garder Barrons mais quand même...elle est définitivement passée du côté obscur, une vraie garce! ça serait intéressant quand même de savoir, un jour, comment Barrons & Fiona se sont rencontrés sinon...enfin, plus en détails je veux dire parce que je crois qu'à un moment Ry-o y fait juste allusion...
ô grande prêtresse Jaja, fais ta danse du téton, même avec ta culotte ragnagna parce que on veut les photos!!!!!! grrrr
ça y est je viens de la faire, j'ai fais 3 foisle tour de la table tétons au vent.
SupprimerALors verdict?
t'es la meilleure, ça a marché...tu recommences quand tu veux...
Supprimerouais mais là je fais gaffe j'ai failli me prendre les seins dans le tapis avec mes conneries.
Supprimermdr...en fait, faut savoir souffrir pour avoir Barrons...
SupprimerMoi je les trouvais mignon les petit /!\...ça faisait en mode ATTENTION TROP DE BEAUTE, TROP DE SENSUALITE, TROP DE MEC QUI PU LE CUL A 100KM IL FAUT PAS REGARDER SINON ON RISQUE UNE INONDATION!!!!
SupprimerBon c'est vrai que je prefere quand même voir Barrons et subir une innondation, mais ça rendait le tout un peu mysterieux!!
Et sinon Fiona pour moi à toujours été la grosse pute qui est là juste pour faire sa pute!
(tiens on va dire que toutes les putes qui font des photos avec DG represente Fiona, et donc on a encore plus de raison de leur en vouloir à mort)
trop mignon? HA NON je dirais enorme frustration.
SupprimerHAHAHA
ouai mais comme tout le monde le sait TROP= EXCES...même si des exces de Barrons j'en fais tous les jours à que ça ne me genera jamais
Supprimerah, ben voilà, elles sont revenues les photos, tu nous as fait méga peur là, j'ai eu des vapeurs....
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