Mon petit caribou des neiges,
Je préfère te prévenir que tu vas avoir droit à une exclusivité internationalement mondiale. Mieux que le salon de la rosette à Nogent le Retroux ou le concours de tee-shirt mouillé à Chillymazarin, le blog t'offre sa 1ere FanFiction sur le mâle suprême.
Alors tu es sur le cul?
Limite tu as le fessier en perdition. Je comprend mais bon ressaisis toi parce que c'est jamais bon de rester avec la miche molle trop longtemps.
Je tenais à remercier Erika pour son jolie cadeau. Alors toi aussi tapes dans tes mains, fais un tour sur toi-même et frétille du téton en son honneur.
(diling diling diling) oui ces temps ci je sais pas pourquoi j'ai le mamelon qui fait un bruit de clochette. C'est un peu galère pour moi par contre c'est ultra pratique pour mon homme, il sait toujours où je me trouve.
.................................................................................
Cette
fanfiction met en scène des personnages fictifs de l’univers de Karen Marie
MONING et notamment Jericho Z Barrons (saga Fièvre)
ainsi que Hawk (cycle des Highlanders)
en Écosse dans les années 1500.
Elle témoigne de la représentation
personnelle que je me fais de Jericho Z Barrons et de l’histoire qu’il aurait
pu vivre. Cette perspective s’éloigne de la création originale du personnage et
de l’univers.
J’espère qu’elle vous ravira autant que j’ai
eu plaisir à l’écrire.
Erika Cazaux
Jericho Z Barrons et l’Ondine sibylline
Extrait n°1
Highlands, Écosse, Lughnassadh, 1512
Son regard s’égarait dans
les abimes de cette majestueuse étendue d’eau. Les embruns ravissaient ses
poumons. La mélodie des vagues déferlantes se fracassant sur la roche
accompagnée d’une brise sifflante et les hululements de mouettes agitées, le
mettaient en alerte. Un goût de sel se déposait parfois délicatement sur ses lèvres
déjà humides et parfois plus sauvagement lorsque une bourrasque de gouttelettes
osait atteindre ce visage pourtant si menaçant. Il ne faisait qu’un avec cet
élément qui le fascinait depuis déjà ce qui lui semblait une éternité. Il paressait
faire l’amour à ce spectacle qui s’offrait à ses yeux luisants de colère et conjointement,
remplis de promesse de jouissance.
Par une fin
d’après-midi estivale, Jericho Z Barrons admirait les ondulations de cet océan animé
avec la même intensité qu’il contemplait les courbes d’une femme. Il épousait
du regard le moindre recoin secret du firmament d’un bleu indigo si profond qui
laissait présager d’une tempête sans précédent. Il caressait des yeux de la
même manière les lignes opulentes d’une gracieuse femme, lorsque malgré lui,
son dévolu avait été déchainé. Il ne pouvait alors être satisfait que lorsque
son désir était repu, ce qui augurait pour cette
victime des heures de plaisir, une extase inconnue et surtout
insoupçonnable jusqu’à alors.
Cet
homme, ce « mâle suprême » comme il était surnommé à la cour du Roi
James à Édimbourg rivalisait cordialement, dans les jeux licencieux, avec Sidheach
James Lyon Douglas, plus connu sous le nom de Hawk, ou encore rebaptisé « étalon
royal ». À eux deux, ils avaient fait des ravages sentimentaux. Ils
avaient comblé comme elles n’auraient jamais pu l’espérer être, d’innombrables
femmes de la contrée, autant qu’ils les avaient involontairement brisées. La
plupart n’était en effet plus en mesure d’envisager une union avec un autre
homme tant leur dernier amant, tel des Dieux incarnés dans des corps humains,
les avaient emportées dans les tréfonds d’une foule de sentiments du plus
coquin au plus tendre. Malheureusement pour elles, ces deux virtuoses du Sexe
n’étaient pas du genre à s’attacher trop longtemps et, sans prévenir, après des
nuits enflammées à faire rougir la plus délurée des femmes, ils les quittaient
sans raison, ni même une explication. Dans l’orée du jour, il prenait la route
sans même un regard en arrière. Il était trop tard quand ces pauvres donzelles
s’en apercevaient. Ces femmes qui avaient connu l’exaltation et la béatitude de
moments délicieux ne pouvaient que se terrer dans leurs souvenirs incandescents
et revivre mentalement leurs ébats érotiques afin de ne pas sombrer dans la
folie du manque. Il se disait que certaines en avaient perdu la raison. D’autres,
à défaut de ne pouvoir assouvir leur nouvel appétit sexuel, refusaient de se
sustenter. D’autres encore, multipliaient les amants, espérant secrètement deux
conséquences. La première, que l’homme qui les en avait réduit à un telle
débauche ait ouï dire de leurs frasques et que la jalousie le pousse à
rebrousser chemin. La seconde, encore plus désespérée, était l’expectative qu’un
jour elles retrouveraient la même vaillance sexuelle chez un partenaire. Toutes,
quelles qu’elles soient, étaient le plus souvent déçues et malgré les
stratagèmes les plus rusés dont elles faisaient preuve, rares étaient celles
qui parvenaient à se soustraire de cette empreinte enamourée du mâle suprême ou
de l’étalon royal laissée sur leur corps, leur cœur et leur âme. Marque
imprimée au fer rouge sous la forme étrange d’un Z pour les plus chanceuses…
Ces deux fougueux
s’étaient présomptueusement donné seulement deux règles de jeu, de manière à ne
pas achever ces femmes aussi veinardes qu’infortunées d’avoir été le fruit de
désirs coupables ou bien d’injonctions royales. Leur principe absolu les
empêchait de la courtiser une seconde fois, si bien entendu, la flatterie s’était
avérée nécessaire, pour l’affubler des caresses les plus intimes. Leur deuxième
convention, plus orgueilleuse encore, ne leur autorisait pas à séduire une
femme qui avait connu les étreintes endiablées de son frère d’honneur. Sous
couvert de souhaiter protéger la belle, une raison non dite et bien moins
noble, avait inévitablement germé dans l’esprit de chacun : ces femmes ne
devaient pas comparer leurs prouesses sexuelles ! Ces deux hommes à
l’instinct hors du commun savaient intuitivement lorsqu’ils s’approchaient
d’une femme intouchable. Or, quand la Vie décide de s’en mêler, les êtres
vivants ne peuvent que s’accommoder et s’approprier un destin inéluctable…
Barrons
venait de livrer une bataille opiniâtre et sanglante, mais comme à son
habitude, remportée. Très occasionnellement, lorsque Hawk, Lord de Dalkeith-Upon-the-Sea
ne pouvait mener son armée, Barrons acceptait de prendre le commandement de celle-ci
lorsque l’enjeu le rapprochait de l’ennemi qu’il souhaitait atteindre. Ce
bataillon avait une fois de plus repoussé les assauts de mercenaires du clan
McKane, qui depuis si longtemps se battait pour faire disparaître des êtres
légendaires que nul n’avait jamais rencontré : les Berserkers.
Barrons avait ramené
les hommes sur leur terre quelques heures plus tôt et avait pris le chemin du paysage
insolite qui le ressourçait toujours après un combat d’une telle envergure. Il
avait chevauché un long moment pour bénéficier de l’énergie qui se dégageait de
ce lieu si précieux pour lui.
Parvenu à destination, il offrit à son
fidèle compagnon de route le repos tant mérité.
Depuis que Hawk lui avait offert ce cheval
en guise de remerciement pour une faveur honorable rendue, Barrons s’était profondément
lié à ce destrier aussi olympien que lui. Il avait nommé ce pur-sang Asgard car
il avait le profil de la parfaite monture divine. Il était bien plus grand que
les équidés ordinaires, son pelage très brun, brillant et soyeux lui donnait un
éclat lumineux et sa corpulence racée, une allure conquérante. Tous deux avaient
formé un tandem équestre très rapidement devenu légendaire. Le cavalier était aussi
fier de son cheval que celui-ci loyal à son maître. Ils avaient une confiance
aveugle l’un en l’autre. Depuis qu’ils s’étaient mutuellement apprivoisés, ils avaient
ensemble mené de nombreux affrontements. Chaque lutte les rapprochait, un lien
animal les unissait.
Barrons se trouvait désormais
à des kilomètres de son village d’adoption actuel, Dalkeith, situé dans les
Highlands. Seul. Il était seul, car il avait ressenti le besoin vital de
respirer tranquillement et d’apaiser les tensions nées d’une lutte sans merci.
Il
surplombait l’océan du haut de la falaise. Il chérissait du regard cette
immensité qui se livrait à lui telle une femme s’offrant à sa couche. Nue, sans
aucun artifice, l’eau scintillait de mille feux sous un soleil régulièrement
dissimulé par des nuages de plus en plus obscurs. Une brume nébuleuse était en
train de naître. Barrons s’émerveillait de ce panorama. Son errance solitaire l’inclinait
à prétendre que la nature se dévoilait sous ses yeux dans le but de lui
proposer une représentation privée. Les attraits naturels de ce lieu édénique
lui procuraient un plaisir visuel similaire à celui qu’il ressentait lorsqu’il
s’apprêtait à conquérir le désir d’une femme.
Malgré la menace climatique
perçue de sa place privilégiée, juché sur la falaise, comme appelé par un chant
de sirènes, Barrons était descendu sur la plage. Lors de son excursion à
travers les landes qu’il écartait pour se frayer un chemin, une sommation
confuse le guidait vers la bordure océanique. Cela faisait des années qu’il ne
luttait plus contre ses impulsions à priori dénuées de sens. Elle se révélait
toujours justes, pas toujours heureuses, non certainement pas, mais elles
l’avaient toujours placé là où il devait être. Et à cet instant précis, c’était
ici, sur une plage totalement déserte. Qui aurait eu l’arrogance de défier ce
qui se préparait ? Hormis lui, personne ne s’aventurerait en des temps
pareils sur ce banc de sable.
L’orage était sur le
point d’éclater lorsqu’à une dizaine de mètres devant lui, interloqué, il vit sa silhouette. Le brouillard était à
présent si épais, que l’œil humain n’aurait pu distinguer une quelconque forme
à moins d’une petite cinquantaine de centimètres devant lui. Le regard
prédateur aiguisé de Barrons perçait le néant qui s’affairait autour de lui. Il
ne pouvait lâcher des yeux la femme qui se trouvait seulement vêtue d’une
tunique de couleur pourpre royal flottant sous les rafales cinglantes de vent, ce
qui laissait découvrir des pans nus de son corps. Une longue chevelure châtain
foncé, légèrement ondulée, fouettait durement le visage de cette apparition. Alors
qu’il se dirigeait vers elle avec une envie naissante évidente logée au creux
de son abdomen, il vit l’impensable !
Cette naïade, les yeux
rivés vers l’océan, se mit en marche vers une indéniable catastrophe. L’homme ne
put réprimer un cri d’horreur, lâcha un juron : « Enfer !!! »
et s’époumona : « MAIS QUE FAÎTES-VOUS, LASS ? ».
En principe le timbre de voix à la fois
si viril et si inquiétant de Barrons s’accompagnait d’un intérêt transit et
interrogatif chez les personnes qu’il hélait. Or, celle-ci ne daigna détourner
les yeux de son obsession. Pourtant, l’air salin déjà saturé de dangerosité,
venait de prendre une toute autre nature. Quand Barrons était dans les parages,
l’air devenait suffoquant, vous manquiez d’air, il demeurait difficile de
respirer et combien l’homme adorait contempler son œuvre ! En effet, une
poitrine qui se soulevait si abondamment pour tenter d’inhaler l’air qui lui
faisait défaut, achevait d’alimenter les fantasmes nourris à l’égard de sa
prochaine proie. Cet homme habitué à produire une réaction sensuelle chez les
femmes, vexé, admis l’ignorance de celle qui l’avait anormalement excité
considérant les conditions météorologiques. Cette intempérie ne lui avait effectivement
autorisé qu’une sommaire estimation de la beauté de cette inconsciente.
Il avait interrompu sa progression
pour tenter de comprendre ce qui se tramait sous ses yeux. Cependant, observant
la démarche déterminée de cette femme, il ne perdit plus une seconde supplémentaire,
reprit sa marche et se remit à la hucher. Il était hors de question de
concurrencer l’océan, il avait beau être fort, nul n’est tenu à l’impossible. Exceptionnelles
sont les situations qui freinent l’évolution de Barrons, or une mer ébranlée l’importune.
Cet homme est autant attiré par l’océan qu’il en esquive les abords. Il s’est
toujours senti exclu de la magnificence ressentie lors d’un bain revigorant
dans les tumultes des vagues. À ce jour, il ignore toujours les raisons qui
exhortent l’océan à le rejeter lui ! Lui, qui est pourtant si magnanime et
exerce un pouvoir envoutant sur les femmes qu’il rencontre. D’où peut bien provenir l’amertume que me
manifeste si vigoureusement cet élément ?
Il n’avait toutefois pas le loisir de se
complaire dans cette réflexion, le fruit de son récent désir allait lui être
arraché s’il ne réussissait pas à détourner cette femme obstinée de son
intention de s’offrir à son adversaire. Il était inconcevable pour Jericho Z Barrons
que son objet d’amour ne s’abandonne dans le lit d’un autre. D’autant plus que
ce lit était précisément le dernier lieu auquel elle se livrerait
vivante ! Constatant avec regret et rage que cette folle poursuivait son
chemin, impétueusement il accéléra son rythme. S’il avait été humain on aurait
dit de lui que c’était un sprinter de classe mondiale, or, connaissant Jericho Z
Barrons, il est bien des choses, mais certainement pas un être humain
ordinaire !
Il s’élança si rapidement, qu’en
quelques foulées, il rejoignit la femme obnubilée par sa vision. Il attrapa alors
violemment celle-ci par le bras. Cette dernière ne souffla mot et, sans même un
soupir, ni le moindre mouvement corporel, elle continua de couver des yeux ce
qui se présentait à elle une dizaine de mètres plus loin. L’écume des vagues
venait lécher les pieds nus et délicats de cette ondine. Barrons, inconfortable
à l’idée de mouiller ses brodequins noirs d’une eau sacrée qui le méprisait,
sembla, une fois n’est pas coutume, désarçonné par l’énergie dégagée par cette
femme. Il reprit rapidement contenance lorsqu’il ressentit dans sa chair la
puissance d’une prochaine vague qui recouvrirait probablement une bonne partie
de la plage. Son instinct animal le sommait de fuir tantôt. La femme n’avait
pas bougé d’un iota. Ses yeux semblaient possédés par ce frénétique spectacle,
tout son corps, même son âme, étaient tournés vers l’immensité comme une
offrande. Elle n’avait même pas remarqué la présence d’un pair à ses côtés.
Lorsque Barrons lui avait saisi le bras, elle avait interrompu son pas décidé
et depuis, était restée immobile, totalement captive des mouvements
effervescents de l’eau, ensorcelée par cette troublante mouvance. A-t-elle, contrairement à moi, un lien
aquatique si particulier ? Est-elle une sirène qui s’apprête à regagner
son milieu naturel ? S’interrogea Barrons. En tout cas, une force qui
le dépassait, intervenait en ce moment même car la manière dont il lui serrait
l’avant-bras aurait dû lui arracher un cri de souffrance. Il était certain que
la trace de son emprise s’imprimerait sur cette frêle créature pour quelques
jours si, bien évidemment, celle-ci était humaine… Mais la question
existentielle de l’humanité était bien une énigme à laquelle il s’était
interdit de méditer depuis qu’il avait découvert que le monde était loin de se
réduire aux croyances du commun des mortels.
Il se mit à hurler de
fureur, un son animal sortit du tréfonds de sa gorge, c’était trop ! Cette
océanide devait recouvrer la raison et tout de suite !!!
Le feulement de cet homme qui commençait
à perdre son calme n’affecta aucunement la belle. Elle ne percevait rien
d’autre que le mirage d’une étendue d’eau qui l’invitait à se donner toute
entière. Barrons pouvait vociférer à souhait, cette femme n’entendait pas un
mot, elle ne voyait même pas qu’un homme immense au physique digne des plus bravades
combattants se tenait près d’elle et tentait d’entrer en contact avec elle. La
fameuse vague dévastatrice était sur le point de se former, Barrons n’avait
plus le temps de s’évertuer à la ramener à elle. Il lâcha le bras de la femme
possédée qui demeura parfaitement impassible, l’encercla sauvagement par sa
taille menue mais musclée et la jeta sans ménagement sur sa propre épaule.
Comme arrachée d’un douillet cocon contre sa volonté, la femme se mit à
tonitruer dans un langage incompréhensible pour l’homme. Elle martelait son dos
de coups de poing tout aussi doux que des caresses pour Barrons. Elle tentait
si fort de mouvoir ses jambes, qu’il fût contraint de resserrer l’étreinte des
jambes sculptées de cette femme contre son torse.
Barrons se hâtait vers
un endroit à l’abri de cette tornade qui agitait tant l’océan. Tout le temps de
la course, la femme l’enjoignait de la relâcher. Après ces jappements qui
avaient troublés Barrons, l’injonction de la reposer à terre était devenue bien
plus claire et plus autoritaire. L’association du toucher délicat des mains de
cette folle sur son dos, de l’exhibition des mollets et du début de ses cuisses
nus ainsi que des sons bestiaux qu’elle avait émis, avait suffi à réveiller le
désir que cette mystérieuse femme avait fait naître en lui quelques instants
plus tôt. Autant lui était excité par la scène qu’il était en train de vivre,
autant elle, enrageait de plus en plus. Ce qui encouragea d’ailleurs Barrons à
exhorter lui-même un grognement des plus sourds. Il devait radicalement avilir ce
besoin primaire qui était en train de le consumer si violemment qu’il aurait
éprouvé de considérables difficultés à se maîtriser une fois exempt de tout
danger ! La jeune femme interrompit instantanément ses cris et Barrons
sentit sous ses doigts fermement refermés contre les jambes de celle-ci, que le
corps de sa victime se raidissait. Elle avait simultanément cessé de lui
asséner des coups. Déjà qu’elle ne pesait pas bien lourd, alors désormais
qu’elle ne se débattait plus, il courait si aisément que l’on aurait pu penser
qu’il foulait à peine des pieds le sol. Le silence de sa rescapée lui fit
soudain redouter le moment où il la descendrait de son épaule.
***
Alors?
Tu es devant ton écran et tu as envie d'en savoir plus?
Ben je te comprends surtout que moi je connais la suite.
HAHAHA (rire gras qui te hérisse tes poils de bras).
Oh la la Erika, tu nous gâtes dis donc et puis t'es vachement inspirée (en même temps, Barrons est une source d'inspiration inépuisable), tu as su trouver les mots, chapeau bas...vite la suite, ne nous fais pas trop languir.
RépondreSupprimerMerci Karin, j'espère que la suite te plaira aussi. Elle ne devrait pas trop tarder...
SupprimerGros bisous
VOilà un texte digne de KMM ... mais on veut la suite !!!
RépondreSupprimerIl y a toutefois un mais (tout petit et qui est plsu une interrogation) "Ce qui encouragea d’ailleurs que veux-tu dire dans cette phrase Barrons à exhorter lui-même un grognement des plus sourds." : pour moi le verbe exhorter n'est pas à sa place ... mais je chipote (c'est une manie)
A part ça BRAVO !
Waouh, c'est très gentil ça ! Je nourris l'espoir fou d'un jour parvenir à son niveau, la route est bien longue encore, mais j'y mets tout mon coeur et je m'éclate. Alors, si en plus quelques lecteurs apprécient mes modestes écrits, je serai très très heureuse. Mais en attendant, merci Mypianocanta et oui tu as raison pour le terme "exhorter" parfois quand je m'emballe (et avec Barrons, ça risque de survenir plus d'une fois !), il m'arrive d'employer un mot à la place d'un autre, le verbe "expulser" aurait été plus juste !
SupprimerBref, merci encore !
Gros bisous
Oui félicitations Erika! C'est vraiment prenant! Tu as beaucoup de talent. Tu nous gâtes d'un luxe de détails. Je trouve ton récit formidable. Karin a raison: ne nous fais pas trop languir avant de nous livrer la suite de cette histoire! Le début est si prometteur que j'ai hâtes de lire la suite! Alors à très bientôt j'espère! Bisous mes chouquettes!
RépondreSupprimerMerci à toi aussi Nelly, c'est très gentil. Tes compliments me font très plaisir et m'encouragent à poursuivre. Promis, la suite ne se fera pas trop attendre !!!
SupprimerGros bisous
Très bien écrit vraiment chapeau !! On veut la suite !!! =D
RépondreSupprimerYasmine, merci beaucoup ! Je suis très touchée.
SupprimerA très vite pour la suite.
Gros bisous
Un grand MERCI à Jaja, sans toi je n'aurais certainement pas osé !!! Merci aussi pour ton temps, ta disponibilité, ta gentillesse et ta déconnade. C'est une très jolie aventure et je suis ravie les BAA (et les futures victimes de Barronite aiguë) de la partager avec vous.
RépondreSupprimerAlors une immense ola pour Jaja, les BAA et tout le monde !!!
Gros bisous
Ouaip 1 immense ola pour tout ce que fait Jaja (deja rien que le fait d'avoir cree ce formidable blog pour que l'on puisse assouvir nos fantasmes les plus fous concernant JZB) & 1 immense bravo encore 1 fois a toi Erika, continue a nous faire rever aussi, becos tout plein les cheries.
RépondreSupprimerOui plein de OLA pour Jacinthe et encore merci à toi !
SupprimerBiz
Mais de rien les filles..... Allez pleins de kiss chantilly in your face.
RépondreSupprimerQue la force des BAA demeure.
Erika, que dire sans répéter ce que les filles ont déjà dit?! Bon on s'en fout je répète quand même!! =p
RépondreSupprimerC'est juste waouh!! Tu as une de ses aisance, tu écris vraiment bien, les détails sont tellement précis, l'ambiance, le décors tellement bien plantés que waouh je m'y suis cru!! Et franchement ce début de texte est digne d'un roman! Juste génial! J'adore et j'ai hâte de lire la suite! =D
Bref, comme beaucoup chapeau!! =p
Jaja: je me joins aux autres pour te faire une "Ola" parce que oui sans toi et ton idée de génie il n'y aurait pas de coin-refuge pour les BAA, pas de coin-thérapie, pas de news en-veux-tu-en-voilà, pas d'occasion de découvrir la créativité des BAA, et j'en passe! Bref, que du bonheur!! On te le dira jamais assez: MERCIII =D
Bisous bisous
Léa, je suis très touchée par ton commentaire, merci beaucoup. Comme beaucoup d'autres, il m'encourage vivement à poursuivre !
SupprimerLa suite devrait arriver très vite.
Gros bisous
Bon j'ai enfin pu lire tranquillement ta Fan fic Erika ;) Tu as beaucoup de talent et tu supplantes très bien les décors!!!
RépondreSupprimerJ'ai parfois trouvé cela un peu long, mais ce n'est pas contre toi, KMM aussi traîne en longueur parfois et c'est notre impatience qui parle lol. J'ai été déstabilisée aussi de cette 3ème personne, KMM parle au travers de ses personnages et le temps d'adaptation est plus difficile pour moi qui sort à peine des Highlanders lol.
Mais bon Chapeau bas quand même, je te le redis tu as beaucoup de talent, vivement la suite ;)
Ah et Jaja, hum une chantilly partie?? purée c'est pas dans la face que j'ai envie de lui mettre la chantilly à lui hihihi mais bon je m'égare merci ma toulette pour ta bonne humeur et ton humour décalé qui pourrait déridé un mort :D
SupprimerUn peu de chantilly et je deviens le maillon faible.... alors sur lui et je ne réponds plus de rien
SupprimerMerci beaucoup Sandy pour ton commentaire avisé.
SupprimerOui je suis tout à fait d'accord avec toi il y a quelques longueurs, mais disons que pour planter le décor, je souhaitais décrire certaines choses qui seront reprises plus tard. Et comme la fanfiction devrait au total faire plus d'une trentaine de pages si je fais la sadique et que je l'arrête ou je l'ai peut-être prévu, ou beaucoup plus si j'essaie d'exploiter une autre tournure, il m'était nécessaire de décrire certains aspects que l'on retrouvera plus tard.
Pour ce qui est de la 3° personne, c'est mon éternel débat. Mais pour l'instant j'ai opté pour ce point de vue afin de me laisser la liberté d'entrer aussi dans la tête des autres personnages car j'apprécie particulièrement de développer la psychologie des personnes que j'estime interpelantes. Mais promis, je vais essayer que nous soyons encore plus immergées dans la tête de Barrons. Toutefois, comme on le disait avec Jaja, on redoute ce que l'on va y trouver..., alors j'y vais en douceur ;-) !!!
Gros bisous
Merci de tes explications :D Ouai tu as trouvé le bon mot tu es sadique lol
SupprimerWhoauhhhh ERIKA j'ai adoré...malheuresement j'ai trouvé 3 défauts (dont 2 qui vont ensemble):
RépondreSupprimer1-juste le petit truc qui m'a gene c'est le Jericho Z Barrons, pcq je me rappel que dans la saga fievre Ryoo critiquait le fait que mtn il s'appelle Jericho ou bien Barrons je sais plus lequel des deux il critiquait
2-je te mets les deux critiques qui vont ensemble mtn: bah c'est tellement bon que je trouve ça vraiment salaup de couper mtn...MAIS MERDE JE VEUX SAVOIR LA SUITE MOI!!!! et en plus la sale pute de JAJA (tqt pas Jaja je rejoins aussi la Ola en ton honneur) qui nous sors un "eh bah moi je l'ai lu" mais moi aussi je veux la suite...POURQUOI MONDE CRUEL T'ACHARNES-TU SUR DE PAUVRE AME EN MANQUE DE JZB????? POURQUOI???????
nan mais sinon j'ai adoré (et dsl pour la p'tite critique sur le nom de JZB)
Au fait tu peux te feliciter tu me donnes encore plus envie de decouvrir Hawk mtn
Et oui ma Léty là j'avoues j'ai joué ma grosse tepu.... et c'est si bon
SupprimerMdr Lety et merci pour tes compliments. Et si le "monde cruel" s'acharne c'est parce que c'est si bon de se faire désirer aussi !!! Et Jaja sait relancer l'intérêt !
SupprimerEt puis c'est elle qui est harcelée d'e-mails avec mes questions incessantes, c'est aussi elle qui avec sa gentillesse et disponibilité légendaires m'accompagne dans cette aventure, donc elle est en quelque sorte "obligée" de lire la suite. Et parfois, je me dis quand même que je n'arrête pas de l'embêter. Et pourtant, elle est toujours aussi enjouée, disponible, génereuse, et drôle ! C'est un régal ce Travail d'équipe, d'autant que d'autres nous ont aussi rejointes...
Promis Lety, la suite arrive très vite !
Pour ce qui est d'écrire "Jericho Z Barrons" certaines fois et la plupart du temps Barrons, c'était pour suivre ce qu'a fait me semble-t-il, l'auteure. C'est-à-dire que pour conserver une certaine distance, il est le plus souvent appelé Barrons. Jericho je le réserve pour les moments plus intimes, quant à son nom en entier c'est pour insister dans quelques situations.
Gros bisous
merci pour l'explication Erika
Supprimereh bon je te comprends un peu Jaja joué sa pute ça fait du bien...mais quand on parle de BARROOOOOOOONNNNNNNS!!!!!!!
et sinon c'est quand qu'on a la suite?
bon je vais faire court : super fanfiction qui aide à faire passer le manque de JZB... enfin pas tout à fait parce que moi aussi j'ai envie de connaître la suite !
RépondreSupprimerbravo Erika et bon courage pour la suite ^^
;-)
Merci beaucoup Christine autant pour ton compliment que tes encouragements !!!
SupprimerGros bisous
Un IMMENSE MERCI à vous toutes les filles. Vous ne pouvez pas savoir combien je suis heureuse et ravie de vos remarques. Quelle belle aventure !!!
RépondreSupprimerJe prends note pour la suite de tous vos conseils, merci !
Je vous embrasse chères BAA ;-) !!!
Bravo Erika!!!
RépondreSupprimerj'ai enfin trouvé le temps pour venir lire ta fanfiction et je ne le regrette pas!!!!
je suis contente de retrouver un peu de Hawk, un peu de Berserker et surtout beaucoup de Jerichoooooooo !!!!!!!! LOL!!!!
merci Jaja, moi j'adore qd tu nous tortures comme ça, je vais aller lire la suite du coup
bizzzzzz les filles!!!!!
Merci ma Belle Nini, ton petit mot me touche beaucoup, je suis ravie que l'extrait te plaise ! J'espère qu'il en sera de même pour la suite !!!
SupprimerJe t'embrasse.
Ahhhh j'adore Erika! Tu es super talentueuse! J'ai enfin pris le temps de lire ta fanfic et je ne regrette absolument pas!
RépondreSupprimerJ'adore tes descriptions, surtout quand tu fais des métaphores pour comparer la mer et la femme!
Et puis la manière dont tu parles de Barrons ... ahh!
je cours lire la suite ;)
Un JZB séducteur et fidèle à lui-même ? Que demander de plus ! Merci, Ô grande prêtresse Erika.
RépondreSupprimerUne minute de silence pour ma petite culotte...
Tu écris vraiment très bien . Enfin Wow quoi ! Je suis impatiente de connaitre la suite.
C'est la première fois que je lis une fanfiction sur l'univers de KMM et je ne suis pas déçue.
Un grand merci pour cette petite merveille. Bises
Sindy, un grand MERCI à toi, ça fait très plaisir de lire des commentaires aussi encourageants !!!
SupprimerSi tu souhaites la lire en entier, elle se trouve sur calaméo à cette adresse : http://fr.calameo.com/books/001789433362595cff5a6.
Je te souhaite une bonne découverte et n'hésite pas à me dire ce que tu en penses.
Plein de bisous :)
PS : j'ai oublié de préciser que tu peux aussi la lire dans son intégralité sur le super blog de notre Jaja !!!
SupprimerC'est comme ça t'arrange.
;-)