Salut à toi mon canard à l'orange,
Alors bon à moins que tu sois restée terrer au fin fond d'une cuve à vin depuis lundi ou que tu ais été enlevée par Nikos Aliagas pour t'apprendre le Sirtaki tu dois être au courant de la FANFICTION que nous écrit Erika.
D'ailleurs si mes souvenirs sont bons, je t'ai un peu laissé lundi le cul tendu et la langue pendante après cet extrait. Tu as réclamé une suite et comme avec Erika nous ne sommes que générosité et amour on a pas voulu te faire patienter trop longtemps.
Voilà roules toi en boule dans ce nouvel extrait. C'est doux comme du pilou.
...........................................................................
Si tu as envie de te rafraîchir la mémoire c'est par ici. Profites en aussi pour te rafraîchir sous les bras je crois que ton déo t'a lâché le maraud.
Si tu as envie de te rafraîchir la mémoire c'est par ici. Profites en aussi pour te rafraîchir sous les bras je crois que ton déo t'a lâché le maraud.
Un énorme YMCA à CERES pour ce magnifique montage qui te donne
envie d'imiter le cri du phoque tellement c'est beau!!!
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Jericho Z Barrons et
l’Ondine sibylline
Extrait n°2
Barrons
avait rapidement réussi à rejoindre une des cavernes suffisamment hautes logée
dans la roche de la falaise afin de se protéger de la tempête qui ravageait en
cet instant même les alentours océaniques. Bien que rencognés dans les
entrailles du promontoire, ils étaient hors de danger tant qu’ils demeureraient
confinés dans cette grotte. En aucun cas ils ne devaient s’aventurer à
l’extérieur de cette concavité, même si la tension libidinale devenait de plus
en plus insupportable. Barrons ne doutait pas un seul instant qu’Asgard, lui
aussi avait trouvé un abri pour déjouer l’orage qui s’abattait sur les hauteurs
de cette région.
Cette excavation était profonde mais
étroite. Plus on s’enfonçait dans l’embouchure principale, plus l’opacité
régnait. Sur le sol, jonchaient les restes de brindilles ayant embrasés un
récent feu. Ces cavités n’étaient pourtant que rarement visitées. Seuls les
plus avertis, comme Barrons, séjournaient sur ses sites. Nonobstant, ils
révélaient un décor des plus enchanteurs et engageants.
Dans l’intention de ne
laisser paraître aucun trouble et par la même occasion, faire valoir son
hégémonie, Barrons déposa brutalement la donzelle à terre. Toutefois, il
s’était au préalable assuré qu’elle tomberait sur la matière la plus à même
d’amortir sa chute. Comme elle ne souhaitait pas montrer sa faiblesse, la femme
étouffa un cri de douleur, elle non plus ne voulait témoigner à cet homme
insolent aux méthodes barbares aucun sentiment. Elle conserva la tête baissée
ce qui parut une éternité à Barrons si bien qu’il décida de mettre de la
distance entre lui et cette créature qui n’avait pas songé à remettre en place
sa tunique et dévoilait alors bien trop de peau dénudée à des yeux qui ne
pouvaient en soutenir davantage. Son corps était à cet instant traversé d’une
passion dévorante, il n’avait qu’une idée en tête : la posséder !
La tempête était à son
comble. De la place où Barrons se tenait, il était témoin d’un spectacle naturel
extraordinaire. Cependant, bien qu’il fut d’une beauté époustouflante, celui-ci
les assujettissait à son plein déploiement jusqu’à ce que le retour au calme
n’advienne.
Barrons s’était posté au seuil de la
caverne et contemplait, songeur, les giboulées qui venaient s’écraser sur la
falaise, le vent soufflait bruyamment et si fort que les vagues semblaient se
déchaîner et danser dans un rythme effréné. Le ciel s’enténébrait rapidement.
Bientôt, même lui ne pourrait plus observer le déferlement naturel.
Malgré son éloignement
de la jeune femme, l’ouïe dont il jouissait lui permettait d’entendre dans un
murmure à peine articulé le pronom interrogatif « Pourquoi ? »
répété inlassablement. Il avait la sensation qu’elle était dans un état second
et il n’était pas en mesure de tolérer les jacassements d’une femme insensée et
perturbée. Il ne s’essayait même pas à rechercher la signification d’une telle
demande, il était lui-même en proie à ses propres démons qui l’assaillaient à
ce moment précis. Il était donc déjà suffisamment préoccupé à dompter ses
besoins qui le fustigeaient de toute part. Se tenir si prêt d’une jeune femme
qui éveillait en lui à ce point son instinct animal n’était de bonne augure ni
pour lui, ni pour elle. Il allait devoir mener une lutte infernale et acharnée
pour ne pas lui sauter dessus ni la violenter comme ses pulsions lui
ordonnaient de faire. Combien il était difficile pour Barrons de réprimer ses
envies bestiales, les mêmes qui faisaient de lui un amant prodige ! Et
pourtant, son animalité allait devoir disparaître car ils étaient acculés dans
cet espace exigu pour quelques heures encore. Il l’avait escorté jusqu’à cette
grotte reculée, ne pouvant espérer regagner les hauteurs de la falaise. La
tornade les aurait empêchés de trouver un refuge moins étroit suffisamment
vite. Il avait dû se résoudre à s’attarder pour les heures à venir dans cet
emplacement qui lui laisserait peu le loisir d’exprimer la bestialité qui
incendiait son corps depuis bien trop longtemps maintenant.
Pendant que Barrons
s’efforçait d’étouffer ses ardeurs amplifiées par le temps survolté et
l’étroitesse du lieu, la jeune femme, quant à elle, épouvantée, contrite et
désabusée, retrouvait sa vigueur…
Tandis qu’il tentait
toujours de refouler dans un endroit de son corps qu’il connaissait à la
perfection ce désir insolite, pour devoir y reléguer régulièrement des désirs
inassouvis, le son mélodieux de la voix de la jeune femme le fit tressaillir.
Lui qui, habituellement n’était jamais pris au dépourvu, toujours prêt à affronter n’importe quelle situation, toutes les plus invraisemblables les unes que les autres, s’était laissé piégé par le ton désinvolte de la femme qu’il avait certainement sauvé d’une mort atroce.
Il ne se retourna pas lorsqu’elle lui demanda d’une voix douce, sensuelle et chantante : « Mais qui êtes-vous ? ».
De longues minutes passèrent avant que la femme ne se lève, rejoigne Barrons et pose sa main délicatement sur le flanc de celui-ci. Cette fois-ci, il avait senti venir l’offensive de cette étrange femme et resta totalement stoïque à la chaleur que diffusa ce contact innocent. Il se recula subrepticement et fit face à la jeune femme. Il s’écoula près d’un siècle avant que l’un d’eux n’émette un son. Ils commencèrent par se défier du regard, tandis que les prunelles de l’homme sauvage d’un noir de jais étaient assassines, les yeux bleu azur de la jeune femme encore échevelée du mauvais traitement de son sauveteur, lançaient quant à eux des étincelles. D’ailleurs à l’instant où chacun riva ses yeux sur l’autre, un éclair zébra le ciel et l’éclaira d’une lumière iridescente. Alors, la foudre qui tomba très proche d’eux, suivit. Mais, aucun ne sursauta, ni ne détourna le regard de celui de l’autre. Ils n’avaient même pas entendu le fracassement qui s’était produit non loin d’eux. En cet instant, la terre s’était arrêtée de tourner, plus rien n’existait sinon l’animosité d’une farouche défiance entre une femme et un homme acariâtres. Même la condescendance ostentatoirement affichée sur leur visage respectif n’atténuait l’élégance de chacun. Ils n’en demeuraient pas moins scandaleusement beaux. Les traits fins et ciselés du délicieux minois de la jeune femme contrastaient avec les lignes plus anguleuses et affirmées de la face de l’homme. La mâchoire de celui-ci semblait avoir été dessinée d’un fin pinceau tellement elle était merveilleusement taillée.
Lui qui, habituellement n’était jamais pris au dépourvu, toujours prêt à affronter n’importe quelle situation, toutes les plus invraisemblables les unes que les autres, s’était laissé piégé par le ton désinvolte de la femme qu’il avait certainement sauvé d’une mort atroce.
Il ne se retourna pas lorsqu’elle lui demanda d’une voix douce, sensuelle et chantante : « Mais qui êtes-vous ? ».
De longues minutes passèrent avant que la femme ne se lève, rejoigne Barrons et pose sa main délicatement sur le flanc de celui-ci. Cette fois-ci, il avait senti venir l’offensive de cette étrange femme et resta totalement stoïque à la chaleur que diffusa ce contact innocent. Il se recula subrepticement et fit face à la jeune femme. Il s’écoula près d’un siècle avant que l’un d’eux n’émette un son. Ils commencèrent par se défier du regard, tandis que les prunelles de l’homme sauvage d’un noir de jais étaient assassines, les yeux bleu azur de la jeune femme encore échevelée du mauvais traitement de son sauveteur, lançaient quant à eux des étincelles. D’ailleurs à l’instant où chacun riva ses yeux sur l’autre, un éclair zébra le ciel et l’éclaira d’une lumière iridescente. Alors, la foudre qui tomba très proche d’eux, suivit. Mais, aucun ne sursauta, ni ne détourna le regard de celui de l’autre. Ils n’avaient même pas entendu le fracassement qui s’était produit non loin d’eux. En cet instant, la terre s’était arrêtée de tourner, plus rien n’existait sinon l’animosité d’une farouche défiance entre une femme et un homme acariâtres. Même la condescendance ostentatoirement affichée sur leur visage respectif n’atténuait l’élégance de chacun. Ils n’en demeuraient pas moins scandaleusement beaux. Les traits fins et ciselés du délicieux minois de la jeune femme contrastaient avec les lignes plus anguleuses et affirmées de la face de l’homme. La mâchoire de celui-ci semblait avoir été dessinée d’un fin pinceau tellement elle était merveilleusement taillée.
Et l’un et l’autre
s’observaient, se découvraient le plus naturellement possible. Il s’écoula un
long moment avant que le regard de chacun ne s’adoucisse et ne se détende.
Toutefois, Barrons finit par se perdre
dans les prunelles bleutées de la jeune femme frappée de la grâce de Freyja[1] à
sa naissance. Cette dernière, quant à elle, ne pouvait s’astreindre à
soustraire ses pupilles de l’incandescence qui flamboyait dans les iris de cet
homme chaud comme la braise.
L’orage avait cédé la
place à une pluie tonitruante qui s’écrasait contre le toit en roche qui leur
servait d’abri. L’air était lourd et pesant, non pas tant à cause de la tempête
qui s’était abattue sur la région, mais plutôt de l’électricité qui émanait de
ces regards échangés. Aucun ne semblait disposé à prendre la parole le premier.
Tous deux faisaient preuve d’une telle fatuité que cela commençait à en devenir
ridicule. Au même instant, ils ouvrirent la bouche sans même se lâcher des
yeux, l’un pour brailler : « ENFER !!! » et l’autre pour
seulement demander d’une voix claire et ferme :
« Pourquoi ??? ». Chacun interrompit sa phrase, enfin il serait
plus exact d’écrire : chacun n’énonça qu’un modeste mot.
Ils se replongèrent dans une
contemplation plus interrogative cette fois-ci comme si chacun tentait de
percer à nu l’autre. Barrons vrilla le premier son regard afin de le laisser
parcourir et dessiner les formes plutôt pulpeuses et mouillées de la jeune
femme. Il était plus facile pour lui de se faire passer pour un homme viril qui
appréciait la volupté des femmes plutôt que de laisser transparaitre la moindre
émotion. Aucune femme, en de si nombreuses années, nombreuses décennies, ou
plus exactement nombreux siècles n’avait pu atteindre l’âme de cet homme
mystérieux, ce n’était pas une folle suicidaire qui s’y rendrait sans même la
promesse d’une étreinte échangée. La jeune femme fût très surprise d’une telle
attitude primaire de l’homme qui venait de la préserver de…, oui de quoi ? Songea-t-elle. Mais que faisais-je au bord de l’eau alors
qu’une tempête imminente menaçait d’éclater ?
L’homme, quant à lui,
poursuivait le voyage visuel du corps très peu vêtu de la damoiselle et sur
lequel ruisselait encore de fines gouttelettes de pluie reçues lors de son
périple vers ce liquide matriciel qui l’avait enjointe de s’approcher. Ce
tissus déjà très fin à l’origine et maintenant humide, mettait effrontément en
valeur ses formes plantureuses et notamment laissait deviner, l’aréole de ses
seins. Ses tétons, qui, lorsqu’elle prit conscience du désir qui brûlait dans
le regard de l’homme, se durcirent sous les effets d’émotions consécutives
antagonistes. Tout d’abord, elle avait ressenti l’indignation d’un tel affront,
puis le plaisir de provoquer une ardeur immodérée chez cet homme qui est beau à se damner, venait-elle de
s’avouer à demi-mot dans son esprit embrumé par la chaleur torride qui régnait
soudainement dans l’atmosphère. Ensuite, elle éprouva de la colère de
s’enticher ainsi d’un inconnu aux manières rustres. Sentiment qui fut aussitôt
balayé par son propre désir de dévêtir l’homme afin de contempler ce corps qui
semblait si parfaitement sculpté à la serpe.
Il portait à la perfection un tartan de couleurs chaleureuses, dont le haut laissait entrapercevoir des pectoraux protubérants et des abdominaux façonnés tels des sillages aussi vallonnés que les plaines de la région. Les divers muscles puissamment développés de ses bras étaient, quant à eux, sanglés par un vêtement bien trop étriqué pour un homme de cette carrure. Seul ornement qu’elle ne lui aurait pas ôté était le lacet rouge qui barrait son front et retenait une toison soyeuse d’un noir corbeau qui cascadait sur ses épaules.
Après un scrupuleux examen anatomique de son bourreau, son mental réussit tout de même à reprendre le dessus un bref instant pour lui intimer de cacher sous ses propres mains finement ridicules sa poitrine bien trop aguicheuse. Elle susurra alors tendancieusement : « Messire, enfin !!! » tout en essayant d’observer un regard désapprobateur. Immédiatement après sa réplique peu convaincante, une question des plus coquines s’imposa à son esprit : son membre seulement caché par ce ridicule bout de tissu, était-il taillé proportionnellement à son corps ?
Il portait à la perfection un tartan de couleurs chaleureuses, dont le haut laissait entrapercevoir des pectoraux protubérants et des abdominaux façonnés tels des sillages aussi vallonnés que les plaines de la région. Les divers muscles puissamment développés de ses bras étaient, quant à eux, sanglés par un vêtement bien trop étriqué pour un homme de cette carrure. Seul ornement qu’elle ne lui aurait pas ôté était le lacet rouge qui barrait son front et retenait une toison soyeuse d’un noir corbeau qui cascadait sur ses épaules.
Après un scrupuleux examen anatomique de son bourreau, son mental réussit tout de même à reprendre le dessus un bref instant pour lui intimer de cacher sous ses propres mains finement ridicules sa poitrine bien trop aguicheuse. Elle susurra alors tendancieusement : « Messire, enfin !!! » tout en essayant d’observer un regard désapprobateur. Immédiatement après sa réplique peu convaincante, une question des plus coquines s’imposa à son esprit : son membre seulement caché par ce ridicule bout de tissu, était-il taillé proportionnellement à son corps ?
Elle n’eut le temps de chasser de son
esprit l’objet de sa convoitise naissante, qu’avec force elle fut projetée contre
la roche. Barrons venait d’une main ferme de l’acculer contre le mur. La
rudesse de la pierre et ses formes calleuses lui blessèrent le dos. Mais
l’indélicatesse de l’acte inattendu de son ravisseur l’avait laissée sans voix.
Constatant dans ses yeux autant d’envie que de mépris, Barrons la maintint de
sa main droite toujours résolument appuyée sur le bas-ventre de la jeune femme
et lui menotta de son autre main les deux bras au-dessus de sa tête afin de lui
montrer qui maîtrisait la situation ! Tous deux ainsi déployés, Barrons la
dominait de deux têtes au moins. Le désir observé dans les prunelles de la
jeune vierge excitée fléchit et une certaine crainte s’y imprima. Malgré lui,
il se sentait satisfait et se félicitait d’induire en si peu de temps autant de
sentiments contradictoires chez la femme qu’il convoitait férocement. Comme
pour asseoir son pouvoir, il la déshabilla du regard de la tête au pied. Cette
dernière était secouée de spasmes autant dus aux supplices humiliants endurés
qu’au plaisir provoqué par l’évidente excitation d’un homme si remarquablement
séduisant. Des larmes se formèrent dans les yeux de la jeune femme dont les
états d’âme oscillaient dangereusement et risquaient de la détruire. Après ce
qu’elle avait vécu quelques jours plus tôt, elle n’était plus que l’ombre
d’elle-même, et pour cause, tout lui avait été dérobé.
Barrons s’aperçut immédiatement de la
vulnérabilité de la jeune femme qui jusqu’à présent lui avait tenu tête. Il
parvint enfin, non sans difficulté, à calmer le feu intérieur qui lui brûlait
ses organes internes et surtout à dompter la vague déferlante qui se propageait
dans son bassin.
Il s’éclaircit la gorge
en lançant son juron favori : « ENFER !!! » et se décida
alors à interroger cette femme. Il ne pût tout de même s’empêcher de rétorquer
d’un ton audacieux et de plus en plus mesquin, après tout il était tout de même
Jéricho Z Barrons : « Mais que faisiez-vous, Lass, si prêt de
l’eau ? Êtes-vous totalement folle ou suicidaire ? Vous n’aviez peut-être
pas remarqué qu’une tempête s’apprêtait à s’abattre aux abords de
l’océan ? Êtes-vous aveugle ? … Je dirai plutôt inconsciente… car à
en juger par la manière dont vous me dévoriez des yeux et l’effet que je
produisais sur vos zones érogènes sans même vous touchez, me laissent penser
que votre acuité visuelle n’est pas à remettre en question ! ».
Il éclata d’un rire doucereux qui
empourpra davantage, comme si cela avait été possible, les joues de la
demoiselle. Qu’allait-elle pouvoir répondre à cet interrogatoire cuisant ?
Heureusement, il n’était pas sadique au point d’exiger une réponse après une
telle entrée en matière. Il stoppa brusquement son rire dont le dernier écho au
fond de la grotte raisonna un instant encore. Le silence revenu, il
renchérit : « Lass, je vous ai posé une question … Que faisiez-vous à
deux pas d’une mer totalement ébranlée ? » La jeune femme rassurée
que ce soit précisément cette interrogation à laquelle il attendait une
réponse, ne put cependant que formuler d’une voix atone : « Je ne
sais pas. ». Barrons s’emporta, retira sa main toujours déposée sur le
bas-ventre de la femme désemparée pour cogner brutalement contre la roche au
niveau de son visage. Lorsque celui-ci avait levé le poing, elle avait
instinctivement clos ses paupières et senti que son énergie la quittait. Ses
jambes vacillèrent et Barrons relâcha les bras qu’il maintenait toujours contre
la roche pour la soutenir.
L’homme
se pressa contre elle si fort qu’elle en eût le souffle coupé et ne pût que
chuchoter : « Mais qui êtes-vous ? ». Celui-ci, lui adressa
une réponse évasive sur un ton sévère : « Celui qui vous a sauvé
d’une noyade certaine, folle Lass ! ». La jeune femme ne réitéra pas
sa question, elle avait compris qu’elle n’obtiendrait pas de réponse plus
précise de cet homme laconique qui néanmoins, à en juger la dureté de son sexe
érigé contre son bas-ventre, la désirait, elle !
Elle murmura d’une voix faible :
« Arielle…
- Je vous demande pardon Milady ?
- Arielle… c’est la seule chose dont je
me souvienne à mon sujet… mon prénom ! »
La
jeune femme éplorée par cet aveu, sembla se briser puis s’effondra brutalement
au creux des bras de Jericho Z Barrons.
***
[1] Déesse pouvant être considérée
comme l’équivalent de la Déesse Aphrodite ou bien
Vénus selon l’origine
mythologique.
........................................................
Alors il envoie pas de la bûche cet extrait?
Alors il envoie pas de la bûche cet extrait?
Ça commence à bien prendre forme nan?
Reviens lundi et tu auras la suite.
Oui je sais je suis diabolique
HAHAHA
D'abord: je tiens à dire: comment ne pas être inspirée par LE mâle en réalisant cette création? C'est tout naturel ♥♥
RépondreSupprimerEnsuite, Erika, je te l'ai déjà dit mais tu es douée avec les mots, ton écriture est magnifique!
Et puis Barrons nous démontre encore toute sa puissance mâle qui nous donne envie de se jeter dessus!
Oui CeReS, je crois qu'on te comprend toutes, comment ne pas être inspirée par un tel Homme...
SupprimerMERCI à toi ma Belle, pour cette magnifique Création qui résume à la perfection cette fanfiction. Elle est géniale !!!
Quelle joie de partager avec vous les filles un projet créatif si motivant.
Gros bisous Barronesques...
Un immense MERCI et une méga OLA pour CeReS et son superbe Travail. J'adore cette bannière, elle est juste parfaite pour le texte !!! Merci, merci.
RépondreSupprimerEt aussi bien sûr un grand MERCI à Jaja qui me fait toujours autant mourir de rire !!!
Gros bisous les filles, et j'espère que la suite vous plaira...
Mais de rien ma foufounette.............
SupprimerJaja, tu devrais avoir honte de nous laisser en plan comme ça! je confirme donc, t'es diabolique, grrrr.
RépondreSupprimerSinon, Erika, waouh, ça continue à être vraiment top! tu sais réellement manier les mots, tes descriptions sont sublimes, on s'y croirait. Quant à Barrons, il est fidèle à lui même : imbu de sa personne, narcissique, viril, beau à tomber, bestial, autoritaire, bref, le Barrons qu'on idolâtre! moi aussi je veux m'effondrer dans ses bras...Hum, en revanche, Barrons avec les cheveux longs, ben pourquoi pas...après tout, tu nous le livres avec un tartan qui a plutôt tendance à ne porter que le costard ultra classe...quel fantasme ambulant! encore merci et continue à nous faire rêver...n'attends pas trop longtemps quand même, aie un peu pitié de nous.
Oui Jaja sait y faire..., mais elle n'est pas la seule à blamer, elle a aussi fait un découpage en fonction de l'avancée de l'écriture...
SupprimerMerci pour ton compliment. Oui Barrons avec les cheveux un peu plus longs..., il fallait le mettre au diapason de l'époque. Et puis si mes souvenirs sont bons, au fil de la saga de Fièvre, il me semble qu'il change de coupe et Mac l'apprécie autant avec ses cheveux plutôt courts comme mi-longs.
La suite devrait arriver lundi, ça vous laisse le temps de vous faire une propre idée de la suite... Vont-ils consommer ou pas ce désir ardent qui les anime ???
Gros bisous
m'étonne pas qu'elle ne se rappelle que de son prénom... avec un Jzb aussi proche je ne sais pas si j'arriverai à balbutier quoique ce soit !
RépondreSupprimeren tout cas, c'est toujours aussi bien, vivement la suite !!!
;-)
Merci Christine, oui Barrons est une bonne raison comme tu dis de ne plus se rappeler de rien...
SupprimerGros bisous
J'ai bizarrement l'impression que la p'tite Arielle est une BAA...et une de plus, en plus elle vient d'un livre alors c'est encore plus top!!
RépondreSupprimerSinon bah Erika j'ai encore adoré...mais j'ai remarqué le p'tit détail qui tue, et ouai en lisant ton chef d'oeuvre on se rend compte que c'est une BAA qui écrit eh pas une personne qui trouve Barrons insignifiant (toute personne qui pense que Barrons est insignifiant lève les bras *rien de lever, tout est au sol même les immeubles arbres montagne mouche...tout* bah ouai tout le monde l'aime)
Nan mais en gros c'est la seule difference avec KMM puisque toi tu es follement amoureuse de Barrons et pas elle...quoi que...
Mais sinon GENIAL
Et c'est bon là Jaja je peux te dire que tu as ta place pour l'enfer déjà toute prete (juste à côte de chez moi on pourra causer Barrons à notre mort)...mais fais peter le tout d'un coup...ON VEUT LA SUITE mais pas lundi TOUT DE SUITE
Merci Lety pour autant d'enthousiasme... Cela me fait énormément plaisir !!! Mais pauvre Jaja, comme je le disais, ce n'est pas elle la fautive, elle a découpé le texte en fonction de l'avancée de celui-ci !!! Et puis Lety, plus c'est long, plus c'est bon ;-) !!!
SupprimerOui, c'est vrai qu'on sent que c'est une BAA conquise qui écrit, mais comme tu dis, qui ne pourrait pas être sous le charme d'un tel homme ??? Je suis convaincue que même les plus prudes ont inconsciemment le fantasme d'un tel homme ! Il va certainement devenir un archétype du fantasme érotique féminin !!!
Gros bisous ma Belle et douce rêverie Barronesque... (enfin plutôt sauvage !!!).
ca c'est sur qu'il va devenir LE FANTASME par excellence...mais tu vas voir pas que pour les meufs, je continue de penser et de dire que ce mec il rend tous les mecs qui sont hétéros gay...faite attention à vos chéris les filles s'ils lisent LE LIVRE ils deviendront gay et ne penseront plus qu'à Barrons
SupprimerSinon ouai je comprends et puis l'attente fais qu'on savour plus quand ça arrive
...
et plus c'est long plus c'est bon...tu parlais de la nouvelle ou de Barrons en général...certes dans les 2 cas c'est vrai mais moi je pense plus au sens pervers là
même que si on a pas la suite maintenant on prend la p'tite et fragile Arielle en otage, au pire on lui fera la peau on s'en tape parce que, au moins, Barrons assouvira ses pulsions avec nous, hum le rêve
RépondreSupprimerMdr Karin, pauvre Arielle...
SupprimerMais oui tu as raison, il faut bien qu'il assouvisse ses pulsions le pauvre homme... je crois qu'ici il y en aurait plus d'une qui se dévouerait...
Gros bisous
On le suivrait jusqu'en enfer s'il le fallait, il est a se damner
Supprimerje suis de tout coeur avec toi Karin...quand tu veux on laprend en otage la Arielle
SupprimerListe des choses à faire:
_tuer toutes les putes qui font des photos avec DG
_stopper l'industrie des plaids et serviettes qui nous cachent le reste de la magnificence de DG
_continuer à stopper la secheresse en lisant des passages de JZB avec les photos pour illustrer de DG (sans pute ou serviettes ou plaids ces photos)
_kidnapper le personnage d'Erika (désolé) pour avoir Barrons rien que pour nous
Viens ici Barrons on ne te fera pas de mal!!!!
Hum Lety tas vraiment bien resume, tout est dit... En plus Barrons na vraiment pas besoin de petasses ou de plaids ou de serviettes avec lui car on est chaudes comme les braises, on lui tiendra donc chaud nous meme & on couvrira sa nudite de notre corps...
Supprimerje vois que la réunion des BAA s'est déplacée ^^
SupprimerEn fait on ne peut pas s'empecher de deraper & de devier, c'est l'effet Barrons tout simplement
Supprimerbientôt il faudra créer un antiobiotique anti-Barrons pcq sinnon on parlera toute tout le tps de Barrons...et le monde ne tournera plus rond (en même tps depusi que Barrons existe plus rien ne tourne rond)
SupprimerMoi les filles je trouve que votre liste est parfaite....
RépondreSupprimerErika,
RépondreSupprimerMoi qui te connais depuis des années, qui ai suivi de près ton parcours et étais témoin de cette envie de plus en plus pressante et quasi-obsessionnelle d'écrire, je tiens à te féliciter!
Bien que je ne sois pas, moi même, une grande adepte de ce genre de lecture j'ai été complètement emporté par l'histoire, tes descriptions sont précises et permettent de se projeter facilement, ton histoires est très bien écrite et quelle aisance!! Que dire de plus, a part te soutenir encore dans tes projets et te souhaiter enfin du succès en tant qu'écrivaine. Quant à vous, fidèle lectrice et créatrice du blog, continuez à soutenir Erika,car moi qui l'a connait je peux vous dire qu'elle gagne à être connue!
Cyndie
Merci ma Pépette, ton mot me touche à un point, tu ne peux imaginer !!!
SupprimerMERCI d'être là pour moi depuis si longtemps, sans toi non plus je n'en serai pas là...
Je t'embrasse bien chaleureusement.
wouah, il fait chaud!!!
RépondreSupprimerEt ce n'est que le début... ;-)
SupprimerCC les chouquettes!
RépondreSupprimerErika tu es trop douée continue! Si tu publies un jour je serai une fidèle lectrice et toutes les BAA pourront dire: "Oui on connaissait ces écrits bien avant qu'elle ne publie évidemment!" Je suis tout à fait conquise par cette suite autant que par le début de l'histoire et bien sur: on attends la suite avec impatience comme d'hab!
Waouh Nelly, quel compliment, merci beaucoup, je suis très touchée et émue !!!
SupprimerGros bisous
ahhhhh merci Erika! PFIOU c'est cruel de finir comme ça!
RépondreSupprimermais bon, je peux enchainer avec les autres extraits!
j'ai hate d elire la suite ;)