mercredi 11 avril 2012

Scène supprimée dans "Shadowfever/ fièvres d'ombres"

Oui ma chattounette, tu as bien lu le titre. ET nan ce n'est pas moi qui ai sniffé un peu trop longtemps l'engrais de ma pelouse.

Oui dans quelques lignes tu vas découvrir une nouvelle scène avec du grand JZB.
Ou la la je sens que j'en ai perdu quelques unes, que le coeur a du lâcher pour certaines. Allez on se reprend, on  respire et on fait entrer l'esprit du Unagi  en soi. Si tu as toujours du mal à reprendre ton souffle alors cours prendre ta ventoline un sac papier et reviens par ici.

Il y a quelques jours je reçois des messages sur la page facebook de Sophie et Séverine qui me demande l'air de rien si j'ai la scene supprimée de "fievre d'ombre". Alors tu te doutes que je me suis pas mal interrogée le mamelon pour savoir si elles avaient pas aussi les même vices que moi en terme de drogue avant que mon intestin grêle décide de danser la lambada avec mon pancreas.
Quelques minutes plus tard j'avais un chapitre entier dans ma boite mail. 
Je peux te dire que j'ai sauté, tapé dans les mains fais un tour sur moi-même et que j'ai ondulé mes miches pendant au moins 30 secondes.

La scène est en VO. Que cela ne tienne même si j'ai le niveau de Dora je peux le faire. YOU CAN DO IT JAJA. Et je sens tout le potentiel de cette scène me parcourir.
Alors je me décide à en faire une traduction tant bien que mal. Sans m'en rendre compte il ést déjà 2h du matin, j'ai les yeux qui sortent de mes orbites et mon palpitant qui bat trop fort. Je viens de replonger dans l'univers des chroniques et c’est trop bon.


Ben quoi j'ai une vie aussi. c'est ça être accro?



Je me suis quand même pas gênée pour demander de l'aide pour la traduction et c'est comme ça qu'on est arrivé à ce résultat.

Allez cher BAA, délectes toi............. c'est cadeau






Karen Marie Moning :


Il arrive que parfois les personnages ne veuillent tout simplement pas coopérer. Mac et Barrons ont continué à essayer d'avoir des relations sexuelles avant que le moment soit venu,  s’éloignant du chemin que l’histoire devait prendre. J'ai finalement écrit une scène de sexe pour les tenir occupés, pour que je puisse écrire correctement le livre en paix. Le plus drôle c’est qu’une fois que je leur ai écrit cette scène, le roman est reparti  sur les rails et n'a plus dévié de sa route. J'ai supprimé cette scène du chapitre trente-trois de la version actuelle. Elle a eu lieu juste après que Mac ait tué Fiona (dans la mauvaise version, elle l'a fait sans Barrons).. Mac était partie depuis des semaines et venait juste de rentrer à la librairie.






En découvrant que  j'avais été adopté, j’ai ressenti une lente et cruelle perte de mon identitéJ'ai essayé d’encaisser les coups, d’être un bon soldat, de suivre le mouvement.
Quand j'ai appris qu’Alina n’était peut-être même pas ma vraie sœur, j’ai gardé la tête haute. Quand Darroc  a proposé que je puisse être une pierre, je lui ai ri au nez. Quand Ryodan a suggéré que je n'avais peut-être jamais vraiment existée, je n’ai pas laissé cette hypothèse m’abattre. Quand  Barrons m'a accusée d'être la création du roi Unseelie, une de ses ultimes castes, j’ai obstinément  persévéré. On peut même dire que j’ai été  optimiste  et réfléchie   face à la situation : j’étais l'infortunée, l’amour maudit du roi Unseelie. Mais il n’y a aucune échappatoire à ce que la mort de Fiona vient juste de prouver.



J’étais le roi Unseelie.

Je regardais autour de la librairie.
J'adorais cet endroit. La librairie était le lieu où je voulais être.. Et la femme que j’étais ici était celle que je voulais être. De mon porte-revues à mes foyers à gaz, de ma caisse enregistreuse à la joie de commander des livres et de faire découvrir aux gens de nouveaux mondes,  de gagner ma croûte à la fin de la journée en sachant que mon Enquiquineur Constant serait toujours derrière moi, respirant dans mon cou,  je voulais être la femme que j’étais ici. Et n’est-ce pas la définition d’une « maison » ? Vous aimez la personne que vous êtes à l’intérieur de ces murs.  



Aucun de mes anciens souvenirs n’étaient aussi vivants et réels que ceux que j’ai ici . J'ai accumulé tant d'expérience  en si peu de temps.


J'ai appris que j’étais un détecteur d’OP. J’ai touché les copies des pages du Sinsar Dubh, et  senti mon pouvoir enfoui. J'ai découvert que les monstres étaient réels. Je me suis retrouvée assise sur un toit, une attelle au bras, regardant le plus improbable des manucures spécialistes de l'onglerie me mettre du vernis. Il m'a appris à regarder à l'intérieur de moi sans  tressaillir. Il m'a appris à tuer. J’ai combattu les Ombres, j’ai inventé un MacHalo, dansé, et me suis fait surprendre entrain de me ridiculiser.. Et bien qu'il ait essayé de ne pas rire, c’est un des rares moments où il n’ait pas été maître de lui, sauf au lit.
Dans ce sous-sol, avec moi Pri-ya, il a été brute, animal, sans excuse. J’ai appris des décisions difficiles et de leurs conséquences. J'ai  laissé tomber le rose et  j’ai adopté  le noir.




Ce jour-là, il y a si longtemps, quand je me suis retrouvée perdu dans la zone fantôme, j’ai déboulé par la porte d’entrée en cherchant un refuge, et le fait est que je l’ai trouvé. 

Un sanctuaire absolu.

Je pris mon nouvel  iPod de ma poche pour le parcourir. Il avait chargé de la musique.  Les listes de lecture étaient intitulées avec de judicieux acronymes. Jericho Barrons  avait choisi un iPod rose pour moi, l’avait connecté à un ordinateur et avait téléchargé de la musique. Je pouvais plus facilement imaginer un lion enfiler un tablier à frou frou et cuisiner un succulent  plat  végétarien.
Je scannais les listes de lecture. Il y avait  HM, SLP, WYB, QJVBL&F, QJVBV&F.
J'ai feuilleté jusqu'à HM et je me suis mise à rire. Bien qu’il y ait eu des dizaines de tubes,  "What a Wonderful World" de louis Armstrong était  en tête de lecture de la liste « heureux miracles ». Cette chanson serait toujours douloureuse pour moi.

SLP devait correspondre à « sur la plage » il y avait pleins de chansons qui étaient parfaites pour mes séances de bronzage, dont ma préférée des Beach Boys.

Barrons avait certainement fouillé dans  mon ancien iPod.

Au début QTBDN était une énigme, jusqu'à ce que je voie " “I Came For You" de Nine Inch Nails. «  Quand tu broies du noir »
Je  les faisais défiler. Le désir ramolli mes jambes et tends ma colonne vertébrale.  C’était les chansons que j’avais entendu quand j’étais dans le sous-sol. « I Came For You ", "Awake and Alive", "Because the Night" et des dizaines d'autres. "A quoi pouvait correspondre QJVBL&F ?" J’aimais le jeu d’essayer de penser comme lui.













"Quand je vous baise lentement et facilement," dit Barrons, à l'arrière du magasin.

Toute l'humidité de mon corps se déplaçait vers le bas  laissant ma bouche douloureusement sèche. La liste de lecture suivante commençait avec "Pussy Liquor." J’appuyais sur le bouton de lecture. 

« Et QJVBV&F ? » j’avais déjà trouvé  mais je voulais  juste qu’il le dise à haute voix

"Quand je vous baise vite et  fort», dit-il lentement et avec précision.  Chaque mot  se tendait dans mon entrecuisse, comme s’il les ronronnait de sa bouche tout contre mon clitoris  

Mon désir pour lui était viscéral. Indéniable.

Peu importe si  j’étais née, qui j'aurais pu être dans n'importe quelle autre vie, ou ce vers quoi je vais.

Barrons  vit.

Je respire.

Je le veux. Lui.  Toujours.

Il est le feu sur ma glace.  La glace sur ma fièvre.











"Que voulez-vous, Mademoiselle Lane?"


Une phrase cohérente était prête à sortir de ma bouche mais tout ce qui s’en échappa fut un son décousu de sens, empli de douleur et de désir.


"Vous vous décidez enfin à parler un langage que je comprends."


Je ne m’étais jamais senti aussi exposée, vulnérable. Je le détestais pour ça.


Son regard sombre me dit « Je suis là mais ne comptez pas sur moi pour faire le premier pas. Je l'ai fait depuis le jour où  votre petite personne  manucurée et bercée d'illusions s’est glissée ici."

« Vous ne l’avez pas fait,  vous me traitiez comme-" 

« Une femme que je voulais baiser. Vous n'êtes pas mon type.  Ça m’a énervé."
 
« Surmontez cela, vous n'êtes pas mon type non plus."

 « Je suis votre seul type. Admettez-le." 

« VOUS admettez-le." 

« Je voulais renvoyer Fiona chez elle, vous trainez derrière une bibliothèque et prendre rapidement votre petit cul rose et élégant. Je voulais vous marquer, Vous baiser jusqu'à ce que vous ayez compris que vous m'apparteniez.

Mac rose aurait été choquée, bouleversée, horrifiée. Et là, j’ai réalisé. Tout ce temps perdu où  nous aurions pu nous battre et faire l’amour, se glisser dans la peau de l’autre sentir nos peaux se pénétrer.  

"- Les femmes n'appartiennent pas aux hommes."


   "- Foutaises."


  " -Très bien. Donc vous m'appartenez, Barrons."












Il y avait comme une lumière indécente dans ses yeux. Il attrapa le bout de sa langue entre ses dents, ses crocs étincelants sortis, et il sourit. 

"Vous pensez que vous pourriez garder quelque chose comme moi heureux? J'ai un grand appétit."

"Je ne pense pas que vous connaissez la signification du mot «heureux»,  misérable batard."

 "Vous me voulez. Réclamez votre dû."


  "Je réclamerais votre cul  amoché"

  "Je suis aussi revenue pour ça, donc ne fondez pas vos espoirs là-dessus."


Je me précipitai sur lui, mais il était déjà à mi-chemin. Nous allions nous percuter  mais à la dernière minute, je sautai et il m’attrapa  par la taille. J’enveloppai mes jambes autour de lui,  sa langue fut dans ma bouche  et nous tombâmes  sur le sol. Je le chevauchais, le montais au rythme parfaitement torride de Rob Zombie. On ne ressentait que l’énergie brutale, le désir et la vie qui se propageaient entre nous.

Il voulait un sort de destruction 

Je ne lui donnerais jamais. Je n’en ai rien à foutre qu’il ait vécu assez longtemps pour vouloir mourir. Barrons ne mourait pas. Pas dans ma vie. Et il semblait que la mienne allait être tout aussi longue.

J’enlevais ma bouche de la sienne, je m’assis en arrière sur mes talons et, quand il essaya de m’attraper, le repoussais sur le plancher. "Bas les pattes. C’est à mon tour. Vous avez eu le vôtre quand j'étais Pri-va. "










 « Vous n’êtes plus Pri-ya maintenant."

"Et ?Lui demandais-je sèchement. Mais je savais ce que c’était. Ca le consumait que les seules fois où j’ai couché avec lui, j’avais perdu la tête et n'avais aucune idée de ce qu’il était.
Ça m’aurait détruit aussi si les rôles avaient été inversés.

 "-Vous savez qui je suis. Dites mon nom. »


  « Jéricho ».


« Vous le voulez . Dites le moi. »


« Je le veux. Ici. Maintenant. Je sais qui vous êtes, je sais qui je suis. Et je le veux."

"-Que suis-je ?" Ses yeux brillaient d’espoir

Je me souvenais de lui me posant la même question quand j’étais Pri-ya . Il voulait que je lui répète qu’il était mon monde.

"Comment pourrais-je le savoir?" lui demandais-je avec aplomb. "Vous ne coopérez jamais"
J'étais tellement excitée que s’en était douloureux. Je ressentais la violence monter en moi. Si je ne pouvais pas contrôler mon désir, au moins je pouvais le contrôler.

« Nous verrons ça ». 
Je discernais de la raillerie dans ces yeux noirs, et une chose que j’avais du mal à définir. De la déception?  Venait-il de murmurer quelque chose sous ce souffle visible. « Dommage. Vous n'êtes pas aussi prête que je le pensais."*

« Restez en dehors de ma tête ».  J’enlevais mon t-shirt et soutien gorge et eus le souffle coupé par la fraicheur de l’air sur ma peau enfiévrée.

Quand il tendit la main vers moi, je le repoussais avec un bottillon dans sa poitrine.
J'ai dit mon tour.

Il rit et s’allongea sur le sol, les bras croisés derrière la tête. Je n’étais pas dupe. Je pouvais sentir toute sa violence. Nous étions comme deux grands rochers, entrant en collision, se percutant et cherchant à voir si l’autre pouvait se fissurer.








Je lançais mes bottes, arrachais mon jeans et mon string et je me tenais debout sur lui regardant le long de mon corps nu  son visage. Ses yeux étrécis, ses lèvres serrées.  Le désir dans ces yeux anciens me transporte de joie d’être en vie. Il déboutonna son pantalon, se repositionna, et sa bite libérée en bondit.

J’avais finalement Jéricho  Barrons  exactement  où je le voulais. Dur comme de la pierre, prêt et entre mes cuisses.












Inépuisable le couvrant à peine. Insatiable, je ne pourrais le décrire. 

Un besoin sans fin est ce que je ressens pour lui. J’aime ca et en même temps je déteste ca. Ressentir aussi intensément est à la fois une bénédiction et une  malédiction.

Je n'ai jamais connu un homme aussi beau que Barrons. Je n'ai jamais été avec quelqu'un d'aussi sexuel et décomplexé. Le sexe est la religion de Jéricho Barrons.
Il adore, il souille. Il baise avec la dévotion  d'un mourant à la recherche de Dieu Il ne délaisse aucune partie d’une femme. Quand il est en moi, le monde cesse d'exister. A l'étage, sur le comptoir, sur le Chesterfield, sur une chaise,  dans son bureau, c'était comme si nous étions les deux seules personnes vivantes. Rien ne comptait.

Le monde aurait pu disparaître, nous aurions continué de baiser tant que la librairie était debout. 











Nous étions contaminés par cette obsession  depuis le jour où nos regards s’étaient croisés. Pour une raison quelconque, je ne m’en souciai même plus, mon corps le réclamait et il a été empoisonné par la même maladie. Je prenais, il combattait. Il prenait, je combattais. Aucun de nous ne rendait les choses faciles. Ce n’est pas dans notre nature

Le sexe pour nous était un champ de bataille, et quand finalement nous étions épuisés, au moins pour un temps, le magasin était en ruine. Livres renversés sur le sol, deux des bibliothèques récemment réinstallée étaient saccagée, la nouvelle table à café a été brisée, les lampes étaient détruites et mon téléviseur avait été jeté hors du comptoir
Coincée dans un espace étroit entre la table à café cassé, le canapé, et son corps,  je me sentais magnifique.







Voilou les fous du slip, alors je sais pas dans quel état vous êtes mais moi je peux vous dire que c'est bon je peux aller irriguer une partie de l'Afrique grâce à mes fuites vaginales.


En tout cas un énorme merci pour la traduction à Sab que tu peux retrouver là, et  à Léa et Sandy que tu peux retrouver ici même.
Un énormes YMCA sur vos culs les filles.


Si tu veux relayer cette scène pas de souci mais cite tes sources
TSHUSSSSSSSSSSSSSS









23 commentaires:

  1. Bon alors, pas trop osé lire le début de l'article pour ne pas me spoiler dans le tome 5 mais la fin est.... bombesque!!!

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    1. t'as vu ça c'est de la cambrure hein?
      On en boufferait

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  2. J'ai adoré...je suis au dernier paragraphe je m'attends à plus de Barrons plus de tout...et la je lis "Voilou les fous du slip..." tu peux pas savoir comme j'ai été déçu que KMM ne nous ai pas fait une scène beaucoup...beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup...beaucoup plus longue!!!!
    Mais sinon j'aime j'aime j'aime!!! VIVE BARRONS!!!!!

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    1. on aurait envie que ça s'arrête jamais. Je suis bien d'accord.
      Allez Karen fais pas ta crevarde et ressors nous des scènes comme ça

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  3. Yeah YMCA dans nos corps lol. On a assuré grave quand même je pensais pas y arriver lol

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    1. Et danse de l'allégresse tétons aux vent aussi. Cette scène le vaut bien.

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    2. putain que ça le vaut!!! Même le cul au vent s'il le désire mdr

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    3. soyez fou même la chatte au vent.... a bas le rhume du cul

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    4. mdr en même temps à chaque fois qu'on croise sa route nous avons déjà choppé le rhume de la chatte lol

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  4. ah ben voilà ... j'en suis page 75 du T5, et ça me motive à continuer ... dommage que ce magnifique passage ai été supprimé !! lol
    MERCI LES FILLES ♥

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    1. AHHHHHHHH mais t'inquiètes ma coco dans le tome 5 tu vas avoir du grand Barrons chaud boubouille comme la braise.
      Prépares le rechange de petite culotte.
      Accroches toi à la ficelle de mon string

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    2. On va même dire que c SON tome!!! :D

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    3. Oulala ce tome il est muy caliente...tellement que tu veux plus sortir des souterrains!!!

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    4. Je vais "vous répétez" mais ouiiiiii c'est le tome de Barrons, sa consécration, bref...tu ne peux que fondre face a tant de sex appeal!! Hiiii
      Bref, le monde peut disparaitre, on s'en fout, l'essentiel c'est nos séances de jambes en l'air avec JZB...Oups..pardon je m'auto-identifie...oui bon je vais le dégoter ce Jericho et la je serai enfin l'heureuse élue!! LOL! 

      Bon, ben en fait avec tout ça je me suis redonner envie de lire Barrons...pour pas changer!! Aller ce soir, c'est rdv dans le sous-sol de JZB..enfin..dans ces draps, sur son sol, dans sa cuisine..Mmmh!! Ouiii y'a intérêt a ce qu'après il imprègne mes rêves!! Haha!! 

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  5. Aaaaaaah!! A chaque fois que je relis cette scène, j'en suis toute retournée!! Et a chaque fois, comme Lety, je me fais...J'EN VEUX PLUUUUSSS!!! LOL!! 

    Je n'aurai jamais assez de Barrons!! =p

    Les filles, on a assurer pour la traduction!! LOL!! Le résultat est génial!!
    Yeah!! ENORME YMCA!! Haha!! 

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    1. En fait on est jamais rassasié.... on ne connaîtra JAMAIS L'INDIGESTION BARRONESQUE

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  6. voilà fini le T5 !!!
    et grâce à toutes tes photos de JZB, le Barrons est encore plus suprême **mégas soupirs**

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    1. la façon dont tu le dis je me l'imagine comme la glace avec le cône et tout.....

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  7. OMG, OMG, OMG les filles...
    Après avoir terminé le tome 5, par chance j'ai trouvé le lieu des rdv du lundi pour les BAA. Merci Jaja pour ce site qui apaise, qui contient serait plus adéquat la dépression post-Barrons !
    Maintenant que j'ai lu la saga entière, je mesure l'étendue des dégâts d'une telle lecture. Je comprends parfaitement l'état dans lequel il vous a plongé ! Je connais cette sensation désormais.
    Alors à très vite les filles pour plus de Jericho, je crois que la lassitude n'est un mot qui n'existe pas dans son monde !
    Bisous

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    1. haaaaaaaaaaaaaa ça y est tu nous comprends. Bienvenue chez les folles furieuses de l'addiction barronesque. A plusieurs nous serons plus forte

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  8. ohlala, elle est énorme cette scène ! j'adore !!!

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Toi aussi tu es en pleine barronite aiguë? Ce n'est pas sale. Viens tout nous raconter.

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