Salut ma petite merguez sauce barbecue,
Nous sommes vendredi et c'est donc le jour de ton 2eme extrait de la semaine. Si tu te demandes toujours de quoi je parle, ben j'ai envie de te dire que maintenant faut arrêter de déconner merde. Je parle de la FANFICTION qui met toutes les vulves des BAA au garde à vous, celle qu'Erika a la gentillesse de nous faire partager sur ce blog. ALors profites.
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PRÉSENTATION
L’idée d’écrire cette fanfiction est née de mon envie d’apprendre à connaître Jericho Z Barrons, si toutefois cette nomination est correcte…, car comme vous le savez, tellement de questions restent en suspens !!!
Et en attendant que Karen Marie Moning nous offre des informations supplémentaires le concernant, je ne peux réprimer l’errance de mon Imagination qui ne cesse de tenter de percer le mystère Barronesque. Alors certes celle-ci prend de grandes libertés et divague à souhait, mais je souhaiterais vous faire partager la représentation que je me fais d’une des premières relations sentimentales qu’aurait pu vivre cet Homme.
Cette fanfiction met en scène une véritable rencontre amoureuse semée de diverses embûches, dont l’issue pourrait bien être tragique…
Au travers de cette histoire principalement charnelle et sentimentale, je voudrais témoigner de la dimension à la fois sensuelle, sauvage voire bestiale que je prête au Jericho Z Barrons de mes fantasmes.
Je vous proposerai donc tout au long du récit des descriptions de ses contemplations et de ses ressentis. J’ai envie de me risquer à décrypter le psychisme si complexe et probablement torturé de celui-ci.
Ses sentiments pourront parfois être différents de ceux éprouvés aujourd’hui. Il me paraît évident que le vécu de ses 500 dernières années lui a laissé des traces sur ce qu’il peut être aujourd’hui. C’est pourquoi en certaines occasions, vous pourrez être déroutées par une attitude, un geste ou une parole du Barrons de ma rêverie. Celui que nous connaissons de la plume de Karen Marie Moning est mûr de plus d’un demi-millénaire. Mais auparavant, qui et comment était-il ?
Comme sa créatrice, je ne préfère pas entrer directement dans son esprit, de toute manière il ne me laisserait pas faire…, d’où la distance choisie par le point de vue narratif omniscient. Cependant, je vous rassure tout de suite, insidieusement, je vais essayer de m’introduire dans cette carapace…
Enfin, l’emploi du présent dans certains passages est volontaire, il montre qu’en 2012 certaines caractéristiques de Barrons sont toujours les mêmes, notamment au niveau de sa beauté et de son charisme légendaires, de son arrogance, de sa détermination, de sa virilité ainsi que de ses pulsions et besoins sexuels démesurés.
L’évolution actuelle de l’histoire me laisse supposer que la fanfiction devrait être composée d’une dizaine d’extraits. Comme j’écris au fur et à mesure, je ne peux être plus précise pour l’instant.
Puisse notre aventure nous permettre de rencontrer Barrons dans son essence…
Erika
♥♥♥
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Jericho Z Barrons et
l’Ondine sibylline
Extrait n°6
Durant
toute la nuit, les deux partenaires de jeux licencieux n’avaient cessé de
s’abreuver mutuellement de plaisir charnel. Autant l’un que l’autre venaient
d’étancher une soif sexuelle démesurée, une appétence quasi-animale. Barrons se
sentait bien mieux désormais malgré un lointain ressentiment qui tentait de se
frayer un chemin jusqu’à sa conscience. Toutefois, il n’avait de temps à perdre
ni avec des regrets ni avec des préoccupations inutiles.
Il espérait pourvoir
s’éclipser discrètement maintenant que la sorcière s’était assoupie. En outre,
son instinct lui sommait de fuir au plus vite.
Les faibles lueurs du
jour que laissaient traverser les luxuriantes ramures des arbres, éclairaient
la jeune femme qui n’avait rien de repoussant. Il ne comprenait pas pour
quelles raisons la veille celle-ci, lui était apparu comme la plus détestable
des sorcières. Elle n’avait plus aucune ressemblance avec cette ancestrale et
fâcheuse mégère qu’il avait cru rencontrer. Ce n’était donc pas ses pulsions
sexuelles qui avaient embelli le portrait de la femme. Mais c’était plutôt sa
première vision qui avait dû lui jouer des tours. Barrons n’aurait pas pu se
leurrer davantage…
Il se leva subrepticement
et d’un pas feutré, commença à s’éloigner de sa conquête. Exceptionnellement,
il se retourna brièvement, un sentiment inconnu l’avait incité à jeter un
regard à la dérobée. Quelle ne fut pas sa surprise quand il crut discerner l’hideuse
sorcière ! Il interrompit sa marche et, bouleversé il détourna à nouveau la
tête pour s’assurer qu’il s’était trompé. ENFER !
Mais où est-elle ? Mais qu’est-ce que…
La sorcière, encore
plus affreuse que la veille, venait de se planter devant lui et lorsqu’il
vrilla sa tête vers elle, un cri d’horreur s’échappa de sa gorge dès lors
serrée. La sorcière ouvrit sa bouche édentée et d’une voix tonitruante,
lança :
– Ainsi tu oses me quitter de la sorte, sans
même me saluer ? Un homme qui a souillé Katya ne la quitte pas sans des
adieux honorables. Un homme qui a pris Katya si férocement est lié à elle,
qu’il le veuille ou non !
Barrons, à la fois
déconcerté et curieux quant à cette créature fantasque qui s’enlaidissait au
fur et à mesure de son agacement, s’enquit de fausses excuses et rétorqua d’un
ton des plus moqueurs :
– Veuillez m’excuser gente dame, mais la
seule femme que j’ai possédée si ardemment cette nuit n’a rien en commun avec
vous ! Vieille sorcière, qu’avez-vous fait d’elle ?
– Moi rien, toi en revanche fougueux
étalon tu lui as dérobé sa beauté et sa jeunesse, tu l’as dépossédée de son
élan de vie, lui asséna-t-elle d’un ton impertinent.
– Je ne saisis un piètre mot de ce que
vous proférez sale sorcière ! Où est-elle ? Parlez avant que je ne vous
égorge ! Et ne vous avisez pas de me mentir, je peux facilement vous
forcer à me dire la stricte vérité. Mais je vous préviens, gronda-t-il, si vous
m’obligez à en arriver là, vous risquez de le regretter amèrement !
La sorcière ne montra
aucun trouble malgré l’air effrayant de Barrons et enchaîna comme si elle ne
craignait aucunement l’exécution de ses menaces :
– Cette damoiselle si désirable dont tu
parles n’existe pas ! Il n’y a que moi ici. Crois-tu qu’une jeune et jolie
femme traînerait dans les enchevêtrements de la terre pour satisfaire les
besoins sexuels d’homme ingrat comme toi qui s’égare jusqu’ici ? Quelle
arrogance Messire, affirma-t-elle malicieusement ! Combien tu peux être stupide
homme-sauvage ! Tu ne t’es même pas rendu compte que je modifiais ta
perception de mon physique ??? Je te croyais bien plus malin et aguerri Jericho
Z Barrons !!! Elle cracha presque en interpelant notre homme par sa dénomination
complète.
– Comment m’avez-vous appelé vieille
sorcière ? Vous devez bien peu tenir à la vie pour vous adresser à moi
ainsi ! Puisque vous pensez si bien me connaître, vous savez de quoi je
suis capable et vous devez être également informée que j’ai tué pour bien moins
d’affronts !
– Och, aye ! J’ai ouï dire de tes
exploits tant belliqueux que sexuels, mâle
suprême !!! accentua-t-elle dans un sourire sardonique.
Barrons ne pouvait plus contenir sa
colère. D’un bond il se retrouva près d’elle et plaça ses grandes mains autour
de son cou. Ces mêmes mains qui, quelques heures plus tôt, avaient prodigué les
caresses les plus enfiévrées à ce corps désormais si nauséabond. Il lui
cria :
– Qui êtes-vous vieille sorcière ?
– En plus d’être ignorant et de te
laisser guider uniquement par tes pulsions les plus primaires tu n’écoutes pas,
je t’ai dit que je m’appelais Katya !
– Je n’ai que foutre de votre
prénom ! Je veux savoir qui vous a parlé de moi et ce que vous êtes
vieille folle !
– La bienséance, connais-tu cet art
Jericho ?
Barrons frémit à l’entente de son prénom
et hurla :
– Je ne vous permets pas de prononcer
mon prénom et cessez de me tutoyer !
– Nous avons partagé une telle intimité
cette nuit que j’ai cru que nous pourrions être plus…
Barrons resserra davantage son emprise
et vociféra :
– Suffit de croire, suffit de
penser ! Maintenant vous répondez ou vous mourez sur-le-champ ! Il
répéta la question précédemment posée : qui êtes-vous vieille folle ?
La sorcière ne pouvait
articuler un seul mot tellement les doigts pourtant si délicieux de l’homme
pressaient ses cordes vocales. En guise de réponse, elle secoua la tête pour
lui signifier qu’elle ne pouvait parler.
Comme Barrons refusait de relâcher sa
pression, elle s’invita alors dans son esprit. Bien qu’il fut surpris, il la laissa
lui expliquer qu’elle était une sorcière séculaire vivant dans les
renfoncements de cette forêt depuis des millénaires et qu’elle n’avait pas joui
aussi intensément depuis des siècles. Elle le remerciait donc pour sa
prestation sexuelle qui l’avait rassasiée pour les années à venir ! Les
étalons de son genre ne venaient qu’accidentellement se perdre dans les
tréfonds de ces sous-bois et elle n’avait donc que très rarement l’occasion
d’être honorée aussi frénétiquement ! Même étranglée, la sorcière n’en restait
pas moins railleuse.
Par le même procédé, Barrons l’enjoignit
de lui révéler qui lui avait parlé de lui et dans quel but. Elle lui avait alors
déclaré rester loyale à ses sources, et de toute façon, sa principale était ses
précieux pouvoirs extralucides de sorcière. Elle savait les choses, point
besoin de lui confier quoique ce soit, elle savait !
Barrons avait retiré
ses mains qui n’avaient laissé aucune trace sur le cou désagréablement ridé de
la mégère. Il prit congé de celle-ci en lui conseillant à l’avenir de ne pas se
jouer de lui de nouveau, car même si elle semblait immortelle, il trouverait le
moyen de la faire souffrir.
Il avait cependant compris de son propre
chef, que la solitude l’avait poussée à utiliser le subterfuge de la jeune
femme attirante pour l’inciter à succomber.
Finalement, ils s’étaient mutuellement
rendu service !
Sans
plus tarder, Barrons rejoignit le sentier qu’il avait quitté quelques heures
plus tôt et retrouva Asgard. Son destrier l’attendait patiemment et paressait à
l’ombre d’un bouleau près d’une somptueuse lande de bruyères. Le décor était
féerique. L’homme laissa s’attarder son regard sur le panorama que proposait ce
recoin de la forêt. Désormais, Barrons ne sous-estimerait plus les vieilles
légendes et le folklore celtiques de sa patrie actuelle. Au cours de sa
débandade, à plusieurs reprises, il lui avait semblé entendre des babillages
chantants, il était donc fort probable que des dryades[1]
peuplaient cette forêt. Il avait également été témoin de renâclements qu’il
prêtait maintenant aux gnomes, petites créatures humanoïdes qui séjournaient
dans les racines tortueuses de chênes centenaires.
Après s’être longuement
délecté de ce paysage, sans un mot, il bondit sur la croupe d’Asgard qui se
tenait prêt à reprendre la route et l’enjoignit de chevaucher vers le château
de Dalkeith comme si l’inattendu interlude de la dernière journée n’avait
jamais eu lieu.
h
Un
mois plus tard, septembre 1512
En
ces premiers jours de septembre, l’été commençait à décliner. Le soleil se
levait de plus en plus tard et repoussait davantage le délicieux moment de la
balade matinale d’Arielle. Tous les matins depuis plus d’un mois, dès les
premiers rayons de soleil, elle se rendait sur la plage, exactement là où elle
avait rencontré un homme aussi ténébreux que mystérieux qui l’avait sauvée
d’une probable noyade.
Bien que de longues et de nombreuses journées
s’étaient évanouies, elle ne s’expliquait toujours pas ce geste inconscient et
cet attrait obsessionnel pour la bordure océanique. En effet, Arielle souffrait
d’une amnésie rétrograde et n’avait quasiment aucun souvenir de sa vie passée
avant la rencontre de cet homme. Elle ne savait pas qui elle était, elle en avait
oublié jusqu’à son nom ! C’était comme si elle était née dans cette concavité
de la falaise, son prénom avait émergé du tréfonds de son être et dès lors la
communication s’était rompue.
Au plus profond d’elle-même, elle
espérait trouver des réponses à son état en parcourant de longues heures durant
les chemins couverts de landes de bruyères qui menaient à la plage. Puis, elle
marchait les pieds dans l’eau jusqu’aux rochers qui l’empêchaient de poursuivre
son exploration tant psychologique que locale ; elle faisait alors
demi-tour. Ces excursions l’apaisaient autant que possible. Même si la mémoire
lui faisait toujours défaut, les bienfaits de l’air marin étaient indéniables,
ils lui donnaient la force de rentrer à la taverne qui l’hébergeait pour la nuit
contre une aide pour le service de la fin d’après-midi et du soir. Le reste du
temps, elle pouvait vaquer à ses occupations. Or, elle n’en eut qu’une seule et
unique jusqu’à la rencontre du Laird Hawk Douglas : tenter de se souvenir
qui elle était !
La jeune amnésique
avait parfois de courtes réminiscences, ou plutôt éprouvait inopinément des
sensations agréables, comme un sourire qui l’envahissait de l’intérieur sans
raison apparente, un parfum délicat qui chatouillait ses narines et la ravissait,
une main enlaçant la sienne avec respect et peut-être avec amour, un regard
masculin indécent qui la faisait se sentir belle. Néanmoins, lorsqu’elle avait
enfin pu découvrir son propre visage, elle n’avait su que penser. Il ne lui
paraissait pas aussi répulsif que l’homme grossier lui avait fait craindre,
mais il n’était pas non plus charmant. Il lui manquait une histoire. En effet,
ses traits étaient lisses, sans profondeur, tout à fait quelconques ! Sa
face était vide d’expression. Elle avait alors cessé sa contemplation car le
reflet du miroir la rendait malheureuse de n’y voir que de la solitude.
Dans le village où elle
avait trouvé refuge, le plus près de la falaise, les habitants avaient
rapidement feint ne pas s’intéresser à cette jeune femme qui ne semblait pas
réellement souhaiter s’intégrer. Les premiers jours, de nombreux hommes,
sensibles à sa beauté époustouflante, lui avaient fait la cour, mais s’étaient
rapidement renfrognés compte tenu de la distance imposée par cette dernière.
Un
soir, alors qu’elle apportait un verre du meilleur scotch pur malt au lord qui
avait bénéficié jusque là de la plus grande attention de la part du
propriétaire de la taverne, le client s’exclama ahuri :
– Arielle…, Arielle Rayna ? Mais…
mais que fais-tu ici ?
– Je vous demande pardon milord ? murmura-t-elle
interdite, au point que Hawk l’entendit à peine.
– Arielle, c’est moi, allons, ne me dit
pas que tu ne me reconnais pas ! enchaîna-t-il contrarié.
Elle était troublée, le
regard de cet homme lui semblait familier et pourtant elle n’avait aucune idée
de qui il pouvait être.
– Je… je suis désolée milord, je… répondit-elle
hésitante.
– Arielle Rayna, suffit maintenant de me
faire marcher, ce n’est pas drôle. Est-ce pour me fuir que tu t’es réfugiée ici
dans ce coin reclus du domaine ?
Elle ne comprenait pas un
mot de cet homme qui la connaissait apparemment fort bien. Toutefois, elle
était enchantée d’apprendre sa désignation complète et aussi de connaître un homme
si séduisant. Hawk la sortit brutalement de sa douce rêverie et lui ordonna
fermement de répondre.
– Veuillez m’excuser Messire, mais je
n’ai aucun souvenir de vous… je…
– Comment peux-tu m’avoir oublié Arielle
après… s’emporta-t-il avant de baisser la tête, l’air excessivement blessé.
– J’ai perdu la mémoire milord, je ne me
rappelle plus de rien, je…
– Pardon ? C’est pour cette raison
que tu m’as donc quittée sans un mot Arielle ? Tu ne m’as pas laissée de
ton propre chef, tu…
–
Je… je ne sais pas milord, je ne peux vous répondre honnêtement, balbutia-t-elle,
la mine attristée. Le seul souvenir qui ait refait surface après que cet homme
m’ait sauvée de… de la noyade…
Arielle
suspendit sa phrase car à l’évocation de l’homme, un sourire se dessina naturellement
sur ses lèvres. Secouant la tête, elle se ressaisit elle reprit :
–
Le seul souvenir que je possédais était mon prénom. Outre cela, milord, je ne
sais qui je suis ni d'où je viens !
– Alors comme ça tu n’as plus aucun
vestige de ton glorieux passé ? s’amusa-t-il à la taquiner. Il appuya largement
ces mots pour lui faire saisir le sous-entendu.
Arielle
se sentit rougir car l’insinuation de son interlocuteur raviva l’empreinte de
mains habiles caressant son corps de part et d’autre, la sensation d’une
jouissance explosive, de… Elle s’imposa d’éloigner ces sentiments audacieux de
son esprit. D’un hochement de tête pantois et malheureux, elle maugréa alors :
– Nay, Messire, je…
– Je t’en prie Arielle, appelle-moi
Hawk…, quand je t’aurai rafraîchi la mémoire, tu ne pourras plus me servir du
Messire ou du milord ! Peu importe, de toute façon je t’arrache de ce lieu
qui ne mérite pas qu’une telle lady s’y attarde et encore moins y travaille !
avait-il presque hurlé.
– Mais je n’ai nulle part où aller,
déclara-t-elle confuse et surprise par la réplique si autoritaire de l’homme.
– Le temps que tu recouvres totalement
la mémoire tu pourras rester au château. Ma mère se réjouira de ta présence.
– Messire, euh… Haw…, Lord Hawk, suis-je
votre épo…
Le rire déployé de Hawk
fit brusquement taire le brouhaha qui régnait habituellement dans cette bruyante
taverne et les joues d’Arielle vexée par une telle réponse s’empourprèrent.
Elle parvint tout de même à articuler pour éviter de perdre sa
crédibilité :
– Veuillez m’excuser Lord Hawk, je ne voulais
pas vous offenser, mais… mais… vous semblez tant me connaître, j’ai cru un
instant que nous avions partagé une grande intimité…
Hawk comprit qu’il
avait involontairement offensé cette pauvre femme déjà tant chagrinée. Il
l’interrompit et d’une voix atone, dans une moue bienveillante, il
précisa :
– Och, aye ! Et quelle intimité
avons-nous partagé, si vous voyez ce que je veux dire ? Hawk cessa sa
réplique le temps de s’offusquer mentalement de la perte des souvenirs charnels
de la jeune femme ! Il écarta cette pensée désobligeante et
poursuivit :
– Bref ! Je vais t’aider Arielle à
faire renaître ton passé… Et j’en paierai de ma personne s’il le faut,
ajouta-t-il un sourire espiègle aux lèvres !
***
Si je te dis que j'ai l'extrait 7 sous les yeux tu m'aimes toujours hein?
Jaja j'ai comme l'impression que tu connais déjà la réponse à ta question. Oui nous t'aimons toujours mais avec en plus des instincts de meurtre! Voilà tout, rien de bien inhabituel!
RépondreSupprimerSinon Erika je vais essayer de reformuler mes mots pour ne pas dire exactement la même chose que pour les extraits précédents:
Très chère j'ai trouvé ce petit bout de récit était un délice pour les yeux, pour le cerveau et pour ma faim barronesque! Je dirais même que cette petite interlude (non musical) était la plus exquise que j'ai pu voir durant la longue vie (16ans je sais c'est pas vieux du tout)! Je ne comprends même point pourquoi j'ose appeler celà interlude puisque cet extrait avait le niveau de l'oeuvre original, avec comme petit bonus (est-ce qu'il y a un bonus pour cet extrait? j'ai oublié) le fait que ça soit une BAA qui a écrit!
Alors est-ce que je me suis repetée???
En gros c'est putain d'excelent!!!
Alors d'abord, Jaja, pour répondre à ta si charmante question : je t'aime très profondément! si tu vois ce que je veux dire hum hum...en gros, tu es fidèle à toi même: c'est à dire toujours prête à nous narguer lol...ça fait mal tu sais! ahah
RépondreSupprimerSinon, Erika : encore une fois je rejoins Lety, ç putain d'excellent! tes descriptions sont davantage élaborées et fouillées au fil des extraits, ç un délice; ensuite, le mystère s'épaissit et tu sais (et prend plaisir) faire durer le suspense; tu nous décris un Barrons génialissime, fidèle à lui même (ah comme j'aimerais aussi le faire sortir de ses gonds juste histoire qu'il me touche et me plaque contre un mur); et Arielle, la petite veinarde, ben entre Barrons et Hawk, miam miam, ça laisse présager de divins moments de lecture..
Tu t'es encore surpassée et tu sais toujours autant nous régaler au fil de ta plume, ç bon tout ça, on en redemande
J'ai oublié de te le dire Karin, mais il y a un droit d'auteur sur le "putain d'excellent", tu me dois au moins 100€ est encore je suis gentille hein!!!
SupprimerAhhh vivement juillet que je commence les Highlanders!!!
Nan amsi de toute façon ma vieille s'il sort de ses gonds c'est moi qu'il choisira pas toi, il va juste te foutre une raclée et ensuite ME plaquer contre un mur et me toucher!! PAS TOI!!!!
bon, ok je note désolée j'avais zappé ton droit d'auteur, et tes 100 euros, ben tu les auras le jour où tu arrêteras de trouver K'Vruck tout beau et tout mignon, donc je traduis, t'auras que dalle et toc...
SupprimerEt si tu crois que Barrons va me coller une raclée, ben ç que tu le connais mal...il manipule mais il ne frappe pas (sauf peut être cette Fée clochette de V'Lane et là, ça serait vachement mérité)...mais je veux bien qu'il fasse usage de son corps et de sa force sur moi, ça ne me dérange absolument pas
J'aurais mes 100€ et j'aurais Barrons pour moi toute seule
Supprimert'es encore jeune (ahahah) ç beau d'y croire...il est à moi! et même que je ne partage pas
Supprimerle ahahah signifie que je suis pas jeune?? excuse moi mais 16 ans c'est jeune. C'est toi la VIEILLE (le prends pas mal je t'en suplie c'est pour rester dans le jeu)
SupprimerMais oui Jacinthe on t'aime tjrs aussi fort mais tire pas trop sur l'élastique de notre string quand même!
RépondreSupprimerErika c'est toujours aussi génial. Voir Barrons se faire rouler dans la farine ça n'arrive pas tous les jours! ça fera redescendre son arrogance d'un cran tiens! Nan mais! Et puis cette douce Arielle je me demandais ce qu'elle était devenue. Donc on a un début de réponse sur son identité. Cela aiguillonne davantage notre envie de savoir qui elle est et ce qui va se passer ensuite! C'est toujours aussi bon!
Bisous les chouquettes!
Alllllllllez faites péter l'extrait 7!!!!!!!!!pleeeaaase!!!!
rah rah rah!!!!! c'est de la torture de finir comme ça!
RépondreSupprimerJ'ai hate de lire l'extrait 7!
Bravo Erika c'est toujours aussi fantastique!
j'ai hate de savoir ce qui va arriver à Arielle ;)
Je suis désolée ma belle, rein à voir avec ton style d'écriture ou ton imagination mais je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire. Jéricho sans Mac j'arrive pas lol et pareil pour hawk!!! Style les mecs n'ont pas eu de vies sexuelles avant mdr. C'est comme avec mon mari, j'arrive pas à l'imaginer avec une autre avant moi lol!!!
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